vendredi 9 juillet 2010
MERCI VILLESEQUE pour l'affichage sauvage et interdit sur des feux de circulation
Déja presque 15 jours et personne n'est venue retirer cet affichage !!!
qui va atterrir dans le caniveau avec les autres ,encore merci à la municipalité de ce village pour le respect des autres et de l'environnement
Petit détail ,à l' avenir , ne mettez plus de panneau à cet endroit , il sera aussitôt mis à la poubelle
Le réboussier
jeudi 8 juillet 2010
Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre message "" he! nous aussi on a des propositions à faire!"." :
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Dommage que le travail concernant ce projet de territoire ne soit que le reflet d’une mouvance politique minoritaire de notre communauté de commune
La composante Sénécal , Genieve Blanc, Vigne Massillargues attuech etc.
Qui sont tous très sympathiques et performants dans leurs domaines d’action
Mais qui ne savent faire fonctionner l’économie qu’ à travers le monde associatif, avec des subventions qui d’ailleurs seront de plus en plus difficile à trouver
Soyons réaliste notre économie ne se redressera pas avec ces recettes déjà testées et qui se sont avérées plutôt utopiques, oublions l’époque hippie ou autre, l’homme restera toujours égal à lui même
Le livre édité par la 2c2a n’est qu’une auto satisfecit de ce groupe et il ignore complètement le reste de la population
L’échec étant justement de ne pas avoir su les intégrer dans ce projet, vous leur avez fait peur ,vous occupez trop l'espace , vous manquez de tolérance
En résumé ce projet ne fait rien avancer du tout et isole politiquement un peu plus votre groupe
J’imagine que ce projet de territoire va générer « une génération spontanée » de chargés de missions que vous choisirez bien sur parmi vos proches.
Encore dommage, ouvrez les yeux et les oreilles
.
Dommage que le travail concernant ce projet de territoire ne soit que le reflet d’une mouvance politique minoritaire de notre communauté de commune
La composante Sénécal , Genieve Blanc, Vigne Massillargues attuech etc.
Qui sont tous très sympathiques et performants dans leurs domaines d’action
Mais qui ne savent faire fonctionner l’économie qu’ à travers le monde associatif, avec des subventions qui d’ailleurs seront de plus en plus difficile à trouver
Soyons réaliste notre économie ne se redressera pas avec ces recettes déjà testées et qui se sont avérées plutôt utopiques, oublions l’époque hippie ou autre, l’homme restera toujours égal à lui même
Le livre édité par la 2c2a n’est qu’une auto satisfecit de ce groupe et il ignore complètement le reste de la population
L’échec étant justement de ne pas avoir su les intégrer dans ce projet, vous leur avez fait peur ,vous occupez trop l'espace , vous manquez de tolérance
En résumé ce projet ne fait rien avancer du tout et isole politiquement un peu plus votre groupe
J’imagine que ce projet de territoire va générer « une génération spontanée » de chargés de missions que vous choisirez bien sur parmi vos proches.
Encore dommage, ouvrez les yeux et les oreilles
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Le haras qui rit de Florence Woerth
http://www.lexpress.fr/actualite/politique/le-haras-qui-rit-de-florence-woerth_904667.html
Message de votre ami(e)le réboussier : intéressant, le mélange des genres...
Cordialement,
La rédaction de LExpress.fr
Message de votre ami(e)le réboussier : intéressant, le mélange des genres...
Cordialement,
La rédaction de LExpress.fr
Le blog de l’Adels7 juillet 2010... Il fait chaud, la réforme territoriale ne va pas fort…
En débat !,Réforme des collectivités 2010,démocratie — revueterritoires
deux communiqués de presse (ARF et PS) pour s’en rendre compte :
REFORME TERRITORIALE – DEBAT AU SENAT - Association des régions de France
Martin Malvy : « que le Gouvernement retire ce projet et abatte définitivement ce monstre qu’est le conseiller territorial »
« Habillé autour d’une réforme des collectivités, ce texte n’a jamais eu d’autre objectif réel que d’accroître les chances de l’UMP aux prochaines élections régionales et départementales. C’était l’objectif poursuivi avec l’élection des conseilles territoriaux par le biais du scrutin majoritaire à un tour vite enterré, y compris par une partie des élus de la majorité » a déclaré, Martin Malvy, président de la Région Midi-Pyrénées et porte-parole de l’Association des Régions de France.
« Le terrain ayant étant déminé, cette perspective se révèle chaque jour davantage au fur et à mesure de son examen au Sénat.
La loi nouvelle était censée simplifier, clarifier, économiser. Elle débouche sur la plus grande confusion, l’incompréhension et la dépense.
Hervé Maurey, sénateur de l’Eure, déclarait il y a quelques jours de ce texte : il n’a pas accouché d’une souris mais d’un « rat ». Hier, Jean-Pierre Raffarin, a déclaré « il dit tout et le contraire de tout ».
Le Gouvernement doit renoncer à défendre un dossier mal ficelé et renvoyer tout cela à l’examen serein et constructif d’un troisième acte de la décentralisation. Et commencer par abattre cet animal à deux têtes qu’est le conseiller territorial dont l’impossible accouchement témoigne de la monstruosité »
Communiqué d’Elisabeth Guigou, Secrétaire nationale en charge de la réforme des collectivités territoriales et de la réforme de l’Etat
Réforme territoriale : le gouvernement ne craint pas le ridicule
A l’approche de l’été, nouvelle grille de programme oblige, les Français se retrouvent orphelins de leurs feuilletons favoris. Qu’ils ne s’inquiètent pas : l’examen de la réforme territoriale au Sénat pourrait les tenir en haleine.
Le gouvernement comptait sans doute sur le début de la période estivale pour faire passer un certain nombre de mesures controversées. Mais c’était sans compter sur la vigilance et la ténacité des sénateurs, de tous bords d’ailleurs, hostiles à la réforme, et passablement agacés par les méthodes d’un gouvernement qui ne manifeste que fort peu de considération envers le Parlement. Mardi 6 juillet donc, en deuxième lecture, les sénateurs ont supprimé l’article du projet de loi de réforme des collectivités territoriales prévoyant la répartition des compétences entre régions, départements et communes, et ont renvoyé à une loi ultérieure la clarification des compétences entre différents niveaux de collectivités.
Les sénateurs socialistes ont voté pour cet amendement qui met fin à la valse-hésitation du gouvernement sur la clause de compétence générale : après avoir présenté en première lecture un texte qui prévoyait de supprimer ladite clause, le gouvernement avait cédé à la pression de sa majorité, et consenti lors du passage du texte à l’Assemblée à rétablir partiellement et de manière très encadrée la clause de compétence générale. Jean-Pierre Raffarin lui-même avait expliqué que ce nouvel article n’avait « ni queue ni tête ». Finalement, les sénateurs auront eu gain de cause : par un vote écrasant (335 voix contre 5), les élus de la Haute Chambre ont manifesté leur attachement à la clause de compétence générale, et ont pointé de manière éclatante l’absurdité de ce texte.
Dernier rebondissement, dans la nuit du mardi 6 juillet au mercredi 7 juillet, le Sénat a rejeté pour la deuxième fois le mode d’élection du conseiller territorial.
Le Parti socialiste appelle une nouvelle fois le gouvernement à prendre ses responsabilités et à faire preuve de bon sens en retirant ce texte.
L’acte III de la décentralisation mérite mieux que la pseudo-réforme du gouvernement.
deux communiqués de presse (ARF et PS) pour s’en rendre compte :
REFORME TERRITORIALE – DEBAT AU SENAT - Association des régions de France
Martin Malvy : « que le Gouvernement retire ce projet et abatte définitivement ce monstre qu’est le conseiller territorial »
« Habillé autour d’une réforme des collectivités, ce texte n’a jamais eu d’autre objectif réel que d’accroître les chances de l’UMP aux prochaines élections régionales et départementales. C’était l’objectif poursuivi avec l’élection des conseilles territoriaux par le biais du scrutin majoritaire à un tour vite enterré, y compris par une partie des élus de la majorité » a déclaré, Martin Malvy, président de la Région Midi-Pyrénées et porte-parole de l’Association des Régions de France.
« Le terrain ayant étant déminé, cette perspective se révèle chaque jour davantage au fur et à mesure de son examen au Sénat.
La loi nouvelle était censée simplifier, clarifier, économiser. Elle débouche sur la plus grande confusion, l’incompréhension et la dépense.
Hervé Maurey, sénateur de l’Eure, déclarait il y a quelques jours de ce texte : il n’a pas accouché d’une souris mais d’un « rat ». Hier, Jean-Pierre Raffarin, a déclaré « il dit tout et le contraire de tout ».
Le Gouvernement doit renoncer à défendre un dossier mal ficelé et renvoyer tout cela à l’examen serein et constructif d’un troisième acte de la décentralisation. Et commencer par abattre cet animal à deux têtes qu’est le conseiller territorial dont l’impossible accouchement témoigne de la monstruosité »
Communiqué d’Elisabeth Guigou, Secrétaire nationale en charge de la réforme des collectivités territoriales et de la réforme de l’Etat
Réforme territoriale : le gouvernement ne craint pas le ridicule
A l’approche de l’été, nouvelle grille de programme oblige, les Français se retrouvent orphelins de leurs feuilletons favoris. Qu’ils ne s’inquiètent pas : l’examen de la réforme territoriale au Sénat pourrait les tenir en haleine.
Le gouvernement comptait sans doute sur le début de la période estivale pour faire passer un certain nombre de mesures controversées. Mais c’était sans compter sur la vigilance et la ténacité des sénateurs, de tous bords d’ailleurs, hostiles à la réforme, et passablement agacés par les méthodes d’un gouvernement qui ne manifeste que fort peu de considération envers le Parlement. Mardi 6 juillet donc, en deuxième lecture, les sénateurs ont supprimé l’article du projet de loi de réforme des collectivités territoriales prévoyant la répartition des compétences entre régions, départements et communes, et ont renvoyé à une loi ultérieure la clarification des compétences entre différents niveaux de collectivités.
Les sénateurs socialistes ont voté pour cet amendement qui met fin à la valse-hésitation du gouvernement sur la clause de compétence générale : après avoir présenté en première lecture un texte qui prévoyait de supprimer ladite clause, le gouvernement avait cédé à la pression de sa majorité, et consenti lors du passage du texte à l’Assemblée à rétablir partiellement et de manière très encadrée la clause de compétence générale. Jean-Pierre Raffarin lui-même avait expliqué que ce nouvel article n’avait « ni queue ni tête ». Finalement, les sénateurs auront eu gain de cause : par un vote écrasant (335 voix contre 5), les élus de la Haute Chambre ont manifesté leur attachement à la clause de compétence générale, et ont pointé de manière éclatante l’absurdité de ce texte.
Dernier rebondissement, dans la nuit du mardi 6 juillet au mercredi 7 juillet, le Sénat a rejeté pour la deuxième fois le mode d’élection du conseiller territorial.
Le Parti socialiste appelle une nouvelle fois le gouvernement à prendre ses responsabilités et à faire preuve de bon sens en retirant ce texte.
L’acte III de la décentralisation mérite mieux que la pseudo-réforme du gouvernement.
mercredi 7 juillet 2010
" he! nous aussi on a des propositions à faire!".
.
Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre message "J-1" :
Je ne suis pas un politique 12:41,mais un vrai citoyen de base comme vous et oui!,et je ne souhaite aucune responsabilité. (les responsabilités ne m'intéressent pas!)
Mais en tant que citoyen,je me renseigne,j'écoute et j'essaie de participer à la vie de la citée.
C'est peut-être mieux que de rester dans son coin à râler alors que je suis sûr que vous avez des choses à proposer,des idées à mettre sur la table.
Pourquoi n'êtes vous pas venu dire ce que vous pensiez des politiques quand l'occasion vous en était donnée.
Pourquoi ne pas avoir été là, pour réfléchir avec les autres,pour donner votre avis,pour débattre de ce que vous souhaiteriez que l'on fasse pour notre territoire.
C'est quand même dommage, parce qu'il y avait des gens très intéressants,qui avaient toutes sortes de métiers, et qui ont enrichit les discutions.
Et ce sont eux aussi de simples citoyens qui paient eux aussi des impôts.
Pourquoi n'avez vous pas donné un peu de votre temps aux autres,justement pour dire aux politiques :
" he! nous aussi on a des propositions à faire!".
Franchement, je ne comprend pas votre réaction. Si les citoyens ont dit non au grand Alés c'est parce qu'il ne veulent pas se faire tondre la laine sur le dos, et quand en plus,ils élaborent un projet de territoire avec leurs élus et qu'ils le formalisent noir sur blanc,c'est çà la démocratie! alors advienne que pourra.
Le projet existe,et vous pouvez même le consulter,vous verrez on est loin des utopies, on est même carrément dans le concret.
Et si comme vous dites "les politiques ne pensent qu'a eux et font croire qu'ils agissent pour le bien du peuple" et bien on verra ce qui ressort de çà.
Alors peut-être qu'avec vous,la 2C2A serait "mieux barrée" , je ne sais pas, mais je sais que ceux qui viendront après nous seront peut-être content de constater qu'on n'a pas fait n'importe quoi,n'importe comment et avec n'importe qui ,au prétexte de la modernité.
Franck DURAND (de TORNAC)
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Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre message "J-1" :
Je ne suis pas un politique 12:41,mais un vrai citoyen de base comme vous et oui!,et je ne souhaite aucune responsabilité. (les responsabilités ne m'intéressent pas!)
Mais en tant que citoyen,je me renseigne,j'écoute et j'essaie de participer à la vie de la citée.
C'est peut-être mieux que de rester dans son coin à râler alors que je suis sûr que vous avez des choses à proposer,des idées à mettre sur la table.
Pourquoi n'êtes vous pas venu dire ce que vous pensiez des politiques quand l'occasion vous en était donnée.
Pourquoi ne pas avoir été là, pour réfléchir avec les autres,pour donner votre avis,pour débattre de ce que vous souhaiteriez que l'on fasse pour notre territoire.
C'est quand même dommage, parce qu'il y avait des gens très intéressants,qui avaient toutes sortes de métiers, et qui ont enrichit les discutions.
Et ce sont eux aussi de simples citoyens qui paient eux aussi des impôts.
Pourquoi n'avez vous pas donné un peu de votre temps aux autres,justement pour dire aux politiques :
" he! nous aussi on a des propositions à faire!".
Franchement, je ne comprend pas votre réaction. Si les citoyens ont dit non au grand Alés c'est parce qu'il ne veulent pas se faire tondre la laine sur le dos, et quand en plus,ils élaborent un projet de territoire avec leurs élus et qu'ils le formalisent noir sur blanc,c'est çà la démocratie! alors advienne que pourra.
Le projet existe,et vous pouvez même le consulter,vous verrez on est loin des utopies, on est même carrément dans le concret.
Et si comme vous dites "les politiques ne pensent qu'a eux et font croire qu'ils agissent pour le bien du peuple" et bien on verra ce qui ressort de çà.
Alors peut-être qu'avec vous,la 2C2A serait "mieux barrée" , je ne sais pas, mais je sais que ceux qui viendront après nous seront peut-être content de constater qu'on n'a pas fait n'importe quoi,n'importe comment et avec n'importe qui ,au prétexte de la modernité.
Franck DURAND (de TORNAC)
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Dans la famille, la châtelaine de Tornac Paragraphe 3 la fin.
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Dans la famille, la châtelaine de Tornac se vit confier le soin d’accueillir l’ensemble de nos visiteurs estivaux avec mission de les rendre les moins estivaux possibles.
Elle commença par bouter hors de son château ses associatifs collaborateurs. Puis, peut être surprise de la facilité de l’opération elle en profita pour ôter le maître d'hôtel de l’OT qu’elle vénérait pourtant quelques mois avant. Partie sur cet élan elle envisagea de se faire aider dans sa mission par le soit disant fortuné voisin.
Pour se faire elle prit une porte dérobée. Celle du grand A étant étroitement surveillée, c’est dans un PAYS voisin qu’elle rencontra donc Max.
Certes elle avait bien, par esprit de famille refusé ce mariage tant rêvé par Pyrrhus 2 mais à sa manière de regarder au loin par dessus les épaules de ses camarades on sentait bien que le cœur était brisé et si publiquement elle ne laissait rien transparaître, la peine était profonde. Secrètement elle rêvait qu’un magistrat au nom de l’intérêt supérieur de la nation réunisse tout ce petit monde pour qu’enfin dans les réunions de cette grande famille on ne se fâche plus pour de vagues prétextes politiques. Que le temps ainsi gagné ne soit pas passé à brailler mais à ripailler aux frais de la princesse.
Toutes ressemblances avec des personnes ou des fait existants ou ayant existé ne seraient bien entendu que fortuites.
Dominique Sénécal
Extrait de ID de juin 2010 rubrique :"que voulez vous que la bonne y fasse"
Dans la famille, la châtelaine de Tornac se vit confier le soin d’accueillir l’ensemble de nos visiteurs estivaux avec mission de les rendre les moins estivaux possibles.
Elle commença par bouter hors de son château ses associatifs collaborateurs. Puis, peut être surprise de la facilité de l’opération elle en profita pour ôter le maître d'hôtel de l’OT qu’elle vénérait pourtant quelques mois avant. Partie sur cet élan elle envisagea de se faire aider dans sa mission par le soit disant fortuné voisin.
Pour se faire elle prit une porte dérobée. Celle du grand A étant étroitement surveillée, c’est dans un PAYS voisin qu’elle rencontra donc Max.
Certes elle avait bien, par esprit de famille refusé ce mariage tant rêvé par Pyrrhus 2 mais à sa manière de regarder au loin par dessus les épaules de ses camarades on sentait bien que le cœur était brisé et si publiquement elle ne laissait rien transparaître, la peine était profonde. Secrètement elle rêvait qu’un magistrat au nom de l’intérêt supérieur de la nation réunisse tout ce petit monde pour qu’enfin dans les réunions de cette grande famille on ne se fâche plus pour de vagues prétextes politiques. Que le temps ainsi gagné ne soit pas passé à brailler mais à ripailler aux frais de la princesse.
Toutes ressemblances avec des personnes ou des fait existants ou ayant existé ne seraient bien entendu que fortuites.
Dominique Sénécal
Extrait de ID de juin 2010 rubrique :"que voulez vous que la bonne y fasse"
mardi 6 juillet 2010
L’hiver fut long et froid. Paragraphe 2. la suite
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L’hiver fut long et froid
Par un matin de mars le préfet n’en pouvant plus, prévit de faire atteler cortège pour rendre visite aux « frères ennemis » sur la rive gauche du Gardon au pied de la falaise. Histoire de voir si ses consignes automnales étaient suivies d’effets…. Tout le monde se donna rendez vous à l’endroit sus dit pour attendre le magistrat et son cortège par un début d’après midi qui aurait du être printanier.
Seulement voila ce jour là le fils aîné de Saturne travaillait à contre temps et ce jour là vraiment il ne faisait pas un temps à mettre un préfet de la république dehors. Les secrétaires informèrent le premier magistrat local charge à lui de transmettre.
Mais, Pyrrhus 2 boudait encore et garda l’information…
Le reste de la famille bravant la neige se retrouva donc battant le froid macadam entre rivière et montagne.
Tout ce petit monde s’est retrouvé autour d’un chocolat chaud sur le plan de Brie sous le regard amusé de Pyrrhus 2 bien au chaud dans sa citadelle municipale.
Mais un préfet ne s’en laisse pas conter ! A peine les temps sont ils redevenus plus cléments que nouveau rendez vous est pris. Cette fois ci ce petit monde sera vu séparément d’un coté les chefs de familles de l’autre les chefs de villages. Le préfet débuta par les chefs de familles, Pyrrhus 2 en sa qualité de chef du plus grand village crut de son devoir de faire acte de présence. Mais que nenni lui dit le préfet, je vous verrai en temps et en heure parmi les chefs de village.
Cette fois ci c’est le reste de la famille qui avait le regard amusé.
Toutes ressemblances avec des personnes ou des fait existants ou ayant existé ne seraient bien entendu que fortuites.
Dominique Sénécal
Extrait de ID de juin 2010 rubrique :"que voulez vous que la bonne y fasse"
à suivre
L’hiver fut long et froid
Par un matin de mars le préfet n’en pouvant plus, prévit de faire atteler cortège pour rendre visite aux « frères ennemis » sur la rive gauche du Gardon au pied de la falaise. Histoire de voir si ses consignes automnales étaient suivies d’effets…. Tout le monde se donna rendez vous à l’endroit sus dit pour attendre le magistrat et son cortège par un début d’après midi qui aurait du être printanier.
Seulement voila ce jour là le fils aîné de Saturne travaillait à contre temps et ce jour là vraiment il ne faisait pas un temps à mettre un préfet de la république dehors. Les secrétaires informèrent le premier magistrat local charge à lui de transmettre.
Mais, Pyrrhus 2 boudait encore et garda l’information…
Le reste de la famille bravant la neige se retrouva donc battant le froid macadam entre rivière et montagne.
Tout ce petit monde s’est retrouvé autour d’un chocolat chaud sur le plan de Brie sous le regard amusé de Pyrrhus 2 bien au chaud dans sa citadelle municipale.
Mais un préfet ne s’en laisse pas conter ! A peine les temps sont ils redevenus plus cléments que nouveau rendez vous est pris. Cette fois ci ce petit monde sera vu séparément d’un coté les chefs de familles de l’autre les chefs de villages. Le préfet débuta par les chefs de familles, Pyrrhus 2 en sa qualité de chef du plus grand village crut de son devoir de faire acte de présence. Mais que nenni lui dit le préfet, je vous verrai en temps et en heure parmi les chefs de village.
Cette fois ci c’est le reste de la famille qui avait le regard amusé.
Toutes ressemblances avec des personnes ou des fait existants ou ayant existé ne seraient bien entendu que fortuites.
Dominique Sénécal
Extrait de ID de juin 2010 rubrique :"que voulez vous que la bonne y fasse"
à suivre
lundi 5 juillet 2010
dimanche 4 juillet 2010
L’été 2009 fut lourd et chaud. Paragraphe 1
.
L’été 2009 fut lourd et chaud.
Pyrrhus 2 dans sa citadelle municipale contait fleurette à son voisin grand alésien. Celui-ci vint même un soir d’été s’ébrouer dans la fontaine de la Révolution sur le plan de Brie. Il en profita pour vanter ses coffres pleins de louis d’or par cette déclaration devenue célèbre « On est bien à Alès on a du pognon »avant d’aller rejoindre les troupes à la fois locales et municipales, convoquées spécialement pour entendre le doux chant des sirènes.
Ce soir là nous nous sommes bien amusés, par un hasard fabuleux nous donnions conciliabule dans une salle proche et à peine le bruit avait-il traversé la place en courant que nous nous sommes fait un honneur d’aller saluer cet hôte de marque aux cris de « Max dehors ».
Par une matinée d’août, un jour de grande affluence une roche d’ordinaire fort inerte vint à choir. Probablement lassée de voir passer sous ses pieds un petit train qui la provoquait de son sifflement à chacun de ses passages. Ce jour là la roche décida qu’elle serait mieux aux côtés d’une passagère pour un inoubliable voyage.
Puis septembre arriva la famille réunie au pied du château de Tornac décida d’un commun accord que le grand A resterait lettre morte.
Le préfet dans son infinie sagesse immobilisa le petit train en gare et décréta que chacun devait rester chez lui les Deucédeusiens en Deucédeusie, les grands A en mégalomanie, les roches sur leur rocher.
Pour ce faire Pyrrhus 2 se vit contraint d’entreprendre les douze travaux d’Hercule. Se rappelant que ses coffres sonnaient le creux et que son hôte estival s’était vanté d’avoir du « pognon » il alla donc quémander offrande à son voisin, le priant de lui donner quelques deniers. Mais despote n’est pas philanthrope il lui dit donc tout de go :
Ce serait tellement plus simple si vous étiez des nôtres. Notre liquidateur eut beau argué que c’étaient les autres qui n’avaient pas voulu, il fut prié de chercher créance dans sa famille.
C’est ainsi que le Chef de famille au terme d’un conseil du même nom mit la main à la poche pour que le petit train continue ses inlassables va et vient pour le plus grand profit du chef de gare et de la communauté voisine
A suivre
Toutes ressemblances avec des personnes ou des fait existants ou ayant existé ne seraient bien entendu que fortuites.
Dominique Sénécal
Extrait de ID de juin 2010 rubrique :"que voulez vous que la bonne y fasse"
L’été 2009 fut lourd et chaud.
Pyrrhus 2 dans sa citadelle municipale contait fleurette à son voisin grand alésien. Celui-ci vint même un soir d’été s’ébrouer dans la fontaine de la Révolution sur le plan de Brie. Il en profita pour vanter ses coffres pleins de louis d’or par cette déclaration devenue célèbre « On est bien à Alès on a du pognon »avant d’aller rejoindre les troupes à la fois locales et municipales, convoquées spécialement pour entendre le doux chant des sirènes.
Ce soir là nous nous sommes bien amusés, par un hasard fabuleux nous donnions conciliabule dans une salle proche et à peine le bruit avait-il traversé la place en courant que nous nous sommes fait un honneur d’aller saluer cet hôte de marque aux cris de « Max dehors ».
Par une matinée d’août, un jour de grande affluence une roche d’ordinaire fort inerte vint à choir. Probablement lassée de voir passer sous ses pieds un petit train qui la provoquait de son sifflement à chacun de ses passages. Ce jour là la roche décida qu’elle serait mieux aux côtés d’une passagère pour un inoubliable voyage.
Puis septembre arriva la famille réunie au pied du château de Tornac décida d’un commun accord que le grand A resterait lettre morte.
Le préfet dans son infinie sagesse immobilisa le petit train en gare et décréta que chacun devait rester chez lui les Deucédeusiens en Deucédeusie, les grands A en mégalomanie, les roches sur leur rocher.
Pour ce faire Pyrrhus 2 se vit contraint d’entreprendre les douze travaux d’Hercule. Se rappelant que ses coffres sonnaient le creux et que son hôte estival s’était vanté d’avoir du « pognon » il alla donc quémander offrande à son voisin, le priant de lui donner quelques deniers. Mais despote n’est pas philanthrope il lui dit donc tout de go :
Ce serait tellement plus simple si vous étiez des nôtres. Notre liquidateur eut beau argué que c’étaient les autres qui n’avaient pas voulu, il fut prié de chercher créance dans sa famille.
C’est ainsi que le Chef de famille au terme d’un conseil du même nom mit la main à la poche pour que le petit train continue ses inlassables va et vient pour le plus grand profit du chef de gare et de la communauté voisine
A suivre
Toutes ressemblances avec des personnes ou des fait existants ou ayant existé ne seraient bien entendu que fortuites.
Dominique Sénécal
Extrait de ID de juin 2010 rubrique :"que voulez vous que la bonne y fasse"
Re-gardons.net : LE NUMERO DE JUILLET EST EN LIGNE
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Au sommaire :
- Politiques culturelles : les régions vers une impasse ?
- Evènement du mois : King A à Lasalle (encore Lasalle !)
- Lectures : trois livres sur divers voyages
- Mémoire : une monnaie locale à Anduze
- Musique : Orgue à Anduze, baroque à Uzès, jazz à Junas
- Peinture : le travail de Katherine Arquier
- Photo : des images de Françoise Brangeon
- Poésie : concours à Anduze, Bach dans deux temples
- Arts appliqués : des livres bien transformés
http://www.re-gardons.net/
Au sommaire :
- Politiques culturelles : les régions vers une impasse ?
- Evènement du mois : King A à Lasalle (encore Lasalle !)
- Lectures : trois livres sur divers voyages
- Mémoire : une monnaie locale à Anduze
- Musique : Orgue à Anduze, baroque à Uzès, jazz à Junas
- Peinture : le travail de Katherine Arquier
- Photo : des images de Françoise Brangeon
- Poésie : concours à Anduze, Bach dans deux temples
- Arts appliqués : des livres bien transformés
http://www.re-gardons.net/
ARDIECE salue donc la décision du conseil municipal d'Anduze
ARDIECE s’est mobilisée avec AIDE pour la protection de la falaise de Peyremale, un des versants de la célèbre Porte des Cévennes, en zone Natura 2000 et a mené plusieurs actions en ce sens.
ARDIECE salue donc la décision du conseil municipal d'Anduze de ne pas autoriser les études préalables à l’implantation d’une carrière sur Peyremale.
Notre association reste vigilante sur la protection de notre patrimoine commun.
D’autre part, ARDIECE s’étonne que le maire d’Anduze mette à disposition, en mairie, le Journal du Grand Alès alors qu’il n’informe pas, sur le site communal, de la tenue à Anduze, de la restitution du projet de territoire de la 2C2A dont il est vice –président et dont il perçoit une indemnité à ce titre.
Rappelons le refus majoritaire de la fusion de la Communauté de Communes autour d’Anduze avec la communauté d’agglomération du Grand Alès et la très forte participation des Anduziens aux ateliers du projet.
Anduze le 2 juillet 2010
Les Présidents
D.SENECAL H.SCARDAPANE
ARDIECE salue donc la décision du conseil municipal d'Anduze de ne pas autoriser les études préalables à l’implantation d’une carrière sur Peyremale.
Notre association reste vigilante sur la protection de notre patrimoine commun.
D’autre part, ARDIECE s’étonne que le maire d’Anduze mette à disposition, en mairie, le Journal du Grand Alès alors qu’il n’informe pas, sur le site communal, de la tenue à Anduze, de la restitution du projet de territoire de la 2C2A dont il est vice –président et dont il perçoit une indemnité à ce titre.
Rappelons le refus majoritaire de la fusion de la Communauté de Communes autour d’Anduze avec la communauté d’agglomération du Grand Alès et la très forte participation des Anduziens aux ateliers du projet.
Anduze le 2 juillet 2010
Les Présidents
D.SENECAL H.SCARDAPANE
samedi 3 juillet 2010
Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre message "De mon Iphone AGO AGE .....La fin" :
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Et bien voilà! on va pouvoir repartir sur de bonnes bases,à condition de maîtriser, et d'harmoniser, le fonctionnement de ce nouvel OT, en tirant les choses vers le haut, afin de contenter tous les acteurs.
Profitons de la chance que nous avons de vivre dans une région d'une grande richesse à tous les points de vue, et faisons fructifier ce capital en faisant coïncider étroitement et de manière intelligente les intérêts particuliers avec ceux de l'ensemble de la collectivité.
Il ne s'agit là,pas d'élitisme, mais d'ambition raisonnée.
Notre patrimoine mérite que nous le préservions, que nous le mettions en valeur,afin de le partager avec ceux qui font le choix devenir le découvrir.
C'est en faisant la synthèses des erreurs du passé et à condition de ne pas avoir la mémoire courte, que nous pourrons donner en partage notre beau pays.
Comment faire comprendre cela à l'équipe municipale d'Anduze! Si quelqu'un a une idée lumineuse, qui permettrait d'éclairer ces élus sur l'impérieuse nécessité qu'il y a de mettre en oeuvre un développement "MAÎTRISÉ" de la politique.
Pour qu'ils regardent enfin simplement autour d'eux, au lieux de regarder les lumières de la ville. Pour qu'ils arrêtent de se mentir à eux même. s'ils font cet effort alors peut-être sera t'il enfin possible d'avancer.
un doryphore.
Et bien voilà! on va pouvoir repartir sur de bonnes bases,à condition de maîtriser, et d'harmoniser, le fonctionnement de ce nouvel OT, en tirant les choses vers le haut, afin de contenter tous les acteurs.
Profitons de la chance que nous avons de vivre dans une région d'une grande richesse à tous les points de vue, et faisons fructifier ce capital en faisant coïncider étroitement et de manière intelligente les intérêts particuliers avec ceux de l'ensemble de la collectivité.
Il ne s'agit là,pas d'élitisme, mais d'ambition raisonnée.
Notre patrimoine mérite que nous le préservions, que nous le mettions en valeur,afin de le partager avec ceux qui font le choix devenir le découvrir.
C'est en faisant la synthèses des erreurs du passé et à condition de ne pas avoir la mémoire courte, que nous pourrons donner en partage notre beau pays.
Comment faire comprendre cela à l'équipe municipale d'Anduze! Si quelqu'un a une idée lumineuse, qui permettrait d'éclairer ces élus sur l'impérieuse nécessité qu'il y a de mettre en oeuvre un développement "MAÎTRISÉ" de la politique.
Pour qu'ils regardent enfin simplement autour d'eux, au lieux de regarder les lumières de la ville. Pour qu'ils arrêtent de se mentir à eux même. s'ils font cet effort alors peut-être sera t'il enfin possible d'avancer.
un doryphore.
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