mercredi 5 septembre 2018

Nouveau commentaire sur Démission de Nicolas Hulot : aveu d'impuissance d'....

>
> Parfaitement bien résumé la situation du Hulot : sous l'eau, dans les airs, sous terre ou sous (et sur) les mers il savait mettre en lumière des situations inquiétantes ou alarmantes...
> Dix ans de tergiversations sous les mandats précédents, il finit par céder aux sirènes d'un Président, plus attaché à sa communication personnelle (et politicienne) qu'aux combats essentiels pour la planète...
> Hulot est et ne restera qu'un produit dérivant et dérivé de l'écologie. Un homme pétri de convictions sur la fond, mais dénué d'intentions sur la forme.
> Un quasimodo du désenchantement qui a su faire prendre conscience au grand nombre de la beauté et de la magie du monde. Les cercles du pouvoir l'ont habillé en mode illusionniste pour continuer à donner du lustre à une action qui allait à l'encontre de ses convictions intimes. Qu'il allait, de par ses prises de position passées et son aura suscitée auprès du public inverser ou infléchir des décisions.
> Atrabilaire et naïf, le consensus ne pouvait venir d'un attelage gouvernemental tirant à hue et à dia. Les costumes et les acteurs ont changé de façade. Les agitations font illusion pour que le fond ne bouge pas d'un iota. Et à ce niveau-là, il semble assuré que ça va empirer.
> Le maître à bord, bien en capacité de s'agiter et d'agiter le landerneau, en désignant la particule François de Rugy à ce poste, vient de mettre un coup d'arrêt à cette emphase. L'écume environnementale vient de se transformer en mousse à raser.
> Et là, ça risque de devenir très vite barbant!

Communiqué / La Tour de Viala doit demeurer un patrimoine public.



Communiqué

La Tour de Viala doit demeurer un patrimoine public.

Nous apprenons avec stupéfaction la mise en vente de la Tour de Viala, propriété de  la ville d'Alès, située au cœur du Parc National des Cévennes.

L'appel d'offre a été publié le 27 juillet et sera clôt ce 7 septembre ! Comme hélas trop souvent, l'été est propice cachotteries.

Pour rappel, la Tour de Viala a été rachetée par la ville d'Alès aux Houillères de Bassin de Centre-Midi, en 2002.

La structure était gérée par le Comité d'entreprise des mineurs ; ainsi, des générations d'enfants de mineurs y ont séjourné en colonie de vacances, ont goûté au droit aux vacances.

La Tour de Viala, située au cœur du Parc National des Cévennes, c'est 1600 m2 d'un ensemble magnifique de bâtiments composé de gîtes d'étape et de séjour, de locaux abritant auparavant cuisine et dortoirs, d'une aire naturelle de camping, d'une piscine et de trente hectare d'espaces naturels préservés.

Avoir racheté aux houillères un tel patrimoine pour le brader ainsi (290 000€) quelque temps après est immoral.

Nous demandons à la Ville d'Alès et au maire, Max Roustan, de stopper cette procédure et de la requalifier.

Nous proposons qu'Alès Agglo achète la Tour de Viala pour qu'elle devienne un patrimoine et un outil au service de la population des 73 communes. Le coût du bâtiment et des terrains est dérisoire.

Au moment où l'écologique est devenue une extrême urgence, au moment où le besoin du vivre ensemble est crucial, ce lieu, au cœur d'un territoire inscrit au patrimoine mondial de l'humanité pour sa dimension à haute valeur environnementale, pourrait constituer à la fois un espace d'utilité publique à vocation socio-éducative, d'éducation à l'environnement et un lieu de séjour et d'activité pour les enfants.

Cela donnerait corps aux intentions affichées dans le projet de territoire d'Alès Agglo afin qu'il ne reste pas lettre morte.

Nous invitons les Grand'Alésiens, les associations, les acteurs de la vie publique à exiger de la Ville et du maire d'Alès un débat ouvert avant toute décision de vente de ce patrimoine commun.

La Tour de Viala doit rester dans le domaine public pour des missions publiques !


Le 5 septembre 2018

Parti Communiste Français
Section d'Alès



n'imprimer qu'en cas de nécessité



Démission de Nicolas Hulot : aveu d'impuissance d'un illusionniste





Envoyé depuis mon smartphone Samsung Galaxy.


 

Stéphane Lhomme - Communiqué du 30 août 2019



Démission de Nicolas Hulot : aveu
d'impuissance d'un illusionniste


Comme son alter égo Arthus-Bertrand, Nicolas Hulot n'a jamais
rien fait de concret contre les lobbies qu'il prétend combattre


 

Ce n'est pas par hasard que, ces dernières années, les lobbies comme ceux du nucléaire, des pesticides ou de la chasse ont désigné Nicolas Hulot comme leur "ennemi" principal car, en réalité, ils savent bien qu'ils ne risquent rien avec ce personnage qui parle beaucoup mais n'agit jamais.

Avez-vous déjà vu Nicolas Hulot respirer des gaz lacrymogènes devant une centrale nucléaire ? S'enchainer à un camion transportant des pesticides ? S'allonger devant les bulldozers d'un chantier d'autoroute ou de center parc ? Non car, à part faire sa propre promotion au travers d'émissions de télévision elles-mêmes très polluantes, le bonhomme n'a en réalité jamais rien fait de concret pour s'opposer aux destructions environnementales.

Pire, l'hélicologiste s'autorise un train de vie personnel totalement contraire à ses propres préconisations, dopé par les imposants revenus qui lui sont apportés par les produits cosmétiques fort polluants de la marque Ushuaia.

De même, sa fondation censée protéger "la nature et l'homme" est financée de très longue date par diverses multinationales extrêmement nuisible pour l'environnement et les droits sociaux, à commencer par l'entreprise EDF et ses centrales nucléaires.

Dernièrement,
M. Hulot s'est déclaré favorable aux compteurs Linky, sans une seule pensée pour les 35 millions de compteurs en parfait état de marche qu'Enedis a commencé à désinstaller et détruire : une des pires opérations d'obsolescences programmée (sans même parler de toutes les autres tares anti-environnementales et anti-sociales des ces compteurs nuisibles).

Par ailleurs, il est totalement injustifié de porter au crédit de Nicolas Hulot l'annulation de l'aéroport de Notre-Dames-des-Landes, laquelle n'est due qu'au courage des gens de divers horizons qui ont résisté sur place, et en aucun cas aux usuelles lamentations de M. Hulot.

Après avoir longtemps joué la starlette en faisant lanterner divers Présidents de la République, c'est finalement au plus anti-écologiste d'entre eux, le regrettable Emmanuel Macron, qu'il a servi de caution en acceptant d'être un ministre d'Etat sans l'ombre d'un pouvoir, pour le plus grand plaisir des lobbies les plus nuisibles.

Mais, d'ores et déjà, divers autres imposteurs comme les faux écolos (et vraies girouettes) De Rugy ou Pompili sont sur les rangs pour tenter de relever le défi : enterrer la défense de l'environnement et des droits sociaux tout en dopant leurs petites carrières politiciennes…

 

Google a 20 ans : voici les moteurs de recherche qu'il a enterrés

Google a 20 ans : voici les moteurs de recherche qu'il a enterrés

Google a 20 ans : voici les moteurs de recherche qu'il a enterrés

Avec son algorithme PageRank, Google a non seulement balayé les acteurs en place mais aussi réussi a préserver son avance. Petite rétrospective d'une hécatombe qui n'en finit plus.

Google a 20 ans : voici les moteurs de recherche qu'il a enterrés

Google fête aujourd'hui ses vingt ans d'existence. Créé le 4 septembre 1998 dans un garage de la Silicon Valley, la société créée par Sergueï Brin et Larry Page compte plus de 85.000 salariés et génère un chiffre d'affaire colossal de 66 milliards de dollars. A la base de ce succès, il y a un algorithme, PageRank, qui a révolutionné la recherche web. Plus rapide, plus complet, plus pertinent… le moteur de recherche de Google est devenu rapidement la principale porte d'accès de la Toile. Et c'est toujours plus ou moins le cas aujourd'hui. La firme a durablement écrasé toute la concurrence et, pour l'instant, il n'a aucun véritable concurrent en vue.

Pourtant, Google n'était pas le premier moteur de recherche. Avant son arrivée, les internautes utilisaient des services tels que Lycos, AltaVista, Excite, Yahoo ou Ask. Certains, comme Yahoo, regroupaient les sites de web de façon thématique sous la forme d'un portail. D'autres, comme AltaVista ou Lycos, proposaient déjà un moteur de recherche par mots clés. En 1999, Lycos a même été le site le plus visité de toute la Toile.

WayBackMachine - Lycos et AltaVista en 1999

Avec l'arrivée de Google, tous ces services ont été pulvérisés. La plupart de ces sites existent toujours, mais ils n'attirent plus grand monde. Lycos.com est désormais classé en 34.278ème position sur Alexa. La première position est détenue, évidemment, par Google. AltaVista n'existe plus. Seul Yahoo, classé en 6ème position, a réussi à garder la tête hors de l'eau. Mais ce n'est pas vraiment grâce à son moteur de recherche - un service désormais sous-traité à Bing de Microsoft - mais à sa messagerie email.   

Au-delà de cette vieille garde, d'autres ont essayé de relever le challenge. La mention spéciale est attribuée à Quaero, le moteur de recherche avec lequel Jacques Chirac et Gerhard Schröder voulaient enfin libérer l'Europe des griffes du méchant Google. Le projet de recherche a démarré en 2005, mais les Allemands se sont rapidement désolidarisés pour se concentrer sur un autre projet. Le programme Quaero s'est terminé en 2013 après avoir englouti 200 millions d'euros. Le développement n'a jamais dépassé le stade du démonstrateur.

Microsoft a également essayé d'exister. Au départ, son moteur de recherche s'appellait MSN Search. Ce nom a été remplacé par Windows Live Search, puis Live Search. En 2009, Microsoft choisit finalement le nom de Bing, une nouvelle identité censée faire oublier ses errements précédents et montrer le renouveau de l'offre. Sa rentabilité, toutefois, n'arrive qu'en 2015. Aujourd'hui encore, le service de Microsoft arrive à peine à la cheville de Google, avec 7,7 % de parts de marché selon NetMarketShare (auxquels on peut ajouter les 4 % de Yahoo).

NetMarketShare - Parts de marché en août 2018

Face à l'exploitation éhontée des données personnelles par Google, une nouvelle tendance a récemment émergé : les moteurs de recherche respectueux de la vie de privée de l'internaute. Ses principaux représentants sont DuckDuckGo et Qwant. L'approche est franchement intéressante, mais pour l'instant il est encore trop pour dire si l'essai pourra être transformé un jour. Ces services n'atteignent pour l'instant que 0,2 et 0,02 % de part de marché respectivement, toujours selon NetMarketShare. 

Le seul à dépasser les 10 % de parts de marché est Baidu, le moteur chinois. Mais ce n'est pas vraiment du jeu car Google n'est pas présent en Chine. Par ailleurs, la démographie chinoise gonfle mécaniquement les parts de marché de ce service. La performance de l'un par rapport à l'autre est donc difficile à évaluer.

En revanche, Yandex mérite une ola. Créé en 1997, ce site est aujourd'hui le moteur préféré des Russes en dépit de la présence de Google.ru. C'est finalement la seule entreprise qui ait réussi à battre la firme de Mountain View. Chapeau.

Le chômage recule moins vite en France qu’ailleurs en Europe | Contrepoints

Le chômage recule moins vite en France qu'ailleurs en Europe | Contrepoints

Le chômage recule moins vite en France qu'ailleurs en Europe

Par Nicolas Marques.

Un article de l'Institut économique Molinari.

Les dernières statistiques publiées par Eurostat montrent que la France reste parmi les pays les plus touchés par le chômage, avec un taux de chômage à 9,2 % en juillet 2018, contre 6,8 % en moyenne dans l'Union européenne à 28. Seuls l'Italie (10,4 %), l'Espagne (15,1 %) et la Grèce (19,5 %) enregistrent des taux de chômages plus élevés.

Elles montrent aussi que le chômage reflue deux fois moins vite en France que chez nos voisins. En un an le chômage français a baissé de 0,4 %, contre 0,8 % en moyenne dans l'UE. Le chômage a baissé bien plus vite dans tous les États membres frappés par un chômage significatif, avec des améliorations très marquées à Chypre (-3 %), en Grèce (-2,2 % entre mai 2017 et 2018) ou au Portugal (-2,1 %).

Embellie significative chez nos voisins

Tandis que nous peinons à réduire notre chômage, l'embellie est significative chez beaucoup de nos voisins. Dix pays enregistrent désormais des taux de chômage inférieurs à 5 %. Il s'agit de l'Allemagne, de l'Autriche, de la Bulgarie, de la Hongrie, de Malte, des Pays-Bas, de la Pologne, de la République Tchèque, de la Roumanie et du Royaume-Uni.

La France est clairement à la traîne de l'Union européenne, alors qu'elle enregistre un chômage supérieur à la moyenne, elle est le seul pays où le chômage recule en moyenne moins vite qu'ailleurs.