Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
vendredi 30 novembre 2012
Réaction au commentaire de M. Mazen
Anduze prix de l' eau à la CAGA
Prof. Dr. Peter Krauss
335 Rte St Félix
30 140 Anduze30/11/2012
Réaction au commentaire de M. Mazen
« Erreur du calcul ? Prix de l'eau à la CAGA »
Il y a quelques années, Jean-Paul Mazen, l'auteur du commentaire « Erreur du calcul ? Prix de l'eau à la CAGA », était encore adjoint du Maire d'Anduze et responsable des finances d'Anduze. Il a quitté cette fonction de sa propre initiative, contre la volonté du maire.
Depuis ce temps il nous fait entendre en conseil municipal que nous aurions perdu un expert en finances communales. Soit. Ses mérites de l'époque, comme par exemple les jardins communaux et l'augmentation de la taxe foncière TFb et la taxe d'habitation TH ne sont pas contestés.
Mais il est regrettable et en même temps imprudent de sa part, après avoir fui son poste d'adjoint des finances du jour au lendemain, de critiquer publiquement l'élu qui a pris le relais sans essayer avant cette critique de chercher le contact direct par courrier, courriel, téléphone ou autre.
Pourquoi regrettable pour lui ?
Je vous propose de lire d'abord attentivement l'extrait du « Plan des Bribes » qu'il a ajouté à ses remarques. C'est d'ailleurs toujours conseillé !
Lors de cette lecture vous pouvez vérifier que j'ai comparé les prix pour l'ASSAINISSEMENT à Anduze et à Alès, sachant que l'EAU reste à 100% en régie communale.
Le grand consommateur d'eau (17 064 m3 et pas 17 084 m3) cité par M. Mazen produit 17 064 m3 d'eau à assainir et pour cet assainissement il doit payer
25056,67€ et pas 424448,65€. Si on divise les 25 056,67€ pour l'assainissement par les 17 064m3 on arrive à un prix de 1,47€/m3 et donc au même montant que dans l'article du Plan des Bribes (1,45€/m3).
Plusieurs leçons à tirer de cette erreur de la part de M. Mazen.
Premièrement : Ne jamais comparer pommes et poires (eau +assainissement et assainissement seul)
Deuxièmement : Attention en jouant avec des chiffres, surtout si le résultat du jeu doit servir à démonter l'adversaire.
Troisièmement : Avant d'accuser un adversaire d'incompétence ou de déclarations mensongères comme c'était les cas à l'occasion de la réunion du conseil municipal du mercredi, il peut être utile de bien se renseigner.
Peter Krauss
335 Rte St Félix
30 140 Anduze30/11/2012
Réaction au commentaire de M. Mazen
« Erreur du calcul ? Prix de l'eau à la CAGA »
Il y a quelques années, Jean-Paul Mazen, l'auteur du commentaire « Erreur du calcul ? Prix de l'eau à la CAGA », était encore adjoint du Maire d'Anduze et responsable des finances d'Anduze. Il a quitté cette fonction de sa propre initiative, contre la volonté du maire.
Depuis ce temps il nous fait entendre en conseil municipal que nous aurions perdu un expert en finances communales. Soit. Ses mérites de l'époque, comme par exemple les jardins communaux et l'augmentation de la taxe foncière TFb et la taxe d'habitation TH ne sont pas contestés.
Mais il est regrettable et en même temps imprudent de sa part, après avoir fui son poste d'adjoint des finances du jour au lendemain, de critiquer publiquement l'élu qui a pris le relais sans essayer avant cette critique de chercher le contact direct par courrier, courriel, téléphone ou autre.
Pourquoi regrettable pour lui ?
Je vous propose de lire d'abord attentivement l'extrait du « Plan des Bribes » qu'il a ajouté à ses remarques. C'est d'ailleurs toujours conseillé !
Lors de cette lecture vous pouvez vérifier que j'ai comparé les prix pour l'ASSAINISSEMENT à Anduze et à Alès, sachant que l'EAU reste à 100% en régie communale.
Le grand consommateur d'eau (17 064 m3 et pas 17 084 m3) cité par M. Mazen produit 17 064 m3 d'eau à assainir et pour cet assainissement il doit payer
25056,67€ et pas 424448,65€. Si on divise les 25 056,67€ pour l'assainissement par les 17 064m3 on arrive à un prix de 1,47€/m3 et donc au même montant que dans l'article du Plan des Bribes (1,45€/m3).
Plusieurs leçons à tirer de cette erreur de la part de M. Mazen.
Premièrement : Ne jamais comparer pommes et poires (eau +assainissement et assainissement seul)
Deuxièmement : Attention en jouant avec des chiffres, surtout si le résultat du jeu doit servir à démonter l'adversaire.
Troisièmement : Avant d'accuser un adversaire d'incompétence ou de déclarations mensongères comme c'était les cas à l'occasion de la réunion du conseil municipal du mercredi, il peut être utile de bien se renseigner.
Peter Krauss
Le ministre de l'Intérieur a présenté, le 28 novembre 2012, en conseil des ministres, un projet de loi organique relatif à l'élection des conseillers municipaux, des délégués communautaires et des conseillers départementaux, et un projet de loi relatif à l'élection des conseillers départementaux, des conseillers municipaux et des délégués communautaires, et modifiant le calendrier électoral.
.
http://www.gouvernement.fr/gouvernement/election-des-conseillers-departementaux-des-conseillers-municipaux-et-des-delegues-comm
Le gouvernement confirme le report à 2015 des élections départementales et régionales à 2015. Les municipales se dérouleront en mars 2014 (les élections européennes et sénatoriales se tiendront cette même année).
Le ministre de l'intérieur a présenté un projet de loi organique relatif à l'élection des conseillers municipaux, des délégués communautaires et des conseillers départementaux et un projet de loi relatif à l'élection des conseillers départementaux, des conseillers municipaux et des délégués communautaires, et modifiant le calendrier électoral.
Le projet de loi ordinaire abroge les dispositions de la loi du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales qui avaient créé le conseiller territorial. Le Gouvernement tire les conséquences de la volonté déjà exprimée par le Sénat puis par l'Assemblée nationale d'abroger le conseiller territorial.
Le conseiller territorial étant abrogé, les projets de loi définissent un nouveau mode de scrutin pour les conseillers généraux qui s'appelleront désormais conseillers départementaux.
Ces projets s'inscrivent dans le cadre des objectifs définis par le Président de la République lors des Etats généraux de la démocratie territoriale, en privilégiant pour les élections départementales un mode de scrutin qui permette à la fois de conserver l'ancrage territorial des élus tout en améliorant leur représentativité, et de poursuivre l'objectif de parité au sein des assemblées départementales, qui ne comptent aujourd'hui que 13,8% de femmes.
Lors du prochain renouvellement général, deux conseillers départementaux seront élus dans chaque canton, au scrutin majoritaire à deux tours. Les candidats se présenteront devant le suffrage constitués en binôme. Chaque binôme devra être composé d'une femme et d'un homme.
Le nombre d'élus restant inchangé, la carte cantonale de chaque département devra être modifiée afin de permettre l'élection de deux conseillers départementaux par canton et d'améliorer leur représentativité démographique. Près des trois cinquièmes des cantons n'ont pas connu de modification de leurs limites géographiques depuis 1801. Il s'agit par conséquent de doter l'échelon départemental de bases démocratiques adaptées à la France d'aujourd'hui.
Les projets de loi concernent également le scrutin municipal et intercommunal. Ils confèrent une véritable légitimité démocratique aux intercommunalités, en prévoyant que, lorsque les électeurs choisiront les conseillers municipaux, ce sont les premiers des listes élues qui auront vocation à siéger également au sein des intercommunalités.
Afin d'étendre ces dispositions au plus grand nombre de communes et d'établissements publics de coopération intercommunale, le seuil de population au-delà duquel les conseillers municipaux sont élus au scrutin de liste est fixé à 1 000 habitants au lieu de 3 500 aujourd'hui.
Les élections des conseillers départementaux, qui succèdent aux conseillers généraux, et les élections régionales devaient initialement être organisées en mars 2014, soit la même année que les élections municipales, européennes et sénatoriales. Une telle concentration de scrutins la même année aurait risqué de nuire à la participation électorale : pour cette raison, le projet de loi aménage le calendrier électoral en repoussant la tenue des élections départementales et régionales à 2015.
Conseil des ministres du 28 novembre 2012
Envoyé de mon iPad
http://www.gouvernement.fr/gouvernement/election-des-conseillers-departementaux-des-conseillers-municipaux-et-des-delegues-comm
Le gouvernement confirme le report à 2015 des élections départementales et régionales à 2015. Les municipales se dérouleront en mars 2014 (les élections européennes et sénatoriales se tiendront cette même année).
Le ministre de l'intérieur a présenté un projet de loi organique relatif à l'élection des conseillers municipaux, des délégués communautaires et des conseillers départementaux et un projet de loi relatif à l'élection des conseillers départementaux, des conseillers municipaux et des délégués communautaires, et modifiant le calendrier électoral.
Le projet de loi ordinaire abroge les dispositions de la loi du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales qui avaient créé le conseiller territorial. Le Gouvernement tire les conséquences de la volonté déjà exprimée par le Sénat puis par l'Assemblée nationale d'abroger le conseiller territorial.
Le conseiller territorial étant abrogé, les projets de loi définissent un nouveau mode de scrutin pour les conseillers généraux qui s'appelleront désormais conseillers départementaux.
Ces projets s'inscrivent dans le cadre des objectifs définis par le Président de la République lors des Etats généraux de la démocratie territoriale, en privilégiant pour les élections départementales un mode de scrutin qui permette à la fois de conserver l'ancrage territorial des élus tout en améliorant leur représentativité, et de poursuivre l'objectif de parité au sein des assemblées départementales, qui ne comptent aujourd'hui que 13,8% de femmes.
Lors du prochain renouvellement général, deux conseillers départementaux seront élus dans chaque canton, au scrutin majoritaire à deux tours. Les candidats se présenteront devant le suffrage constitués en binôme. Chaque binôme devra être composé d'une femme et d'un homme.
Le nombre d'élus restant inchangé, la carte cantonale de chaque département devra être modifiée afin de permettre l'élection de deux conseillers départementaux par canton et d'améliorer leur représentativité démographique. Près des trois cinquièmes des cantons n'ont pas connu de modification de leurs limites géographiques depuis 1801. Il s'agit par conséquent de doter l'échelon départemental de bases démocratiques adaptées à la France d'aujourd'hui.
Les projets de loi concernent également le scrutin municipal et intercommunal. Ils confèrent une véritable légitimité démocratique aux intercommunalités, en prévoyant que, lorsque les électeurs choisiront les conseillers municipaux, ce sont les premiers des listes élues qui auront vocation à siéger également au sein des intercommunalités.
Afin d'étendre ces dispositions au plus grand nombre de communes et d'établissements publics de coopération intercommunale, le seuil de population au-delà duquel les conseillers municipaux sont élus au scrutin de liste est fixé à 1 000 habitants au lieu de 3 500 aujourd'hui.
Les élections des conseillers départementaux, qui succèdent aux conseillers généraux, et les élections régionales devaient initialement être organisées en mars 2014, soit la même année que les élections municipales, européennes et sénatoriales. Une telle concentration de scrutins la même année aurait risqué de nuire à la participation électorale : pour cette raison, le projet de loi aménage le calendrier électoral en repoussant la tenue des élections départementales et régionales à 2015.
Conseil des ministres du 28 novembre 2012
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