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«
J'accuse le premier élu de la commune d’
Anduze d'avoir été l'ouvrier diabolique de la destruction de la communauté des communes autour d’
Anduze, en inconscient, je veux le croire, et d'avoir ensuite défendu son œuvre néfaste, depuis plusieurs mois, par les machinations les plus saugrenues et les plus coupables. »
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J'accuse le grand chancelier des ordures de s'être rendu complice, tout au moins par faiblesse d'esprit, d'une des plus grandes iniquités du siècle. »
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J'accuse l’élu manipulateur des corps ,
malgré les preuves certaines du bon fonctionnement de notre communauté, de s'être rendu coupable de ce marasme, dans un but politique et pour sauver ses amis. »
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J'accuse la source pure et l’élue du troisième âge de s'être rendues complices de cette destruction, l'une sans doute par passion du pouvoir, l'autre peut-être par cet esprit de corps qui fait de ce conseil municipal l'arche sainte, inattaquable. »
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J'accuse le premier adjoint de notre comté d'avoir fait une enquête
déligate, j'entends par là une enquête de la plus monstrueuse partialité, dont nous avons, dans le rapport de ce personnage, un impérissable monument de naïve audace. et d’avoir conseillé honteusement le premier élu de notre comté»
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J'accuse les conseillers municipaux qui ont soutenu cette ignominie, d'avoir cautionné des idées
mensongères, à moins qu'un examen médical ne les déclare atteints d'une maladie du jugement. »
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J'accuse ceux qui ont mené dans la presse, particulièrement dans le Midi Libre, une campagne abominable, pour égarer l'opinion et couvrir leur faute. je pense en particulier au vassal du roi du terril »
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J'accuse enfin l’avant dernier conseil municipal d'avoir voté la mort de notre communauté des communes autour d’
Anduze, et j'accuse ce dernier conseil municipal d’avoir violé le droit, en condamnant des élus d’
Anduze sans griefs et sans procès et d'avoir couvert cette illégalité »
le
zolaboussier