mercredi 14 août 2019

Les associations de Saint-Jean-du Gard sont en colère



Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Wouaff" :

«Les associations de Saint-Jean-du Gard sont en colère contre l'arrêté municipal interdisant le tractage sans autorisation préalable de la mairie. Elles ont donc tracté ce mardi matin 13 août sur le marché de Saint-Jean-du-Gard en signe de protestation.»
(...)


https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/gard/nimes/maire-saint-jean-du-gard-interdit-distribution-tracts-flyers-centre-ville-1710048.html

Histoire de folles rumeurs. Emmanuel Macron en couple avec Mathieu Gallet

https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/histoire-de-folles-rumeurs/histoire-de-folles-rumeurs-emmanuel-macron-en-couple-avec-mathieu-gallet_3552225.html

Communiqué / Porte-sud Alès - le passage en force du promoteur doit cesser !




Porte-sud d'Alès

Le passage en force du promoteur doit cesser !

 

Une fois de plus, l'acharnement procédurier du promoteur DHOMBRE donne du temps à la poursuite de la construction forcenée de bâtiments commerciaux en Prairie-Porte-Sud.

Rappelons que le promoteur avait commencé son chantier illégalement déjà en 2004, peu après les catastrophiques inondations de 2002.

Rappelons que le silence complice du couple Roustan-Rivenq ne fait pas ignorer leur délivrance illégale du permis de construire, au moment où le PPRI (prévention des risques inondation) s'imposait définitivement.

Après les multiples arrêtés du préfet, fondés sur le PPRI interdisant toute construction dans cette zone classée "fort aléas d'inondation" et plutôt destinée à une agriculture locale, le promoteur gagne encore du temps grâce à un référé statuant sur la pose de scellés mais qui ne met pourtant pas en cause le fond des décisions. Cette construction demeure donc ILLÉGALE !

A Alès, contrairement à tout citoyen, un promoteur aurait le droit de s'affranchir du droit et construire là où c'est interdit ?

A Alès, doit-on continuer d'ignorer les risques d'inondation malgré les catastrophes survenues et de surcroit aggravé par les effets du réchauffement climatique ?

A Alès, doit-on encore poursuivre la désertification du centre-ville, de son commerce de proximité au profit de grandes surfaces éloignées, délocalisant et précarisant ainsi l'emploi alors même que l'offre de supermarché est ici supérieure aux autres villes de France ? Mais au fait, où va l'argent donné par l'État pour revitaliser ce même centre-ville ?

A Alès donc l'intérêt d'un promoteur primerait sur l'intérêt commun ?

Oui. C'est bien de tout cela dont il est question.

Après avoir laissé trainer trop longtemps l'affaire, le préfet a engagé les procédures légales sans pour autant avoir mis en œuvre ce qu'il fallait pour stopper en temps voulu ces constructions. Il doit poursuivre immédiatement les procédures qui lui reviennent et ce, sans attendre que le promoteur ne brandisse encore plus le fait qu'il engage diverses enseignes commerciales.

Ce gâchis relève de la responsabilité exclusive du promoteur avec la complicité et les choix de la municipalité.

 Stopper ! C'est ce que nous exigeons. C'est ce qu'exigent les citoyens, des associations très mobilisées, les élus municipaux d'opposition d'Alès-Réunie pour la sécurité des biens et des personnes, pour le respect du droit.

C'est ce qui anime ces citoyens qui ont lancé la construction d'un large rassemblent " Alès Citoyenne et Rassemblée " pour qu'Alès devienne une ville exemplaire en matière de pratiques citoyennes, une ville d'excellence environnementale...

suivre l'appel ici




Parti Communiste Français
Section d'Alès
04 66 52 09 25

n'imprimer qu'en cas de nécessité

Malgré "l'overdose" d'argent gratuit qui leur tombe dans les caisses tous les mois, voilà qu'elles se plaignent encore!...






Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "L'économie mondiale menacée d'une overdose d'argen..." :

Malgré "l'overdose" d'argent gratuit qui leur tombe dans les caisses tous les mois, voilà qu'elles se plaignent encore!...

«En vigueur donc depuis quelques mois, cette restriction sur les frais de découvert pèse sur les résultats financiers de la plupart des banques, à en croire leurs rapports semestriels publiés ces dernières semaines. BNP Paribas, le Crédit Mutuel, la Société Générale et La Banque Postale expliquent en effet toutes la baisse des commissions perçues dans la banque de détail par les engagements pris pour les populations fragiles.

Dans le détail, la Société Générale souligne que, sur le deuxième trimestre 2019, ses commissions ont baissé de 1,2% par rapport à l'année précédente sous l'impact, entre autres « des engagements de l'industrie bancaire pour les populations fragiles ». Un déclin que la banque rouge et noire surnomme d'ailleurs « effet Gilets Jaunes ». » (...)

https://www.cbanque.com/tarif-bancaire/actualites/75374/la-banque-postale-bnp-paribas-ces-millions-que-les-gilets-jaunes-ont-obtenu-des-banques

: Finalement la stratégie du méfait accompli paye



Envoyé par JV


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Bonjour,
Article MIDI LIBRE du jour.  Quand la justice ubuesque donne raison à un promoteur qui ne la respecte pas depuis longtemps.
Jo.
PS : article dans le même ton sur le site du média Objectif gard sur lequel tout le monde  peut faire des commentaires. Inutile de s'en priver.



GARD : « ILS ONT DIT : "LES GILETS JAUNES SONT MORTS




Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Wouaff" :

GARD : « ILS ONT DIT : "LES GILETS JAUNES SONT MORTS"
alors on a décidé de réapparaître sur nos ronds-points »

«Trêve estivale oblige, la mobilisation des Gilets jaunes s'est largement réduite ces dernières semaines. Le gouvernement peut-il pour autant souffler et espérer une rentrée apaisée ? Rien n'est moins sûr. Ce que ce reportage sur la réoccupation d'un rond-point dans le Gard nous rappelle c'est que ce qui s'est joué dans les occupations ne pouvait être réduit aux décomptes préfectoraux du nombre des participants ; et que la puissance des mouvements ne se situe jamais dans leur représentation mais dans la densité des liens qui s'y nouent et dans les solidarités qui se tissent. Si nul ne peut prédire ce qu'il adviendra de ce mouvement et de ses possibles mutations, une chose est certaine : celles et ceux qui s'y sont retrouvés ont accédé à une toute autre dimension de la politique et de la réalité que celle de nos dirigeants et de leurs spectateurs.»
.../...

«Les puissants de ce monde qui nous méprisent tant mais qui ont tant peur, ne se donnent même pas la peine d'essayer de comprendre que l'intelligence conjuguée de tous ces humains les dépasse largement ; ils prennent nos cris de ralliement pour des enfantillages – dessiner des gilets jaunes sur l'asphalte ou sur des cartons que l'on accroche aux arbres ou placarde où l'on peut, chanter des hymnes qui se figent dans leur simplicité mais n'en ont que plus de force, scander des slogans opportuns- , ils prennent notre désorganisation pour de l'infériorité – nous refusons tout piège de structuration proposée par quelques-uns, tout mot d'ordre que nous ne nous sommes pas approprié, toute facilité tombée du ciel- ils ne voient pas qu'ils font une erreur politique qui nous avantage.»
.../...

«Notre dernière sortie en public, hors manifestations du samedi, c'était pour acclamer les coureurs ; nous avions fait fort, la colline entière était toute vêtue de jaune, banderoles, panneaux, guirlandes de petits gilets taillés dans un rouleau de PQ ; nous étions tous en jaune, avec ou sans gilet tant il faisait chaud. Nous étions arrivés plus de deux heures avant l'arrivée de la caravane, ce qui nous avait laissé le temps de nous installer, poser le décor, manger, boire et rigoler avant de nous lever et tendre la deuxième banderole le long de la route. Les intérimaires de la caravane nous acclamèrent et nous jetèrent des cacahuètes même si les sponsors étaient des banques ou des agences immobilières : l'intérimaire est un gilet jaune qui s'ignore, et nous nous ferons fort de le lui dévoiler. L'éternité entre la caravane et l'arrivée des coureurs fut interrompue d'abord par une grosse Skoda remplie de gradés que l'on rassura en jurant que notre seule volonté était d'être vus pour montrer qu'on existe mais, oh, en aucun cas, casser le jeu, ou risquer l'accident, de cet évènement extrêmement populaire même si, hélas, pourri par l'argent. Puis une voiture de flics ordinaire arriva et se gara derrière, puis un, deux, trois, quatre cinq petits bus un peu nerveux ; le premier, je l'appris bien plus tard, était le panier à salade ; les autres étaient remplis de douze mecs armés pour de vrai.
Ils étaient cinquante-six et nous n'étions que seize, c'était ubuesque mais cela nous renseigna sur l'ambiance en commissariat : l'ennemi risque de sortir, cette nuit il a fait des dessins.

...On les nomme, on va les écrire : il y a des idées qui fusent de partout, et rien, rien, ne nous fera rentrer à la maison maintenant que l'on sait faire « tourner » les énergies. Et rien ne nous fera reculer parce que nous savons que tout va se durcir ; aujourd'hui c'est l'été, c'est potache, on recharge les batteries, la lutte pour la vie passe par la vie, ses joies, ses chaleurs amicales, ses courages, on sait reconnaître les amis, même potentiels, les péteux qui nous rejoindront, et ceux qui trahiront.

On œuvre pour la confluence des luttes.»

https://lundi.am/Gard-Ils-ont-dit-Les-Gilets-Jaunes-sont-morts