Objet :réunion du collectif "non à l'adhésion au grand Ales" mercredi 12 aout
Malgré une réservation de salle demandée vendredi dernier ou il n'y avait à priori au dire du secrétariat de mairie aucune raison de refus
le collectif a eu une réponse aujourd'hui : la salle ne sera pas prêtée
Un maire a t il le droit dans la mesure ou cela ne trouble pas l'ordre public de refuser un salle communale à un organisme qui vient informer la population de Lézan ,sur son avenir.
Quel mystère cette municipalité ,il y a quelques semaines à la réunion du conseil communautaire de Saint Sébastien d'Aigrefeuille ,le maire de Lézan avait voté son soutien inconditionnel à la 2C2A et cela malgré la présentation pro CAGA de Peter Kraus
Depuis peu et à ses dires sans savoir vraiment pourquoi il soutient aveuglement la fusion ,comme le maire d'Anduze
Il se refuse d'écouter les arguments du collectif et par la même occasion en prive les habitants de Lézan .
Nous vous tiendrons informés du nouveau lieu de réunion
Le reboussieràsuivre
Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
vendredi 7 août 2009
Interrogations métaphysiques à propos de certains élus ?
Sans doute nombre d’entre vous ont-ils remarqué un comportement bizarre sinon suspect de certains élus, une fois la victoire électorale acquise et même parfois de haute lutte !
Qui à t-il donc dans le système démocratique qui ne fonctionne pas tout à fait comme il devrait ?
Pourquoi certains élus à qui des pouvoirs sont confiés , n’ont-ils rien de plus précipité que de les utiliser au détriment de ceux qui les ont investi ?
J’aimerais bien qu’un psychanalyste, un psychothérapeute, un psychiatre, un psychosociologue ou même un psycho-réboussier (il y en a surement dans notre communauté de communes ?) confirme ou infirme mes propos.
Je pense qu’outre le phénomène de « Peters » auquel peu de gens ne sont assurés d’échapper un jour (moi-y compris), il y a dans le subconscient de tout individu, une foule de sentiments venus du plus lointain au plus proche du vécu ! Giscard d’Estaing disait « il vaut mieux élire quelqu’un qui est déjà riche, ainsi il sera moins tenté de le devenir ». Ne pourrait-on pas dire aussi « il vaut mieux élire quelqu’un qui a déjà trouvé son épanouissement personnel dans des fonctions antérieures, ainsi il aura moins de choses à prouver aux autres et à lui-même ? ».
Je sais, vous me citerez des exemples innombrables de mégalomanes qui, quelles que soient leurs expériences passées, ont déliré plus que nécessaire au détriment de tous. Néanmoins je constate que nombre d’élus n’ayant jamais occupé de fonctions valorisantes (à leurs yeux ou à ceux des autres) dans la vie privée et qui se retrouvent propulsés au pouvoir par la volonté populaire, se comportent en autocrates et serviteurs zélés et respectueux de l’administration.
Etaient-ils donc si peu de chose avant d’être élus, pour ressentir une toute puissance aussi intense et bien sûr aussi facile à exercer vers ceux qu’ils considèrent socialement plus « bas », c'est-à-dire là où ils se situaient avant (et où ils sont toujours, quoiqu’ils en pensent) ? Il est remarquable de constater également que ces mêmes élus sont particulièrement hargneux ou au contraire, révérencieux et serviles envers ceux qu’ils placent « plus haut » dans leur propre échelle de valeurs sociales.
Alors avant de choisir un représentant pour vous représenter (et non vous diriger), réfléchissez bien à son passé : N’est-il pas mythomane ou trop mégalo ? Si c’est un jeune, a-t-il eu un bon vécu familial ? N’a-t-il pas trop de complexes à dissimuler ? n’a-t-il pas une trop grande revanche à prendre sur la société ?
Si ce n’est plus un jeune, a-t-il exercé une activité plus épanouissante que frustrante ? A-t-il réglé ses problèmes existentiels ? A-t-il digéré ses échecs et ses succès ? N’est-il pas trop en manque de considération ? N’a-t-il pas trop de frustrations qui risquent d’entraîner un développement excessif du « sur moi » ?
Je sais, ce n’est pas facile ! Et pourtant ! C’est des questions à se poser en campagne électorale, après c’est trop tard ! Au moins pour la durée du mandat ! C’est long et c’est court, tout dépend de notre choix !
Le réboussier psycho-dubitatif
NDLR : toute ressemblance avec des élus (homme ou femme) qui pourraient se reconnaître dans ce texte de réflexion ne saurait être fortuite et involontaire.
Qui à t-il donc dans le système démocratique qui ne fonctionne pas tout à fait comme il devrait ?
Pourquoi certains élus à qui des pouvoirs sont confiés , n’ont-ils rien de plus précipité que de les utiliser au détriment de ceux qui les ont investi ?
J’aimerais bien qu’un psychanalyste, un psychothérapeute, un psychiatre, un psychosociologue ou même un psycho-réboussier (il y en a surement dans notre communauté de communes ?) confirme ou infirme mes propos.
Je pense qu’outre le phénomène de « Peters » auquel peu de gens ne sont assurés d’échapper un jour (moi-y compris), il y a dans le subconscient de tout individu, une foule de sentiments venus du plus lointain au plus proche du vécu ! Giscard d’Estaing disait « il vaut mieux élire quelqu’un qui est déjà riche, ainsi il sera moins tenté de le devenir ». Ne pourrait-on pas dire aussi « il vaut mieux élire quelqu’un qui a déjà trouvé son épanouissement personnel dans des fonctions antérieures, ainsi il aura moins de choses à prouver aux autres et à lui-même ? ».
Je sais, vous me citerez des exemples innombrables de mégalomanes qui, quelles que soient leurs expériences passées, ont déliré plus que nécessaire au détriment de tous. Néanmoins je constate que nombre d’élus n’ayant jamais occupé de fonctions valorisantes (à leurs yeux ou à ceux des autres) dans la vie privée et qui se retrouvent propulsés au pouvoir par la volonté populaire, se comportent en autocrates et serviteurs zélés et respectueux de l’administration.
Etaient-ils donc si peu de chose avant d’être élus, pour ressentir une toute puissance aussi intense et bien sûr aussi facile à exercer vers ceux qu’ils considèrent socialement plus « bas », c'est-à-dire là où ils se situaient avant (et où ils sont toujours, quoiqu’ils en pensent) ? Il est remarquable de constater également que ces mêmes élus sont particulièrement hargneux ou au contraire, révérencieux et serviles envers ceux qu’ils placent « plus haut » dans leur propre échelle de valeurs sociales.
Alors avant de choisir un représentant pour vous représenter (et non vous diriger), réfléchissez bien à son passé : N’est-il pas mythomane ou trop mégalo ? Si c’est un jeune, a-t-il eu un bon vécu familial ? N’a-t-il pas trop de complexes à dissimuler ? n’a-t-il pas une trop grande revanche à prendre sur la société ?
Si ce n’est plus un jeune, a-t-il exercé une activité plus épanouissante que frustrante ? A-t-il réglé ses problèmes existentiels ? A-t-il digéré ses échecs et ses succès ? N’est-il pas trop en manque de considération ? N’a-t-il pas trop de frustrations qui risquent d’entraîner un développement excessif du « sur moi » ?
Je sais, ce n’est pas facile ! Et pourtant ! C’est des questions à se poser en campagne électorale, après c’est trop tard ! Au moins pour la durée du mandat ! C’est long et c’est court, tout dépend de notre choix !
Le réboussier psycho-dubitatif
NDLR : toute ressemblance avec des élus (homme ou femme) qui pourraient se reconnaître dans ce texte de réflexion ne saurait être fortuite et involontaire.
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