dimanche 30 juin 2013

Hier soir à Anduze très bon concert de jazz manouche sur le plan de brie

Hier soir à Anduze très bon concert de jazz manouche sur le plan de brie
Concert prévu initialement au parc des cordeliers
Mais sans doute , pour des raisons de travaux de bétonnage de ce parc ...Toujours en cours , le concert a été déporté sur le plan de brie
Cette musique très swing a permis à des danseurs , sans doute d'une école de danse , de nous faire une démonstration de leur talent, très réussi .
Malheureusement après, une bande d' illuminés a envahi l' espace , en essayant de nous convaincre de leur technique , proche d' une danse de pintade en rut ou de phoques (ou focs) amoureux .
Peut être se croyaient ils incontournables .
Nous les avons contourné ...Nous sommes partis

Merci encore aux musiciens , géniaux

Le reboussierjazz

Du nouveau dans l'affaire Pradille


 
Affaire Pradille : Habitat

du Gard saisit le Procureur

Hier après-midi, le conseil d'administration de

l'office public d'HLM du département, Habitat du Gard a, en

quelque sorte, soldé l'affaire Pradille. Deux délibérations ont

été approuvées par les administrateurs concernant les

quelque 1,5 Mde dommages et intérêts que l'ex-sénateur a

été condamné définitivement à payer à l'office en 2006.

À l'unanimité, le conseil d'administration a ainsi choisi de

déposer plainte auprès du procureur de la République pour

une « éventuelle organisation frauduleuse d'insolvabilité »

par l'ex-élu PS gardois. Cette action se base sur la mise en

évidence par l'huissier de justice mandaté par l'Office pour

tenter de recouvrer les sommes dus, de mouvements sur le

patrimoine de Claude Pradille, pour une somme estimée à

90000 .

Par ailleurs, les administrateurs d'Habitat du Gard ont

constaté à l'unanimité moins une abstention, l'impossibilité

pour l'organisme de procéder au recouvrement de l'intégralité

de la somme due. Ainsi, l'Office va effacer 1,3 Mde

recettes inscrites sur son budget mais désormais reconnues

comme irrécouvrables. Le directeur Stéphane Cabrié et le

président de l'Office Denis Bouad insistent toutefois sur le fait

que cette délibération n'éteint pas la dette elle-même qui,

légalement, court trente ans après le jugement.

JEAN-PIERRE SOUCHE

jpsouche@midilibre.com

Plus d'informations dans Midi Libre demain.