mardi 30 janvier 2018

Macron et Bilderberg



La lecture de ce récit vaut son pesant d'or : tout a été orchestré !

  Nous avons tous pu prendre connaissance des sommes engagées par les

différents candidats lors des dernières élections présidentielles.

On découvre ainsi qu'Emmanuel Macron a dépensé 16,7 millions d'euros

pour sa campagne. C'est même le candidat qui a dépensé le plus.

 

  Curieusement, aucun journaliste soulèvera la question suivante :

  Comment un homme inconnu du grand public un an auparavant, jamais élu,

a-t-il pu en  moins de deux ans créer un parti politique, l'animer et

rassembler autant d'argent en si peu de temps ?

 

  La réponse à cette question, la genèse de l'histoire, c'est, en

quelques sorte, Parker Pointu, commentateur de ce blog qui nous

l'explique...

  Accrochez-vous, ça décoiffe :

 

  " Macron est remarqué par Henri de Castries, président d'AXA mais aussi

président du Groupe Bilderberg, aussi appelé conférence de Bilderberg ou

Club Bilderberg, un rassemblement annuel de plus d'une centaine de

membres essentiellement américains et européens, et dont la plupart sont

des personnalités de la diplomatie, des affaires, de la politique et des

médias.

  Ils voient en Macron l'opportunité d'infléchir la politique économique

et industrielle française et de contrer les syndicats, pour aller sur

une politique libérale à l'anglo-saxonne.

  Cependant Macron ne parvient pas, à son poste de conseiller économique

à l'Elysée, à faire fléchir Hollande et son gouvernement.

  Lors de la réunion du Groupe Bildelberg à Copenhague du 29 mai au 1 er

juin 2014, la réunion compte de nombreux banquiers notamment de la

Deutsche Bank, Christine Lagarde, Benoit Coeuré, ancien de la BCE, et

Macron.

 

De Castries et plusieurs banquiers se voient en présence de Macron.

Il est donc décidé de faire pression sur Manuel Valls pour que Mr Macron

soit ministre de l'Économie, de l'Industrie et du Numérique dans le

gouvernement Valls II en remplacement d'Arnaud Montebourg trop instable.

Jean-Pierre Jouyet est contacté et influence François Hollande et Macron

est donc nommé Ministre le 26 août 2014.

De Castries voit Valls et lui suggère de faire un geste vis-à-vis du

patronat, de redorer son blason, qu'il en serait récompensé.

Le 27 août Valls participe à l'université d'été du MEDEF il a prononcé

un discours salué par une longue « standing ovation ».

  Les financiers ont réussi leur coup. Leur prodige est à leurs bottes,

il n'y a plus qu'à manipuler la marionnette.

 

  Le patronat est satisfait mais le trouve encore trop timide dans ses

réformes, ils le poussent à faire la loi « Macron 2 », mais Valls s'y

oppose et donne le projet de réforme à Myriam El Khomri.

Les financiers sont furieux contre Valls et décident sa perte, Valls les

a trahi.

 

  Cependant Macron réussi à inclure dans la loi : la réécriture du

licenciement économique et le plafonnement des indemnités prud'homales.

  Valls rétrograde Macron dans l'ordre protocolaire du gouvernement à

l'occasion du remaniement réduit de février 2016.

 

  Le 21 mars 2016 De Castries, Gattaz (MEDEF), Mario Draghi (BCE), John

Cryan  DB, des financiers et les patrons des groupes de presse, Bolloré,

Drahi,  Bergé se réunissent à Francfort, et décident d'épauler Macron

pour la création d'un parti dévoué à leur cause.

  Macron sera épaulé et financé pour créer un parti politique.

La manipulation est simple la presse écrite doit lui consacrer de

nombreuses unes, notamment la presse féminine, et la presse destinée aux

jeunes.

La télévision doit le présenter comme le gendre idéal.

 

  Les patrons de presse créaient des groupes de travail uniquement dédiés

à l'image et à la communication Macron.

Bolloré a eu cette réflexion : « Puisque la mode est aux couguars et aux

MILF mettons sa couguar à la une, c'est tendance, les jeunes vont

kiffer! ».

 

Les financiers vont élaborer la création du parti.

  Ils créent deux associations : l'« Association pour le renouvellement

de la vie politique » et l'Association de financement du parti

  La machine est en marche.

  Le 6 avril 2016 le parti est créé.

  L'argent des groupes financiers abonde, la campagne est lancée.

  Fin avril 2016 Edouard Philippe maire du Havre est invité par De

Castries et Bolloré, à Paris, ces derniers lui demandent de soutenir

Macron puis ils invitent le futur premier ministre à la réunion

Bidelberg qui se tient du 10 au 12 juin 2016 à Dresde. Une réunion s'en

suit avec Christine Lagarde, Baroso et d'autres financiers.

 

A l'issue se tient une autre réunion à Berlin où il est décidé de faire

de Macron le Président de la France.

  Sont présent des financiers, le directeur de la BCE, Drahi, Bolloré,

Bergé et surprise : Mr Louvel Président du Conseil supérieur de la

Magistrature. Ils sont rejoints le temps d'un dîner par Madame Merkel.

 

Dans le même temps, il faut penser à décrédibiliser Hollande, un débat

aura lieu le 14 avril 2016 sur France 2.

  Les patrons de presse font pression sur Michel Field, patron de l'info

du groupe France Télévision, pour que ce soit Léa Salamé, journaliste

aux dents longues, multimillionnaire par son mariage et bobo moraliste

qui anime le débat.

  Le 14 avril 2016 elle fait son effet et François Hollande ne sera pas

épargné.

 

En novembre, les primaires de droite sont ouvertes, Fillon gagne.

  Jugé trop frileux dans son programme par les financiers, ils décident

de l'éliminer.

  L'affaire Fillon est lancée, bien d'autres élus de droite et de gauche

font travailler leur conjoints ou enfants, mais Fillon doit être

éliminé.

  Des rendez-vous sont pris par des informateurs dépêchés par les grands

groupes de presse avec des journalistes du Canard Enchaîné et de

Médiapart,  journaux qui ont vu leurs subventions augmenter en 2017,

comme par hasard.

Gaspard Ganzter, conseiller de Hollande mais aussi camarade de promo de

Macron à l'ENA, rencontrera le directeur du Canard début janvier.

  Déchaînement des médias sur Fillon, les journalistes bien obéissants et

soi-disant indépendants se déchaînent mais surtout ils prennent soin de

ne pas dénoncer les autres politiques qui commettent les mêmes délits.

  L'homme à abattre c'est Fillon.

 

De l'autre côté, ordre est donné d'axer sur le FN, sachant que lors

d'une confrontation Macron Le Pen, Macron serait élu. La Machine

médiatique est en route, les magistrats sont dans la course; peu 

importe si cette campagne est nauséabonde, mais Macron doit sortir

vainqueur coûte que coûte.

 

Lors d'une entrevue, entre Macron, Drahi, et Bolloré, Drahi dit à Macron

: « Ne brusque pas les français, dis leur ce qu'ils veulent entendre, ce

sont des veaux, ils veulent une idole, un homme providentiel, ils sont

dans le délire présidentialiste.

 

Ils haïssent les gens qui réussissent et gagnent de l'argent, ils

veulent  que tu sentes le pauvre.

Sache les séduire et les endormir et nous aurons ce que nous voulons.

  Beaucoup de gens (financiers et grands patrons) comptent sur toi, ne

les  déçois pas !

Sers toi des gens du spectacle, du show-biz, ces arrivistes incultes,

qui  se disent de gauche parce que cela fait bien, qui critiquent les

financiers  et l'argent, mais sont les premiers à faire de l'évasion

fiscale, tu verras ils viendront te lécher les fesses par intérêts, ce

sont les pires, je ne les aime pas !» Bolloré lui dit : « Le Français

veut de l'information instantané, du scoop, il ne réfléchit pas, du

foot, des émissions débiles,  du cul, de la bière et il est heureux, il

faut leur servir ce qu'ils veulent ! »

 

Réunion le 11 avril 2017 avec De Castrie, Drahi, Jouyet, Sarre et

d'autres personnages influents avant le 1er tour des élections, la ligne

médiatique est organisée, la presse est dévouée à Macron, mais Mélanchon

inquiète, ainsi que le manque de confiance des français envers les

politiques.

 

Le 23 avril 2017 ils sont rassurés, Macron est en tête avec 24%.

  Drahi félicite Macron et lui dit : «Tu es président les français

n'auront jamais les couilles de voter Le Pen et les autres tordus vont

venir te lécher les fesses et voteront pour toi ! ».

Cela se finit à la Rotonde... Macron savait qu'il était président.

 

  Le 24 avril la bourse prend 7 points, les places financières sont aux

anges !

Ces élections présidentielles furent qu'à un seul tour, magnifiquement

orchestrées par, les médias, la finance et le CAC 40, les français n'y

ont vu que du feu !

  Le 7 mai 2017, Macron est élu et nos patrons de presse et autres vont

mettre leur terrible plan « en marche ».

  Le spectacle du Louvre fut un délire narcissique dont l'analyse révèle

bien des intentions que je qualifierais de « déviantes » et bien

éloignées des problèmes et attentes des Français.

 

Reste maintenant la dernière étape : les législatives.

Faire élire 50% à l'Assemblée Nationale de personnes qui n'ont jamais

touché à la politique ou eu un mandat électoral.

Cette manœuvre est organisée depuis Paris dans le cadre d'un mystérieux

processus de sélection afin d'achever d'affaiblir le pouvoir législatif,

le cœur de la démocratie, en mettant en place une sorte d'aréopage de

personnes désignées qui seront à la botte du régime.

  Là aussi, personne ne se posera la question du financement de toutes

ces investitures. « Il faut que tout change pour que rien ne change ».

 

Au second tour des législatives, Macron obtiendra une très nette

majorité.

 

Le changement est devenu le deus ex machina de la politique.

Il a suffi de le promettre pour conquérir le pouvoir.

 

  Le peuple, par ces élections, a perdu sa souveraineté; maintenant il

élit la personne que les financiers et les patrons de presse ont choisi.

 

Mais le réveil va être brutal et les français vont bientôt pleurer !

 

  Parker Pointu

 

  NB: Toutes les informations citées supra peuvent être vérifiées, ce ne

sont pas des affabulations, ceux qui chercheront à savoir et qui ne se

laisseront pas manipuler par les médias découvrirons cette triste

vérité."

  Le lecteur averti remarquera que la quasi-totalité des acteurs

principaux de cette histoire sortent du même moule: Science-Po, ENA

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