LES VÉRITÉS D'UN RAFFINEUR EN COLÈRE : "ON VOUS MENT SUR LA PÉNURIE DE CARBURANTS !" Le Média
https://youtu.be/OptoFagVhqc
C'est un bras de fer qui pourrait bien être le point de départ d'un conflit social de grande ampleur. La grève des raffineurs de TotalEnergies et d'Exxon Mobil est parvenue à s'imposer dans l'agenda politique national en créant une pénurie de carburants et en paralysant en partie l'activité économique. Peu désireuse de négocier avec les grévistes, la direction de TotalEnergies préfère engager la bataille de l'opinion publique et vouer la CGT et les grévistes aux gémonies.
Ce sont les éléments de langage patronaux qui sont recyclés par la CFDT et le gouvernement dans le cadre de cette bataille de l'opinion : c'est en tout cas la conviction d'Adrien Cornet, syndicaliste CGT à Total Grandspuits, qui a bien voulu répondre aux questions du Média. Et qui en a profité pour s'adresser aux Français, et leur expliquer mes motivations d'un combat mené en réalité, dans son entendement, pour tous les travailleurs du pays.
Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
lundi 10 octobre 2022
ON VOUS MENT SUR LA PÉNURIE DE CARBURANTS !
Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Essence : Macron réagit aux grèves chez Total, « Pas de panique »" :
Le 16 octobre, ne vous laissez pas faire. Marchez !
Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "VIDEO. Jean-Luc Mélenchon estime qu'Adrien Quatennens "n'est pas un violent parce qu'il a été violent une fois"" :
Le 16 octobre, ne vous laissez pas faire. Marchez !
JEAN-LUC MÉLENCHON
https://youtu.be/ryHTZSnoBEU
Le 9 octobre 2022, Jean-Luc Mélenchon était l'invité de l'émission Dimanche en Politique sur France 3.
Tout d'abord interrogé sur la situation en Ukraine, il a rappelé que l'escalade menée par Monsieur Poutine était insupportable. Il a précisé néanmoins que la France ne faisait pas la guerre au peuple russe qui n'avait rien demandé, mais à l'invasion de l'Ukraine par la Russie de Monsieur Poutine.
Jean-Luc Mélenchon a ensuite évoqué la pénurie d'essence qui frappe le pays. Il a regretté que l'État n'ait rien prévu ou organisé en amont pour éviter ça. Il a rappelé qu'il avait notamment proposé durant la campagne présidentielle de discuter avec les Algériens qui ont les ressources nécessaires, ou encore que Macron organise au niveau européen le blocage des prix. Mais rien n'a été fait.
Il a ensuite abordé la taxe sur les superprofits proposée par la NUPES. Il a expliqué qu'il était totalement anormal qu'un milliardaire ait gagné 30 milliards d'euros en un an. Il a précisé qu'avec cette taxe il était possible de nourrir gratuitement tous les enfants de France dans toutes les cantines de France. Pour signer la pétition pour demander une taxe sur les superprofits : https://taxesuperprofits.fr/.
Jean-Luc Mélenchon a expliqué que sur les retraites les macronistes n'étaient pas d'accord entre eux parce qu'il y a un concours à qui va être le plus brutal. Il a souligné qu'il se passait en France ce qu'on a observé en Suède et en Italie c'est-à-dire l'alignement du centre sur la droite et l'extrême droite et que les trois allaient finir par faire bloc.
Il a ensuite appelé à participer en nombre à la marche du 16 octobre contre la vie chère, l'inaction climatique et pour défendre nos retraites. Il a indiqué qu'il était possible de faire reculer le gouvernement si le peuple descendait en masse dans la rue. Toutes les informations sur la marche sur https://marche16octobre.fr/.
Il a ensuite évoqué l'organisation du mouvement La France insoumise en expliquant qu'il était dirigé par une coordination de ses différents espaces et que tous les responsables du mouvement étaient élus.
Interrogé sur son avenir, Jean-Luc Mélenchon a précisé qu'il allait continuer à donner son avis tout en participant au développement de la fondation de la France insoumise : La Boétie.
Il a expliqué que la NUPES avait pu exister grâce à une unité autour d'un programme de rupture, et qu'une candidature commune en 2027 était uniquement envisageable si cela restait basé sur un programme de rupture
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