lundi 22 avril 2019

Justice : la cour administrative d'appel annule la privatisation de l'aéroport de Toulouse-Blagnac - France 3 Occitanie

https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/haute-garonne/toulouse/justice-cour-administrative-appel-annule-privatisation-aeroport-toulouse-blagnac-1656132.html

Si l’on voulait entendre Gaspard Glanz, on pouvait le convoquer à une date ultérieure





Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "J'ai refusé de signer ma déclaration parce qu'il y..." :

À partir de 10h [ce lundi], une cinquantaine de personnes étaient rassemblées devant le commissariat 80 avenue Daumesnil, à Paris, où le journaliste était incarcéré depuis samedi soir. Déployant une banderole, "Bon anniversaire, Gaspard" - M. Glanz est né le 22 avril 1987 -, ils criaient lorsque des policiers sortaient ou entraient dans le commissariat, "Libérez Gaspard !".

Parmi les personnes rassemblées, on reconnaissait Thomas Porcher, Bruno Gaccio, le philosophe Geoffroy de Lagasnerie, la représentante du Syndicat national des journalistes, Dominique Pradalié, le comédien Yvan Le Bolloc'h, l'avocat Arié Alimi, etc.
Un avocat de Gaspard Glanz, Raphaël Kempf, a déclaré : « La garde à vue est une mesure de contrainte et de privation de liberté qui doit être absolument nécessaire à la réalisation d'une enquête. Dans ce cas, cette mesure n'était pas absolument indispensable. Si l'on voulait entendre Gaspard Glanz, on pouvait le convoquer à une date ultérieure et on n'avait pas besoin de l'enfermer dans une cellule crasseuse pendant quasiment 48 heures ». (...)

https://reporterre.net/Le-pouvoir-incarcere-le-journaliste-Gaspard-Glanz

La politique de Macron qui pour donner toujours plus aux plus riches fait la poche des plus pauvres, casse toutes les solidarités



Élections municipales 2020

Conférence de presse - 20 avril 2019 / Section d'Alès du PCF


Les communistes Alésiens appellent au rassemblement

pour tourner la page à Ales

 

La politique de Macron qui pour donner toujours plus aux plus riches fait la poche des plus pauvres, casse toutes les solidarités, oppose les gens les uns aux autres, privatise pour la plus grande joie des banques et de la finance a réussi à mettre la France d'en bas sur les ronds-points et dans la rue depuis 5 mois.

L'austérité, la réduction drastique des dépenses publiques impactent fortement les communes qui voient leurs ressources fondre à vue d'œil. Et ce sont encore les familles les plus fragiles qui en paient le prix fort. La loi NOTRE éloigne les lieux de décisions en donnant toujours plus de pouvoirs aux agglos et à leurs villes centres, au détriment des communes et des citoyens.

Avec un douloureux « effet ciseaux » : D'un côté l'aggravation de la situation sociale du plus grand nombre qui appellent plus de dépenses sociales et plus de services publics… De l'autre des recettes fiscales en berne et des dotations de l'État en fort recul. Ces politiques libérales désastreuses depuis 20 ans qui divisent les citoyens,  leurs quartiers, appauvrissent et détruisent leurs services publics, leur emploi, leur environnement, ... sont relayées sans complexe à Alès depuis trop longtemps par leur représentant Roustan, qui, comme ses amis, était assujetti à l'ISF... quand cet impôt des riches existait encore.

Les communes et surtout leur libre administration sont au cœur des attaques du monde de la finance qui aimerait bien mettre la main sur nombre de services actuellement rendus par les municipalités. Les communes sont le cœur battant de notre République. Elles sont le creuset historique de traditions et de transformations, des lieux de résistance, de projets et de décisions partagées… Elles sont des forces d'entraînement démocratique incomparables.

La commune n'est pas un échelon de notre vie politique et démocratique comme les autres. Après la présidentielle, elle est l'élection à laquelle les Français participent le plus. C'est l'élection qui enracine probablement au plus profond de notre peuple sa tradition de participation citoyenne. Les élections municipales, à la place qui est la leur, peuvent constituer un front essentiel de la bataille pour le changement. Le mouvement des Gilets jaunes en témoigne ; il porte l'exigence de démocratie, de justice, de services publics de proximité et de qualité.

Comment construire des majorités municipales qui soient utiles au progrès social, au mieux vivre des populations, à l'aménagement durable des territoires.

En 2020 ça fera 25 ans que Max Roustan est maire d'Alès et président de l'Agglo. Il faut tourner la page.

L'éparpillement comme c'est le cas pour les élections européennes ne permet pas de faire émarger des dynamiques politiques nouvelles. Nous voulons modifier les rapports de force, inventer de nouvelles solidarités, de nouvelles formes de coopération, faire de l'agglo et des mairies des lieux de résistances aux politiques d'austérité, apporter des réponses aux attentes sociales.

Pour réussir cela la section d'Alès prendra sur l'ensemble de son territoire des initiatives afin de construire de larges rassemblements politiques et citoyens. Il nous faut penser le rassemblement au sens large et de manière multiforme, créer des espaces politiques où l'on encourage la participation des citoyennes et citoyens, dans le respect des uns et des autres.

Beaucoup de gens sont disponibles,  nous avons de nombreux points de convergence, promotion des services publics, démocratie locale, transports, culture, logements, emplois, environnement et écologie…

Nous allons travailler à l'unité des forces pour l'alternative à gauche,  dialoguer avec des personnalités politiques et de la société civile.  Ce n'est pas ni derrière un parti ni derrière une seule personne que ça se fera. Nous avons besoin de projets ambitieux, de la participation du plus grand nombre. C'est ce à quoi nous allons contribuer.

 



Parti Communiste Français
Section d'Alès
04 66 52 09 25


J'étais à République hier.

J'étais à République hier.
Il y avait environ 8 000 personnes: des jeunes, des vieux, des handicapés, des mères de famille, et allez 10 blacks blocks...

Sur la place tout était calme. Beaucoup étaient assis au soleil, buvant de l'eau, mangeant un sandwich (il y avait des stands de merguez).

Certes il y a eu durant 5 minutes le saccage d'une enseigne de sport. Soyons francs c'était une dizaine de petits gars de banlieue qui profitaient de la situation. Et non des Gilets Jaunes ou des Blacks Blocks.

La grande majorité des manifestants, absolument pacifistes, monsieur et madame tout le monde, voulaient quitter la place et rentrer chez eux.
Toutes les issues de la place étaient bloquées par des cordons et camions de CRS. Impossible de sortir, nulle part.

D'autres CRS, gendarmes et policiers (notamment de la BAC) ont commencés à lancer des lacrymogènes puis à charger soit disant pour disperser la manifestation... Mais il n' y avait pas d'issues !!! Nous étions parqués comme des lapins, obligés de subir les gazs, les charges, les tirs de LBD, les grenades de désencerclement...

Et ceci durant 3 heures (de 15h30 à 18h30).
Pendant ces 3 heures les manifestants à 99% totalement pacifistes (je le redis c'est vraiment monsieur et madame tout de le monde, de tous âges) ont subis le harcèlement des forces de l'ordre, sans raison...

Alors bien sûr on ne vous le dis pas dans les médias... Et puis ça fait des images chocs.

Il y a eu en tout et pour tout 2 poubelles incendiées, rien de plus...

Les seules personnes qui pouvaient quitter la place l'ont fait sur des civières... Et j'en ai vu une petite dizaine. Il y avait beaucoup de sang... Et je n'ai pas vu tous les blessés évacués, la place est grande...

Voilà ce que j'ai vu de mes propres yeux. Voilà comment on fabrique des images de violence en parquant des gens absolument pacifistes, en les harcelants.
Je me suis même dis que les français étaient très très patients. Dans d'autres pays la foule aurait forcé les cordons de CRS et ça aurait été un carnage.

Sebastien Bailly

ACTE 23 : LA PEUR CHANGE DE CAMP

https://youtu.be/rxP7nLRVNIM