Harcèlement ! J’écris ton nom.
A la lecture de la lettre de la majorité du conseil municipal de Tornac, grande fut mon incompréhension lorsque le terme de “ harcèlement” apparut.
Ne maîtrisant qu’imparfaitement la langue de Molière, je me précipitais vers le Larousse où je trouvais la définition suivante :
Harcèlement : action de harceler.
Harceler : 1- soumettre à des attaques répétées.
2- importuner par des demandes ou des critiques continuelles.
N’ayant qu’à une seule occasion discuté avec un conseiller municipal de Tornac auquel, il est vrai, j’ai fait part de mon désaccord quant au vote de la municipalité en faveur du projet du préfet, je ne me considère pas comme un harceleur. C’est le reflet de la liberté d’expression.
Si, dans cette lettre, il est fait cas de harcèlement tel que je le décris ci-dessus, je m’insurge devant le manque de maîtrise de la langue française de la part de certains.
Chaque fois que je discute avec quelqu’un et que je ne suis pas en accord avec lui, je le harcèle ? Quel manque de discernement !!
Dans quelle socièté pensez-vous vivre ? Celle du “ Meilleur des mondes “ d’Aldoux Huxley ou bien celle de George Orwell dans “ 1984 “. Si c’est cette société que vous appelez de vos vœux, faites-nous le savoir.
Personnellement, je préfère l’indignation saine des Voltaire, Hugo, Zola…ces libres penseurs, hérauts de la liberté absolue de conscience.
Alors, Mesdames et Messieurs les censeurs, es aqui en patoes dé la mountagno que sé dis :
“ Sé lou cubert s’escaso, la poulo sé desnano “
Eric Bastide.