Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre message "La Marseillaise mercredi 6 septembre 2012

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Que Alain Beaud se fasse traiter par un serviteur de l'état de Don Quichotte, dans le contexte actuel de déliquescence du pouvoir et de la classe politique, ce n'est absolument pas péjoratif, c'est presque une marque d' honneur et de rappel aux valeurs républicaines.
D'abord, il n'y a pas qu'un seul Don Quichotte, nous sommes plusieurs milliers sur le secteur de la 2C2A. Il y a quelque temps déjà M. Diez contempteur du méli mélo politique local avait titré dans le Midi pas si Libre «  « Le préfet recadre M. Beaud ». Ce dernier devrait savoir que l'on ne recadre pas une opinion aussi publique et que l'on ne met au pas des populations « au pas » sauf sous certains régimes....

Donc disais je, se faire traiter de Don Quichotte dans un climat de foutage de gueule aussi généralisé, c'est plutot un compliment, voire une attitude d'hygiène publique … 
Rappelez vous, l'ennemi c'est la « finance », le traité Merckel Sarko à mettre à la poubelle de l'histoire, « on » bloquera le prix de l'essence !!!! etc, etc, etc 

Et au niveau local qu'un préfet de droite, dont le dossier est vide sur les conséquences de ses choix, sous un gouvernement de gôche se permette de trivialiser à mauvais escient des élus et une population qui pense majoritairement à gauche… 

Quand on voit la distance entre le discours sur les collectivités et la réalité sur le terrain, il y a de quoi être confondu...
Et que peux t on penser de l'arrosage généralisé de vices présidences bidons dans ce futur aglomérat alors que la situation est dramatique autant pour les finances publiques que pour les familles !

C'est ça le CHANGEMENT !!!!

Bref, attendez vous à ce que nous soyons encore coccus de multiples manières de la part de dirigeants claniques qui ont découvert la « crise » le lendemain des élections législatives …


Un électeur coccu en colère

Taxe à 75% : retour sur une mesure controversée - Le Nouvel Observateur

http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/20120907.OBS1714/taxe-a-75-retour-sur-une-mesure-controversee.html#xtor=EPR-1-%5BActu8h%5D-20120908

Le Reboussier dérange , mais s' il vous plaît n' en faite pas un fromage

À noter!

 

L'association des Amis de la Bibliothèque de Massillargues-Atuech

vous propose

 

une soirée théâtre

 

le vendredi 14 septembre à 20h30 au Foyer

 

Le Théâtre de la Palabre qui a déjà joué pour nous plusieurs spectacles – Petits Crimes Conjugaux et Tableau d'une exécution, pour ne citer que les deux derniers - nous fait l'honneur et le plaisir de nous proposer l'avant-première de leur dernière création :

 

1962

de Mohamed Kacimi

 

avec Élisabeth Gavalda, Vincent Granger et Vincent Lorimy

 

1962 un sujet épineux : l'Indépendance de l'Algérie. À peine cinquante ans.

Qui n'a pas entendu parler de l'Indépendance ?

À peine évoque-t-on l'Indépendance, la guerre d'Algérie, les langues se délient.

Beaucoup de gens de tous les bords ont été touchés, blessés, meurtris par cette guerre.

La mémoire a besoin de parler.

Quel Français, quel Algérien n'a pas eu un membre de sa famille impliqué de près ou même de très loin, dans ce conflit ?

 

Ce texte écrit 35 ans après l'Indépendance, nous jette à la figure que la vie continue, que Nadia et Gharib, les deux protagonistes de la pièce, ont choisi des façons différentes d'exister.

Dans leur rencontre au port de Marseille, ils se rappellent leurs naïfs souvenirs, leurs rêves, leurs envies, leurs besoins de liberté.

Un témoignage de leurs enfances à El Hamel, leurs adolescences et leurs vies d'aujourd'hui.

 

"1962" soulève des problématiques tabous sur lesquelles nous avons besoin de discuter, d'entendre raconter, tant cette Histoire est proche de nous.

Nous avons besoin de comprendre et de ne pas oublier.

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