dimanche 22 août 2010

Un autre Façon pour éviter les OGM's

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On a bien signé la pétition contre l'utilisation des OGM's en Europe, je suis quand même un ancien chimiste de Monsanto.
Mais il ne faut pas toujours être d'accord avec les grands patrons américains et leur philosophie mondiale de "robotiser" les gens.

Avec la croissance dans la population mondiale vers les 10 milliards dans le futur proche, il ne faut pas s'inquiéter que l'industrie mondiale va essayer, avec grand succès, de profiter de tout cela. Ceci a déjà bien démarré avec l'industrie pharmaceutique et leur bonne volonté de nous garder en bonne santé avec leur gamme excessive des médicaments et leur excellente intention de nous vacciner pour n'importe quel petit problème, comme la grippe H1N1, hépatites et l'HPV. De vivre une vie saine, manger bien équilibré, faire du sport, tout cela n'est pas dans leur programme et dérange lourdement leur balance financière.

Même chose pour les OGM's! On continue de faire l'amour avec comme résultat, beaucoup d'enfants qu'on doit bien nourrir. Les gens ne veulent plus travailler dans les champs ou chez nous dans les vignes, donc on va vous développer du glyphosate et des OGM's pour que vous restiez bien planqué devant la télévisons pour regarder le foot et des jeux inutiles. Dans le Midi Libre de la semaine passée, il y a avait un article concernant la vente des écrans plats qui a augmenté de 35% en 2010, de plus, il y a une bonne croissance dans la vente des smartphones.

Donc cette façon de vivre intéresse vraiment toute l'industrie chimique, pharmaceutique, TV, télécommunication et automobile.
D'ailleurs, on préfère acheter tous nos vêtements très bon marché, donc produit en Chine, souvent avec une qualité misérable, mais c'est si bon marché, qu'on les jette et qu'on achète p.ex. Des autres t-shirts, 3 pour 8 euros. Et la Chine nous achète petit à petit l'industrie européenne d'automobile.

Restons Européennes, vivons un peu plus sainement et peut-être travaillerons nous un peu plus que 35 heures par semaine. Après tout cela on se sent beaucoup mieux et on pourra ralentir un peu la mondialisation qui nous transforme en "robots"!

Honni soit qui mal y pense

Rebelton

Ce dernier vient à Nîmes le 17/09 vanter les "mérites" de la réforme territoriale.

Invitation à une rencontre (privée) avec le Président de l'AMF et Alain MARLEIX, Secrétaire d'état aux collectivités territoriales. Ce dernier vient à Nîmes le 17/09 vanter les "mérites" de la réforme territoriale.


Les SEL, des échanges pour créer du lien social et faire face à la crise

SystèmesLes d'échanges locaux (SEL), qui se réunissent à partir de lundi à Jambville (Yvelines) pour leur 13e rencontre annuelle, apparaissent pour leurs membres, appelés "selistes", comme un vecteur de lien social et un outil anti-crise.

"Le SEL, c'est plus large que le troc, les personnes apportent ce qu'elles ont à apporter aux autres, cela peut être des vêtements mais aussi des savoirs comme des cours de yoga ou de poésie", explique Claudine Maigre, 60 ans, cadre en gestion immobilière à la retraite et animatrice du SEL de Paris.
Apparus en France en 1994, les SEL permettent des échanges de services, d'objets ou de connaissances au sein d'un groupe d'adhérents ou "selistes". Les échanges sont mesurés par une monnaie locale - appelée grain, truffe, piaf, etc. -, qui fait référence le plus souvent au temps passé - une minute équivaut à une unité -.
Ce système, inspiré du troc, est né au Canada dans les années 1980, en période de crise, avant de se propager dans le monde.
Selon les organisateurs de la rencontre Inter-SEL, qui se tiendra du 16 au 22 août, il existe plus de 400 structures de ce type en France, regroupant plus de 30.000 personnes.
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Les SEL, des échanges pour créer du lien social et faire face à la crise
Le SEL, qui réunit toutes les catégories sociales, permet, selon Mme Maigre, de rompre l'isolement pour les personnes âgées ou les chômeurs, de faire des économies pour les étudiants et les retraités et de bénéficier de services pour ceux qui travaillent.
Elle souligne également que les SEL ont "beaucoup servi durant la crise économique en Argentine".
Cette sexagénaire au chignon soigné organise ce jour-là une rencontre entre un artiste d'origine roumaine, barbe blanche et costume crème, qui compte écrire un livre mais manque d'aisance en français, et une autre seliste, Marie-Louise Thomas, 63 ans, passionnée de poésie, qui pourrait l'aider dans son travail d'écriture.
Mme Thomas, qui participe également à un Réseau d'échange réciproque des savoirs (RERS) permettant d'échanger des connaissances gratuitement, a fait par l'intermédiaire du SEL des plats cuisinés, aidé un étudiant à écrire une thèse et trouvé pour sa part des vêtements.
"Cela permet de créer du lien social pour des personnes isolées", insiste la retraitée.
Puis arrive chez Mme Maigre, Isabelle Gurchonovitch, une dynamique quadragénaire au rire communicatif. Elle vient chercher un K-way et un pantacourt, le tout pour 120 "piafs", la "monnaie" utilisée par les selistes parisiens.
"J'ai refait toute ma garde-robe chez Claudine !", lance la jeune femme, qui alimente son compte en piafs grâce à des travaux informatiques.
"Je suis au RSA, je n'ai pas beaucoup d'argent et le SEL m'a par exemple permis de faire une séance de massage ayurvédique et une séance d'hypnose, qui ne seraient pas accessibles pour moi si je devais les payer en euros", dit-elle.
Mais les débuts au SEL n'ont pas été faciles pour Mme Gurchonovitch, qui a "eu du mal à trouver ce qui (lui) convenait". "J'ai gardé des chats mais ça ne s'est pas toujours bien passé", raconte la seliste.
Mme Gurchonovitch part aussi en vacances grâce à la "Route des SEL", qui propose des hébergements en France et à l'étranger entre selistes.

Orange actualités 16/08/10

Envoyé par LSDSSAF

MUSIC'ARNAQUE

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Une belle affiche bleue, avec grands caractères blancs : c'est l'annonce d'un concert alléchant à
Saint-Jean du Gard samedi 21 août. Au programme Mozart, Vivaldi, Rossini, Verdi, Saint-Saens,
par l'orchestre de chambre de Bratislava (Slovaquie). Le texte précise que les billets seront vendus
sur place à l'entrée du Temple, mais n'indique pas le prix, on y va quand même.
C'est donc sur place qu'on découvre le tarif : 21 euros la place, et encore 2 euros si on veut le
programme... Tant pis, on y est, on y reste.
Le concert commence à l'heure annoncée, 21 heures, tout sera plié à 22 heures pétantes, déduire un
entracte de 10 minutes.
Sur scène trois très jeunes filles au violon, un contrebassiste exubérant, une violoncelliste timide,
un clarinettiste intermittent. Bons musiciens d'ailleurs, joli ensemble. Mais le programme n'est
que l'ombre de celui qui figurait sur les affiches, on en passe presque la moitié. Pour Vivaldi par
exemple le programme annonçait « Les quatre saisons : l'été », on a droit à un seul des mouvements
de l'hiver...
21 euros les 50 minutes, c'est quand même bien cher pour ce que c'était...
Si dans une autre ville cet été ou quelque part l'été prochain vous voyez des affiches pour
l'Orchestre de Chambre de Bratislava, un seul conseil : gardez la chambre ! Cet orchestre mérite le
détour, mais pour l'éviter.
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Unréboussiermélomanedéçu
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