lundi 30 avril 2018

Décidément il ment - www.citoyensboissetains.fr

Décidément il ment - www.citoyensboissetains.fr

Décidément il ment

Le maire de Boisset et Gaujac a encore menti

Lors du conseil municipal du 18 avril 2018, à la question d'un

parent d'élève qui demande où en sont les travaux d'encapsulage

du sol amianté de l'école maternelle, le maire répond que, par

la faute du conseil municipal qui a bloqué le budget, ces travaux

ne pourront pas se faire.

C'est faux, car le 25 juillet 2017, comme vous pouvez le voir sur

la délibération ainsi que sur le document budgétaire joints, le

Conseil Municipal a voté à l'unanimité pour la réalisation de ces

travaux, et l'argent est disponible depuis la validation du budget

2017.

Voir la vidéo ci dessous dans laquelle le maire entérine ce vote.


GARD Il a neigé sur le mont Aigoual dimanche - Objectif Gard

GARD Il a neigé sur le mont Aigoual dimanche - Objectif Gard

GARD Il a neigé sur le mont Aigoual dimanche

Photo illustration

C'est le site météo Languedoc qui nous l'apprend avec une vidéo de quelques secondes... Il a neigé sur la mont Aigoual, du côté de la station de Prat Peyrot, dimanche après-midi. Des bourrasques qui ont fait croire au retour de l'hiver. " Une neige de printemps qui n'a rien d'exceptionnel, puisque l'an dernier il y avait près de 10 centimètres de neige le 1 mai ", explique le maire de Valleraugue, dont dépend la station. Ce dimanche soir, la neige n'était qu'un souvenir et le printemps devrait être de retour dans les prochaines heures.

La semaine où le camp anti-Macron se met en marche toute contre l'Élysée

La semaine où le camp anti-Macron se met en marche toute contre l'Élysée

La semaine où le camp anti-Macron se met en marche toute contre l'Élysée

Meeting commun et défilés en cascade se profilent pour tenter de faire plier l'exécutif, à une semaine du premier anniversaire d'Emmanuel Macron à l'Élysée.

AFP
Un manifestant portant un masque à l'effigie du président Emmanuel Macron.

POLITIQUE - Après la grève saute-mouton, les manifs à répétition. Le mouvement social et politique hostile aux réformes d'Emmanuel Macron entame une semaine stratégique dans l'espoir de faire plier le président de la République, malgré des divisions persistantes qui renforcent la détermination de l'exécutif à tenir bon.

Alors que la grève des universités contre la réforme Parcoursup semble marquer le pas dans la foulée de l'évacuation très symbolique de Tolbiac, dirigeants syndicaux et responsables politiques de gauche misent sur une série de marches pour relancer la "montée en puissance de la mobilisation" anti-Macron. Et ce à quelques jours du premier anniversaire de l'élection du président de la République.

Première étape très symbolique ce lundi 30 avril: un "meeting unitaire en soutien aux luttes sociales", réunissant notamment les anciens candidats à la présidentielle Benoît Hamon et Olivier Besancenot ainsi que le patron du PCF, Pierre Laurent, se tient dans la soirée place de la République à Paris, en prélude à cette semaine riche en défilés.

Meeting unitaire et appels à la convergence

Étudiants, cheminots, personnels hospitaliers, salariés des Ehpad, de La Poste ou de Carrefour, s'exprimeront aux côtés des chefs de file de Générations, du PCF et du NPA, mais aussi de représentants d'EELV, de Nouvelle Donne, d'Ensemble, du groupe de députés La France Insoumise, de République et socialisme et de la Gauche démocratique et sociale, précise un communiqué du PCF.

Les uns et les autres se retrouveront ensuite ce mardi pour le traditionnel défilé du 1er mai; puis le 3 aux côtés des cheminots, des enseignants et des lycéens; et enfin le 5 mai pour la manifestation "la fête à Macron", dont le député LFI François Ruffin avait lancé l'idée lors d'un rassemblement à la Bourse du Travail. Cette dernière manifestation dite "pot au feu", en plus d'un défilé parisien pour lequel la France insoumise a mis en place des cars et affrété des trains, prévoit un rassemblement devant le Louvre (où Emmanuel Macron avait fêté sa victoire électorale), des animations festives ainsi qu'un concert.

Il n'est pas certain que cette ambiance de kermesse soit tous les jours au rendez-vous. À Paris, les syndicats ne seront pas seuls à manifester mardi: le Mili (Mouvement inter luttes indépendant) a lancé un appel général sur Facebook à "faire vivre une journée en enfer" à Emmanuel "Macron et son monde". Ce collectif "antifasciste et anticapitaliste", proche de l'extrême gauche, compte sur "la résonance internationale" du 50e anniversaire de Mai 68 pour drainer dans le cortège "des camarades venus des pays voisins". La dernière grande manifestation des cheminots du 22 mars avait vu des jeunes cagoulés s'en prendre aux vitrines d'agences bancaires et de sociétés d'assurance. Bouteilles et pierres avaient également été lancées sur les CRS qui avaient répliqué par un canon à eau et des gaz lacrymogènes.

Parallèlement, les appels à "la convergence des luttes" se multiplient pour tenter de fédérer les colères contre la politique du chef de l'État. Le Discord insoumis, animé par des compagnons de route de Jean-Luc Mélenchon, a développé un outil cartographique, à l'URL éloquent de "greve-générale.fr", pour organiser et regrouper les luttes sur l'ensemble du territoire. L'élection de Pascal Pavageau à la tête de Force Ouvrière, qui assume une ligne bien plus intransigeante que son prédécesseur à l'égard du pouvoir, constitue un autre avertissement pour l'exécutif. Elle annonce peut-être une "unité d'actions" avec la CGT de Philippe Martinez, comme il l'a répété ce dimanche sur RTL.

Vieilles rancoeurs et dispersion

Mais le front commun contre Emmanuel Macron demeure fragile et affiche toujours de sérieuses fissures, nées de vieilles rancoeurs et de rivalités politiques à venir. Signe qui ne trompe pas, le chef de file de la France insoumise Jean-Luc Mélenchon, en froid avec son ancien allié du PCF, refuse toujours d'apparaître aux côtés de son concurrent Benoît Hamon et ne sera pas présent au meeting unitaire de la place de la République.

Volontairement resté en retrait de l'organisation des marches anti-Macron, le député des Bouches-du-Rhône multiplie néanmoins les appels à un nouveau Mai 68 et a lui-même participé à plusieurs défilés, notamment à Marseille où la participation a été contrastée.

Les divisions persistent également chez les différentes centrales syndicales où chacun défilera de son côté ce 1er mai, en dépit du contexte social bouillonnant qui aurait pu inciter tout le monde à se réunir. Chose rare, les syndicats font front commun chez les cheminots, comme d'ailleurs chez les fonctionnaires. Une large intersyndicale est également à la manoeuvre dans le conflit à Air France. Mais l'unité ne s'étend pas aux confédérations. Pour l'heure, seul Solidaires, syndicat non représentatif au niveau interprofessionnel, répond aux appels cégétistes à une "convergence des luttes". Les autres sont soit réticents, soit totalement récalcitrants.

Cette dispersion, qui s'exprime aussi dans cette succession de marches, fragilise les chances du mouvement social de contraindre l'exécutif à renégocier ses réformes. La décision du Premier ministre Édouard Philippe d'accepter de négocier directement avec les syndicats de la SNCF a été vécue comme une première victoire. Mais le chef du gouvernement a imposé des rencontres bilatérales à compter du 7 mai prochain. Une manière de diviser encore un peu plus des représentants syndicaux qui ne sont jamais tout à fait sur la même ligne.

À voir également sur Le HuffPost:

Lire aussi :

Cette chanson de la grève ravit les Insoumis et fait saigner les oreilles macronistes

Ruffin appelle à faire "la fête à Macron" avec un "grand débordement" le 5 mai

BLOG - Touchée mais pas coulée: les chiffres qui montrent que la gauche peut se relever

Pour suivre les dernières actualités en direct sur Le HuffPost, cliquez ici

Tous les matins, recevez gratuitement la newsletter du HuffPost

Retrouvez-nous sur notre page Facebook