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Allo Beauvau ? C'est pour un autre signalement!
«Je restais sans bouger et je cherchais un ami à moi lorsqu'un CRS a dit : "Bah tiens, toi tu vas venir avec nous." Ils étaient cinq, tous la matraque à la main. Je lui ai répondu que non, je n'ai rien fait. J'ai reculé, je me suis retourné et j'ai vu cinq autres CRS. J'étais alors encerclé et par peur de me faire frapper, j'ai sauté sans réfléchir. Déjà dans l'eau, à un moment j'ai paniqué. J'ai cru que j'allais me noyer. Une fois sorti de l'eau. Ils m'ont plaqué au sol et m'ont emmené avec eux. Ils m'ont mis par terre et beaucoup de CRS m'insultaient. Ils disaient "ça aurait été drôle que tu te noies" ou "bah alors t'as froid ?" en rigolant. Ensuite les pompiers sont arrivés. Ils m'ont emmené à l'hôpital. Une fois arrivé là-bas, j'ai remis mes affaires mouillées et j'ai pris la fuite avant que les gendarmes ne reviennent.» Le jeune homme ajoute que son expérience et la violence des policiers, l'ont convaincu de participer à la prochaine manifestation à Quimper.
Joint par CheckNews, Jérôme, référent communication des gilets jaunes de Quimper estime que la cascade risquée du jeune homme était justifiée par la violence des gendarmes ce jour-là : «Quand on voit le matraquage de gilets jaunes, comme dans la vidéo sur le pont, on comprend que le jeune ait préféré sauter dans l'eau que d'être matraqué par une charge de gendarmes.»
Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
mercredi 13 mars 2019
beaucoup de CRS m’insultaient. Ils disaient "ça aurait été drôle que tu te noies"
Confortement en urgence de la digue d’ Anduze
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CONFORTEMENT EN URGENCE DE LA DIGUE D’ANDUZE
Résumé non technique :
La digue d’Anduze est un ouvrage de protection de la ville éponyme. Elle a été construite à la fin du 18ème siècle suite à la crue du cours d’eau « le Gardon » de 1758. C’est un ouvrage de 700 mètres de long d’une hauteur variant entre 7 et 10 mètres selon les sections. Sur ¾ de sa longueur, la digue supporte également la route départementale N°907. En 2015, suite à l’apparition de désordres sur le mur en maçonneries de la digue, le Conseil départemental a entrepris des travaux de réparation de la chaussée dégradée (pose d’un dispositif d’étanchéité pour éviter à l’eau de s’infiltrer et d’emporter les matériaux de la digue) et le confortement du mur de soutènement (mise en place de tirants et de croix de Saint-André dans le corps de la digue). Depuis, le Département a mis en place une surveillance renforcée de l’ouvrage et déclenché les procédures nécessaires aux travaux de confortement de l’ouvrage. Fin décembre 2018, dans le cadre des relevés périodiques des déformations, des phénomènes anormaux ont été constatés sur une centaine de mètres de la digue. Ces mouvements du mur et la fissuration de la chaussée ont conduit le Département à mettre en œuvre des mesures conservatoires autour de 3 actions principales : 1) Restriction des circulations publiques dans le périmètre de l’ouvrage (interdiction des piétons et poids lourds, maintien de la circulation des véhicules légers sur une seule voie) 2) Placement de l’ouvrage sous surveillance continue (appareillage automatique et visites de contrôle) et mise en place des procédures de déclenchement de l’alerte (fermeture de toutes les circulations, activation du plan communal de sauvegarde). 3) une procédure d’urgence impérieuse est déclenchée pour étudier et réaliser le confortement de la partie de digue défaillante.
Cette intervention d’urgence, sur une centaine de mètres, est estimée à 1,1M€ HT (financements publics Etat/Région/Département/EPTB Gardons). Elle nécessite des études complexes liées aux normes constructives pour ces ouvrages de protection des populations. Depuis le début de l’année, des ingénieurs spécialisés calculent et modélisent le confortement. Ces études vont s’achever au 15 mars et les travaux d’urgence vont s’enchaîner sans autre délai. Une première phase de travaux jusqu’à fin avril va consister à placer des tirants ancrés dans le substratum rocheux pour bloquer l'évolution des désordres. Une seconde phase, jusqu’en juin, permettra de construire un nouveau mur pour conforter définitivement le linéaire menaçant.
A l'issue de ces travaux d'urgence, les études techniques et règlementaires du confortement total des 650 mètres de la digue vont être poursuivies pour assurer une remise aux normes de l’ensemble de l’ouvrage.
Résumé non technique :
La digue d’Anduze est un ouvrage de protection de la ville éponyme. Elle a été construite à la fin du 18ème siècle suite à la crue du cours d’eau « le Gardon » de 1758. C’est un ouvrage de 700 mètres de long d’une hauteur variant entre 7 et 10 mètres selon les sections. Sur ¾ de sa longueur, la digue supporte également la route départementale N°907. En 2015, suite à l’apparition de désordres sur le mur en maçonneries de la digue, le Conseil départemental a entrepris des travaux de réparation de la chaussée dégradée (pose d’un dispositif d’étanchéité pour éviter à l’eau de s’infiltrer et d’emporter les matériaux de la digue) et le confortement du mur de soutènement (mise en place de tirants et de croix de Saint-André dans le corps de la digue). Depuis, le Département a mis en place une surveillance renforcée de l’ouvrage et déclenché les procédures nécessaires aux travaux de confortement de l’ouvrage. Fin décembre 2018, dans le cadre des relevés périodiques des déformations, des phénomènes anormaux ont été constatés sur une centaine de mètres de la digue. Ces mouvements du mur et la fissuration de la chaussée ont conduit le Département à mettre en œuvre des mesures conservatoires autour de 3 actions principales : 1) Restriction des circulations publiques dans le périmètre de l’ouvrage (interdiction des piétons et poids lourds, maintien de la circulation des véhicules légers sur une seule voie) 2) Placement de l’ouvrage sous surveillance continue (appareillage automatique et visites de contrôle) et mise en place des procédures de déclenchement de l’alerte (fermeture de toutes les circulations, activation du plan communal de sauvegarde). 3) une procédure d’urgence impérieuse est déclenchée pour étudier et réaliser le confortement de la partie de digue défaillante.
Cette intervention d’urgence, sur une centaine de mètres, est estimée à 1,1M€ HT (financements publics Etat/Région/Département/EPTB Gardons). Elle nécessite des études complexes liées aux normes constructives pour ces ouvrages de protection des populations. Depuis le début de l’année, des ingénieurs spécialisés calculent et modélisent le confortement. Ces études vont s’achever au 15 mars et les travaux d’urgence vont s’enchaîner sans autre délai. Une première phase de travaux jusqu’à fin avril va consister à placer des tirants ancrés dans le substratum rocheux pour bloquer l'évolution des désordres. Une seconde phase, jusqu’en juin, permettra de construire un nouveau mur pour conforter définitivement le linéaire menaçant.
A l'issue de ces travaux d'urgence, les études techniques et règlementaires du confortement total des 650 mètres de la digue vont être poursuivies pour assurer une remise aux normes de l’ensemble de l’ouvrage.
Les ménages retraités, eux, ont tous été perdants, quel que soit leur lieu de résidence. « Cependant, la perte est plus élevée en milieu rural »
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(...) « Les ménages retraités, eux, ont tous été perdants, quel que soit leur lieu de résidence. « Cependant, la perte est plus élevée en milieu rural (– 2,3 %) et dans les unités urbaines de moins de 20 000 habitants (– 2,1 %) que dans les métropoles (– 1,8 % dans l'unité urbaine de Paris par exemple) », remarque l'Insee.» (...)
https://www.lepoint.fr/economie/cette-etude-qui-explique-la-colere-des-gilets-jaunes-12-03-2019-2300317_28.php
"Le parti d'Emmanuel Macron au Parlement européen" a-t-il été financé par des multinationales ? On a décortiqué les accusations de Marine Le Pen
Interpellé de façon préventive au moment des manifestations de Gilets jaunes, sans y avoir participé
Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "RIEN NE SERA PLUS COMME AVANT" :
«Interpellé de façon préventive au moment des manifestations de Gilets jaunes, sans y avoir participé, Arthur et son ami Théo ont été poursuivis pour « groupement en vue de la préparation de violences ou de dégradations ». Relaxé au terme du procès, Arthur témoigne pour France 3 Bretagne.»
https://www.breizh-info.com/2019/03/12/114164/gilets-jaunes-arthur-interpelle-et-juge-sans-avoir-manifeste-video
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