Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
vendredi 6 mars 2009
NDLR
reboussier30@gmail.com
le réboussier redacenchef
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HALTE AU FEU !
Alors que nous devons être forts et unis, l’image que nous donnons depuis quelques semaines de notre communauté de commune est déplorable.
Les problèmes de personnes, les rivalités politiques, les règlements de compte minent le fonctionnement de la communauté de communes et ont pris le pas sur les projets et la nécessaire solidarité qui devraient être les moteurs de notre intercommunalité.
Les mêmes problèmes ont empêché en d’autre temps le rapprochement naturel avec les communes cévenoles de St Jean du Gard, Mialet, Thoiras et Corbes qui ont préféré rejoindre en 2002 le grand Alès.
Si, à mon sens, notre communauté est aussi instable aujourd’hui, c’est parce qu’elle a été bâtie en oubliant les fondations.
Une intercommunalité ne peut être solide que si elle s’inspire d’un projet de territoire défini librement et en commun.
Elle ne peut affronter les tempêtes que si elle a su se créer une identité.
Elle ne peut correctement fonctionner que si elle a atteint une certaine maturité.
Aujourd’hui, plus de dix ans après sa création, notre communauté n’a ni projet de territoire, ni identité, ni maturité.
Je suis un peu étonné de voir aujourd’hui certains anciens élus communautaires crier si facilement sur le plan de brie « haro sur le baudet » (voir la vidéo du 06/03/09) alors qu’il n’ont su ou n’ont pu en leur temps saisir l’importance de ces fondamentaux.
Est-il encore temps pour notre communauté de se ressaisir ? Je l’espère. Notre avenir en dépend.
Alain BEAUD
Maire de saint Sébastien d’Aigrefeuille
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LES BONS LES BRUTES ....et les réboussiers
Le réboussier a beaucoup d' estime et d' admiration pour les élus qui sont animés de la passion de servir son prochain ,amen , voila qui est fait.
Mais il n 'apprécie pas du tout ceux qui ne sont là, que pour le pouvoir ou que pour l'argent.
IL Y A EU LE 14 JUILLET 1789
ET
MAINTENANT IL Y A LE 4 MARS 2009
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envoyé par zimprod
LIEN SUR LE MIDI LIBRE
http://www.midilibre.com/articles/2009/02/23/20090223-ALES-Anduze-la-tentation-du-Grand-Ales.php5
Massillargues Atuech 1 er Prix
Contrairement à certaines communes, elle ne raisonne pas avec des "mises à plat et des problématiques "....
Les autres , ne vous désolez pas, avec du travail et de la communication, vous y arriverez.
Vous avez du potentiel
Le réboussier (qui n'a rien d'autre de mieux à faire) directeur d' école
MESSAGE AMICAL AU MAIRE D' ANDUZE
J'ai assisté à la manif d'hier soir, j'ai pu constater dans quelle situation inconfortable vous vous trouvez face à un désaveu personnel qui vous a été infligé par des élus communautaires. Excusez-moi mais je trouve votre système de défense complètement nul ! et ce, pour les raisons suivantes :
1. vous êtes dans un comportement défensif, donc pas constructif !
2. vous ne sortez pas de votre logique absurde qui consiste à proclamer "l'exclusion d'Anduze" de la communauté, alors qu'il ne s'agit que de la votre et uniquement au poste de vice-président !
3. vous parlez de "mon" territoire", le possessif passe mal : "mon" territoire, "ma" mairie. Je sais que Sarko 1er use lui aussi beaucoup du personnel possessif, mais bon !
Un conseil ! ressaisissez vous ! ça va mal finir ! la nouvelle vice-présidente est légitime, faites-lui promettre de défendre les intérêts d'Anduze, de respecter l'unanimité des décisions du conseil municipal et acceptez le verdict des urnes avec magnanimité. Vous en sortirez grandi ! (aux yeux de ceux qui vous ont mis où vous êtes).
Les blessures d'amour propre ne laissent pas beaucoup de traces si on réagit comme il faut.
Un conseiller en communication
Le choix qui s'offre à nous est donc clair ...
Si l'on observe les logiques de territoire qui émergent, nous avons à choisir entre 2 options (cf. SRADDT : schéma régional d'aménagementet de développement durable du territoire) :
- faire partie de la "métropole en réseau", entre Sète et Alès, autour des 2 "foyers" Montpellier et Nîmes, avec, comme enjeux principaux le développement industriel, la gestion démographique de l'habitat et des transports, et la vitrine culturelle internationale (universités, recherche)
- faire partie de "l'avant-pays" (de l'arrière, nous passons à l'avant ...) où s'invente une nouvelle ruralité et où "se conjuguent des productions agricoles de qualité (viticulture, élevage, ...), une économie résidentielle, des réussites dans le champ de l'économie productive (notamment agroalimentaire) et une économie touristique souvent performante" (page 30 du SRADDT).
Notre identité semble s'inscrire dans cette 2ème logique et c'est en restant en communauté de communes rurales que nous pourrons continuer à développer nos projets en accord avec notre territoire et ses habitants.Se rattacher à une communauté d'agglomération nous entraînerait vers la 1ère logique et nous pousserait à y perdre, sinon notre âme, du moins nos valeurs profondes, nos modes de vie, notre culture, notre économie.
Le choix qui s'offre à nous est donc clair
Envoyé par C.G.
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NOUS VOULONS
Nous habitons en commune rurale.
Ceci n’est pas le fruit du hasard, mais la conséquence d’un choix raisonné : choix de vivre de la terre, choix de vivre où nous sommes nés, sur la terre de nos ancêtres, choix de venir habiter dans un territoire qui nous a séduit.
Ce choix est motivé par de nombreuses raisons : la qualité de vie, le calme, les paysages, la connaissance de nos voisins et de nos concitoyens.
C’est tout cela que:
Nous voulons défendre en choisissant de maintenir notre village dans une communauté de communes rurales.
Nous voulons préserver notre identité rurale, valoriser notre patrimoine et ne pas devenir une cité-dortoir d’une agglomération omnipotente.
Nous voulons protéger l’environnement, en général, et le nôtre en particulier en favorisant l’agriculture biologique, la transformation locale de nos produits et les circuits courts de distribution, en soutenant les modes de vie, de production et d’habitat plus intégrés, économes en énergies et en matériaux, et utilisant des ressources renouvelables et recyclables.
Nous voulons préserver notre attractivité, pour ce que nous sommes, et pas parce que c’est chez nous qu’il y a des terrains à bâtir.
Nous voulons conserver un lien fort à la terre et à ses métiers, l’agriculture en général et la viticulture en particulier, mais aussi la poterie et céramique.
Nous voulons voir des vignes et des champs, des bois et des espaces naturels autour de nous, et non des toits à perte de vue.
Nous voulons continuer à vivre dans nos communes, et pas seulement y dormir, en défendant le maintien des services publics en zone rurale et en aidant la création d’espaces de rencontres, de convivialité, en favorisant les activités associatives, sportives et culturelles.
Nous voulons nous développer, mais de façon raisonnée et maîtrisée, pas à pas et sans précipitation. Cela passe par le développement l’habitat, y compris l’habitat groupé solidaire, et l’adaptation des infrastructures et services communaux et intercommunaux :
Salles de classe, accueil des jeunes enfants (crèche, garderie, assistantes maternelles), adduction d’eau et assainissement, voirie....
Nous voulons développer une économie locale, en aidant tout particulièrement l’implantation de micro-projets, à vocation agricole, sociale ou environnementale.
Nous voulons favoriser l’émergence et le développement d’un tourisme "vert", protecteur de l’environnement et valorisé comme tel, mettant l’accent sur la nature, la terre, la culture.
Nous ne voulons pas d’un tourisme quantitatif, qui dénaturerait et défigurerait nos paysages.
Nous voulons maintenir et développer les liens qui nous unissent aux communes voisines, organiser nos complémentarités dans le respect de l’identité et des traditions de chacune, qu’elles soient situées en garrigue ou en piémont cévenol.
le projet de Massillargues Atuech en matière d'intercommunalité
Envoyé par C.G.
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Quitter la communauté
P.F.