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Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Après plus de cinq mois de contestation, la loi Tr..." :
Retour sur le salaire ministériel du coupeur de cheveux élyséen dans le dernier Canard Enchaîné...
Il semblerait que le contrat de travail de ce merlan décoiffe les dispositions relatives aux agents non titulaires de la fonction publique. Qui stipule que les contrats à durée déterminée ne doivent pas excéder les 3 ans alors que son contrat est établi pour la durée du mandat en cours.
Autre anomalie de taille : le contrat ne stipule pas qu'il soit habilité à courir la mèche présidentielle dès lors que le président passe une nuit hors du château...
Des démêlés avec la Sécu sont à craindre en cas d'accident à l'étranger.
Plus embêtant encore : le contrat ne précise rien des horaires ni de la durée du travail du coupe-tifs.
Un décret de 2000 précise qu'en l'absence de ces précisions, le droit commun s'applique. Au-delà des 35 heures hebdos, l'homme doit être payé en heures sup!
Marc Blondel en 2001 avait été condamné à payer 88.600 € à son chauffeur pour 15 mois d'arriérés.
Olivier B., les doigts d'or présidentiels pourrait défriser les comptes élyséens s'il s'avisait de faire valoir ses droits.
Sylvie Hubac, femme de confiance et dircab de l'époque, ancienne de la promotion Voltaire qui a signé le "contrat d'engagement" à Olivier B. le 16 Mai 2012 avait elle déjà mis en pratique les nouvelles dispositions de la Loi Travail, adopté à coups de 49/3?
Flinguant pour l'image d'une République irréprochable.