dimanche 5 juin 2016

Les perles de François Hollande extraits planète.fr

Les perles de François Hollande extraits planète.fr


Le 11 novembre 2014, devant la tombe du Soldat inconnu. 

"Il n'y a rien de plus terrible pour un soldat déjà anonyme que de mourir inconnu"


Conférence de presse du 2 novembre 2012, sur les sondages. 

"Je remercie les organes de presse de commenter les sondages, ça me fait faire des économies".


2011, sur Mélenchon. Sélection du prix de l'humour politique. 

"Ce qui est terrible, c'est qu'il a été socialiste toute sa vie, et que toute sa vie, ça va le suivre".


Le 22 janvier 2011, déclaration lors du meeting du Bourget. 

"Dans cette bataille qui s'engage, je vais vous dire qui est mon adversaire, mon véritable adversaire. Il n'a pas de nom, pas de visage, pas de parti, il ne présentera jamais sa candidature, il ne sera donc pas élu, et pourtant il gouverne. Cet adversaire, c'est le monde de la finance"


Le 13 mai 2013, parlant du bouclier fiscal. 

"La cocotte est devenue trop chaude et ça a fait sauter le bouclier".


Le 10 janvier 2010, invité au Grand Journal d'Europe 1.

"Je ne suis plus dans les petits rôles ou dans les personnages secondaires".


Le 26 avril 2009, sur France 2.

"Il manque un leader naturel au PS"


Le 30 mars 2009, au Nouvel Observateur, à propos de Nicolas Sarkozy. 

"Lui, il aurait la banane ? Les Français, eux, ont des peaux de bananes tous les jours !".


Le 13 décembre 2012, conférence de presse de François Hollande à l'Elysée avec TF1 et France 2. Fin de conférence de presse sur une note d'humour, refusant de se livre à une autocritique. 

"Si la seule erreur est de vous avoir invité à l'Elysée, je le reconnais et je vous demande grâce et pardon"


Le 28 février 2009 sur son blog, à propos de la commission Balladur de réformes des collectivités locales. 

"En voulant se débarrasser du 'mille-feuille administratif' français, on a finalement réalisé 'un pudding', 'indigeste' et 'immangeable'".


Le 26 octobre 2008, France-Soir :

"Le problème qui est posé, c'est pas de travailler le dimanche, c'est de gagner son travail toute la semaine".


Le 13 novembre 2008, sur RTL. 

"Quand on fait un mini-sommet, on a forcément des mini-conclusions".