jeudi 21 janvier 2021

Malheureusement ces images violentes font rarement scandale par elles-mêmes.


 Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "« Le confinement, c'est une immense agression psyc..." : 

#ViolencesPolicières #Police #Médias
VIOLENCES POLICIÈRES : PETITES AVANCÉES DANS LA BATAILLE MÉDIATIQUE
Le Média

https://youtu.be/g6RXch4gMrc

"Malheureusement ces images violentes font rarement scandale par elles-mêmes. Pour provoquer la prise de conscience dans l'opinion publique, il faut tout un travail de vérification, de mise en forme, de diffusion. C'est un travail collectif qui implique beaucoup d'entre nous : des reporters indépendants, des militants, des associations, la presse en ligne, mais aussi la presse étrangère et des institutions internationales qui signalent le problème au gouvernement français. Ou encore des forces politiques qui poussent la question des violences policières comme étant un problème public." 

5 commentaires:

Anonyme a dit…

Voilà que Perlinpinpin se met à projeter...

"En psychologie et en psychanalyse, la projection correspond à l'opération mentale par laquelle une personne attribue à quelqu'un d'autre ses propres sentiments, dans le but de se sortir d'une situation émotionnelle vécue comme intolérable par elle[3]: la personne n'a pas conscience d'appliquer ce mécanisme, justement car elle n'accepte pas les sentiments, ou sensations, qu'elle « projette » à l'extérieur, sur l'autre ou sur un objet. Il s'agit donc de mouvements pulsionnels intolérables, ou en tout cas, perçus comme tels[4]."
Wikipedia


"Peurs obsidionales" qu'es acco ?


"Le mot est issu du champ lexical belliqueux: on parle ainsi de «période obsidionale» quand une ville est assiégée. Le terme nous vient de l’Antiquité: il est emprunté au bas latin obsidionalis, qui signifie «de siège». On parlait de «couronne obsidionale», que l’on décernait «à celui qui avait délivré une ville assiégée», précise le Trésor de la langue française. Le verbe latin obsidere signifie en effet «assiéger».

Il y a aussi la «fièvre obsidionale», pour évoquer un «désordre mental qui frappe la population d’une ville assiégée». Notons qu’il s’emploie également pour signifier un «délire, la folie d’une personne qui se croit assiégée, persécutée».

L’expression «peurs obsidionales» se réfère aux fortes tensions intérieures et extérieures au pays, qui touchent durement l’armée française ces derniers temps. Par ces mots, Emmanuel Macron a sans doute voulu signifier sa volonté de maintenir une position de force, face au chaos mondial provoqué par la crise sanitaire et économique."


https://www.lefigaro.fr/langue-francaise/actu-des-mots/peurs-obsidionales-qu-a-donc-voulu-dire-emmanuel-macron-20210120

Anonyme a dit…

ELI ET MOI

Des policiers vont bientôt infiltrer les manifestations pour désamorcer les tensions

Les « équipes de liaison et d'information », déployées dans quelques semaines, auront pour mission de dialoguer avec les organisateurs de manifestations.
(...)

« Quand on utilise les lacrymogènes sur les casseurs, les manifestants ne le comprennent pas toujours et cette incompréhension crée des tensions inutiles avec des gens pacifiques qui finissent par venir au soutien des casseurs parce que nous n'avons pas su expliquer », souligne Bertrand Chamoulaud.

« Messagers »

"Ce dispositif saura-t-il composer avec la nouvelle typologie des manifestations, sans leader ni organisateur véritablement désigné, dans le sillage des Gilets jaunes ? « Même dans les mouvements plus spontanés, comme les étudiants, les lycéens, il y a de fait des meneurs. Charge à nous de trouver ceux les plus à même d'être des porte-parole », pointe Bertrand Chamoulaud. « Avant, avec les manifestations de la CGT ou de FO, il y avait leurs services d'ordre et un balisage, ça se passait très bien. Aujourd'hui, elles ne sont parfois pas autorisées et c'est beaucoup plus compliqué, car les manifestants sont déterminés à en découdre », concède Bruno, brigadier-chef à Toulouse, participant à la formation.

Les policiers de ces unités pourront conserver leur arme de service, un gilet pare-balles, leur bâton télescopique et des bombes lacrymogènes, mais seront en civil et non en tenue de maintien de l'ordre. Seul leur brassard les distinguera des policiers infiltrés dans la foule, chargés d'identifier et d'interpeller les casseurs. « Avoir un brassard, seul au milieu de la manif, moi ça me gêne, j'ai peur qu'on soit une cible », s'inquiète un stagiaire. « Si vous sentez que ça commence à chauffer, vous dégagez et vous rendez compte après. Ne prenez pas de risques, c'est votre sécurité avant tout », lui répond l'un des formateurs."
(...)


https://www.lepoint.fr/societe/des-policiers-vont-bientot-infiltrer-les-manifestations-pour-desamorcer-les-tensions-20-01-2021-2410405_23.php

Anonyme a dit…

ELI ET L'ÉMOI SANS (RE)TENUE


Des policiers vont bientôt infiltrer les manifestations pour désamorcer les tensions

Les « équipes de liaison et d'information », déployées dans quelques semaines, auront pour mission de dialoguer avec les organisateurs de manifestations.
(...)

« Quand on utilise les lacrymogènes sur les casseurs, les manifestants ne le comprennent pas toujours et cette incompréhension crée des tensions inutiles avec des gens pacifiques qui finissent par venir au soutien des casseurs parce que nous n'avons pas su expliquer », souligne Bertrand Chamoulaud.

« Messagers »

"Ce dispositif saura-t-il composer avec la nouvelle typologie des manifestations, sans leader ni organisateur véritablement désigné, dans le sillage des Gilets jaunes ? « Même dans les mouvements plus spontanés, comme les étudiants, les lycéens, il y a de fait des meneurs. Charge à nous de trouver ceux les plus à même d'être des porte-parole », pointe Bertrand Chamoulaud. « Avant, avec les manifestations de la CGT ou de FO, il y avait leurs services d'ordre et un balisage, ça se passait très bien. Aujourd'hui, elles ne sont parfois pas autorisées et c'est beaucoup plus compliqué, car les manifestants sont déterminés à en découdre », concède Bruno, brigadier-chef à Toulouse, participant à la formation.

Les policiers de ces unités pourront conserver leur arme de service, un gilet pare-balles, leur bâton télescopique et des bombes lacrymogènes, mais seront en civil et non en tenue de maintien de l'ordre. Seul leur brassard les distinguera des policiers infiltrés dans la foule, chargés d'identifier et d'interpeller les casseurs. « Avoir un brassard, seul au milieu de la manif, moi ça me gêne, j'ai peur qu'on soit une cible », s'inquiète un stagiaire. « Si vous sentez que ça commence à chauffer, vous dégagez et vous rendez compte après. Ne prenez pas de risques, c'est votre sécurité avant tout », lui répond l'un des formateurs."
(...)


https://www.lepoint.fr/societe/des-policiers-vont-bientot-infiltrer-les-manifestations-pour-desamorcer-les-tensions-20-01-2021-2410405_23.php

Anonyme a dit…

#Police #ViolencesPolicières

VIOLENCE, RACISME, SEXISME : LE TÉMOIGNAGE GLAÇANT D'UNE POLICIÈRE
Le Média



https://youtu.be/BsRDCW1YHLc



Depuis son entrée dans la police, elle tient un carnet. Un petit journal, où elle a noté tous les insultes racistes et sexistes qu’elle a subi, vu ou entendu ; toutes les violences auxquelles elle a assisté ; tous les contrôles abusifs, les menaces, les coups.

Des pages et des pages qui documentent le racisme, le sexisme et la violence qui gangrènent de l’intérieur la police française. Aujourd’hui, elle a décidé de rendre public ce carnet, que nous avons consulté (et dont la forme a été modifiée pour protéger notre source).

S’il est rare d’entendre un policier s’exprimer librement sur ces sujets, la parole d’une policière en fonction est encore moins fréquente. Cet agent a accepté de témoigner à condition que son identité ne soit pas révélée, pour peur de représailles.

“Il faut qu’ils ressentent la peur pendant le contrôle," “tapez dedans comme si c’était du gilet jaune”, “je suis facho, raciste et j’assume”... Ce ne sont que quelques morceaux choisis de ce document, que nous exposons pour la première fois.

L'expérience de cette policière nous révèle les mécanismes profonds qui sont à l'œuvre dans la police en France. Elle nous montre le suivisme et l’omerta, la banalisation du racisme, les violences régulières en garde à vue, la stratégie de harcèlement et provocation envers les jeunes des quartiers populaires, le sexisme ambiant, l’impuissance ou l’indifférence de la hiérarchie, le manque de contrôle des brigades de nuit, l’insuffisance de la formation dans les écoles de police.

Elle nous montre, grâce à son courage, comment ces problèmes ne relèvent pas d’une poignée d’individus égarés, mais qu’il s’agit là d’un dysfonctionnement global de l’institution policière, qui valorise le racisme et la violence et sanctionne les comportements vertueux.

Anonyme a dit…

2 mois après son agression, Michel Zecler répond à Brut
Tout le monde a parlé de son agression par des policiers. Aujourd'hui, c'est à son tour de parler. Michel Zecler témoigne.

"Les messages de policiers que j'ai reçus m'ont beaucoup touché. C'est ceux-là qu'il faut mettre en avant, pas ceux qui essayent de défendre l'indéfendable."

Une interview Brut de Rémy Buisine.
(...)


https://www.brut.media/fr/news/2-mois-apres-son-agression-michel-zecler-repond-a-brut-cf83e8d9-1f43-49fb-a160-b9e234f16b0a