jeudi 21 janvier 2021

Voilà que Perlinpinpin se met à projeter...

 Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Malheureusement ces images violentes font rarement..." : 
Voilà que Perlinpinpin se met à projeter...

"En psychologie et en psychanalyse, la projection correspond à l'opération mentale par laquelle une personne attribue à quelqu'un d'autre ses propres sentiments, dans le but de se sortir d'une situation émotionnelle vécue comme intolérable par elle[3]: la personne n'a pas conscience d'appliquer ce mécanisme, justement car elle n'accepte pas les sentiments, ou sensations, qu'elle « projette » à l'extérieur, sur l'autre ou sur un objet. Il s'agit donc de mouvements pulsionnels intolérables, ou en tout cas, perçus comme tels[4]."
Wikipedia
Peurs obsidionales" qu'es acco ?
"Le mot est issu du champ lexical belliqueux: on parle ainsi de «période obsidionale» quand une ville est assiégée. Le terme nous vient de l'Antiquité: il est emprunté au bas latin obsidionalis, qui signifie «de siège». On parlait de «couronne obsidionale», que l'on décernait «à celui qui avait délivré une ville assiégée», précise le Trésor de la langue française. Le verbe latin obsidere signifie en effet «assiéger».

Il y a aussi la «fièvre obsidionale», pour évoquer un «désordre mental qui frappe la population d'une ville assiégée». Notons qu'il s'emploie également pour signifier un «délire, la folie d'une personne qui se croit assiégée, persécutée».

L'expression «peurs obsidionales» se réfère aux fortes tensions intérieures et extérieures au pays, qui touchent durement l'armée française ces derniers temps. Par ces mots, Emmanuel Macron a sans doute voulu signifier sa volonté de maintenir une position de force, face au chaos mondial provoqué par la crise sanitaire et économique."

https://www.lefigaro.fr/langue-francaise/actu-des-mots/peurs-obsidionales-qu-a-donc-voulu-dire-emmanuel-macron-20210120 

9 commentaires:

Anonyme a dit…

Sa peur obsidionale à lui c'est son obsolescence programmée en 2022 !

Anonyme a dit…

L'hommage de Jean-Luc Mélenchon à Marielle de Sarnez
La France insoumise



https://youtu.be/1xQmBDTygWY



Le 20 janvier 2021, l'Assemblée nationale rendait hommage à Marielle de Sarnez. Le président du groupe « La France insoumise » a salué la mémoire d'une militante pour laquelle il a dit son estime. Il a rappelé les combats communs qu'ils ont menés pour défendre les chrétiens d'Orient et les Rohingyas. Il a salué chez Marielle de Sarnez une personne qui « ne se contentait pas de provoquer ou d’accepter le dialogue » et qui « le rendait possible ».

Anonyme a dit…

ON EN PARLE SUR LE SERVICE PUBLIC !

FRANCE TÉLÉVISIONS

Ouverture d'une enquête contre le préfet Lallement suite au signalement de l'insoumis Ugo Bernalicis



https://youtu.be/qmotptQCcg4



Jeudi 14 janvier, le parquet de Nanterre a ouvert une enquête après les signalements pour "parjure" du député LFI Ugo Bernalicis, président de la commission d’enquête de l’Assemblée nationale sur les obstacles à l’indépendance du pouvoir judiciaire.



En effet, lors de son audition sous serment devant la commission d'enquête présidée par le député insoumis, le préfet de Paris Didier Lallement s'est enorgueilli de ne pas avoir retrouvé les organisateurs de manifestations illégales de policiers en armes dans les rues de la capitale, alors qu'il a lui-même saisi toutes les opportunités qui se sont présentées à lui pour poursuivre les organisateurs des manifestations non déclarées des gilets jaunes.

Anonyme a dit…

RÉPRESSION SYNDICALE

L’exercice du droit syndical de plus en plus entravé dans les services publics


Dans les services publics, salariés et syndicalistes sont licenciés ou sanctionnés pour s’être simplement exprimé ou avoir mené une grève. La liberté syndicale est-elle en danger, alors que les travailleurs du public et du privé subissent de plus en plus de pressions ?


"Il n’y a pas qu’en manifestations que le climat se tend. Dans les entreprises aussi, l’exercice du droit syndical se complique et la liberté d’expression des salariés se réduit. [...]"
.../...

« Nous avons passé un cap en terme du nombre de procédures et de gravité des faits reprochés »

"Le mouvement de grève contre la réforme des retraites a aussi été l’occasion de sanctions prononcées à l’encontre de syndicalistes de la RATP et de la SNCF. Alexandre El Gamal, chauffeur de bus à la RATP et délégué CGT, a été révoqué suite à sa participation aux mobilisations. L’entreprise l’accuse de « faits d’entrave à la liberté du travail et un comportement inacceptable vis-à-vis de sa hiérarchie ». Traduction : il a été sanctionné pour avoir participé au blocage d’un dépôt de bus pendant la grève. Le 23 novembre 2020, l’inspection du travail a refusé d’autoriser son licenciement. Un recours de l’entreprise auprès du ministère du Travail est très probable. Comme pour les postiers du 92 , « quand cela va au ministère, ce n’est pas bon pour nous », pointe Bertrand Dumont, délégué Sud à la RATP. Un autre chauffeur, Ahmed Berrahal, représentant CGT, a été sanctionné d’une mise à pied de deux mois pour les mêmes faits.

À la SNCF, Éric Bezou, cheminot syndicaliste à Sud, s’est retrouvé licencié cet été pour s’être agenouillé devant sa hiérarchie, dans l’intention de dénoncer les dérives au sein de l’entreprise ferroviaire. En 2019, un cheminot militant de la CGT a été lui aussi licencié pour avoir eu, au cours d’une grève organisée pour soutenir un camarade lui-même menacé de sanction, un différend avec un collègue au guichet alors qu’il voulait faire échanger un billet. En décembre, la justice a finalement obligé la SNCF à le réintégrer [1]. À Rennes, le cheminot Yannick Dubois, syndicaliste à Sud, a été licencié en 2018 suite à un conflit lors d’une manifestation. « À la SNCF, la répression a été la plus importante suite à la grève de 2018, qui a duré trois mois. C’est celle qui a entraîné le plus de procédures disciplinaires, précise Mathieu Borie, secrétaire fédéral de Sud Rail. Chez nous aussi, la sanction la plus haute, c’est la radiation, c’est-à-dire le licenciement, qui est parfois accompagné de plaintes à l’encontre des grévistes. Nous voyons également beaucoup de mise à pied, de deux jours, et de déplacements pour motif disciplinaire, c’est-à-dire des mutations forcées. »

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En tant que délégués syndicaux d’entreprises, Yannick Dubois, Éric Bezou, Alexandre El Gamal sont des « salariés protégés ». Pour les licencier, les entreprises doivent demander l’autorisation à l’inspection du travail, qui fait alors une enquête pour vérifier qu’il ne s’agit pas de « répression syndicale » : que la personne n’est pas mise dehors du fait de ses activités syndicales. De plus en plus, quand les inspections du travail refusent les licenciements, ces entreprises de services publics font appel au ministère du Travail qui a le pouvoir de passer outre les inspecteurs du travail. « La direction de la SNCF recourt systématiquement au ministère quand les inspections du travail rejettent les licenciements de syndicalistes, et le ministère casse systématiquement les décisions de l’inspection du travail, insiste Mathieu Borie. La répression syndicale, il y en a toujours eu, mais nous avons passé un cap en terme du nombre de procédures et de gravité des faits reprochés. »
.../...


https://www.bastamag.net/Repression-syndicale-Poste-SNCF-RATP-greves-Nous-subissons-de-plus-en-plus-d-entraves

Anonyme a dit…

"Au 1er janvier 2020, la France compte 67,064 millions d'habitants : 64,898 millions résident en métropole et 2,166 millions dans les cinq départements d'outre-mer. Au cours de l'année 2019, la population a augmenté de 187 000 personnes, soit une hausse de 0,3 %."
Source Insee


Projection encore...

66, c'est le résultat en % du second tour.
"l'hexakosioihexekontahexaphobie, soit la phobie du nombre 666.

Les superstitions à propos du 666 pourraient ainsi remonter aux premiers Chrétiens qui à l'époque étaient persécutés par l'empereur romain Néron, que beaucoup d'historiens décrivent comme un être cruel et sanguinaire. En additionnant chaque lettre de l'alphabet hébraïque ou de l'alphabet grec (comportant chacune un chiffre) qui compose le nom de César Néron, il est alors étonnant de remarquer que l'on obtient le chiffre 666."
(...)

https://www.maxisciences.com/mourir-moins-con/pourquoi-le-nombre-666-est-il-associe-au-diable_art41772.html




De la brioche pour les étudiants lors de la visite en présentiel du Président...


"En déplacement à l'université de Paris-Saclay, le président de la République, a fustigé la "défiance française", déplorant une "traque incessante de l'erreur". Emmanuel Macron a annoncé une série de mesures à destination des étudiants. "
(...)

"Nous sommes devenus une nation de 66 millions de procureurs. Ce n'est pas comme cela qu'on fait face aux crises et que l'on avance", a critiqué le chef de l'État.
(...)

"Durant son déplacement, le chef de l'État a annoncé une série de mesures pour les étudiants. Le chef de l'État a déclaré que les étudiants devaient pouvoir, s'ils le souhaitent, retourner suivre des cours en présentiel à l'université un jour par semaine. "Un étudiant doit avoir les mêmes droits qu'un salarié (...) S'il en a besoin, il doit pouvoir revenir à l'université un jour par semaine" dans des amphis avec une jauge maximum de 20%, a indiqué le président. Par ailleurs, l'ensemble des étudiants pourront avoir accès à deux repas par jour pour le prix d'un euro le repas dans les restos U, afin de leur permettre de faire face aux conséquences de la crise du Covid-19. "


https://www.ladepeche.fr/2021/01/21/une-nation-de-66-millions-de-procureurs-la-phrase-choc-demmanuel-macron-qui-fustige-la-defiance-francaise-9325153.php

Anonyme a dit…

Projection : la gestion à la petite semaine est En Marche !



"Emmanuel Macron a annoncé jeudi la création d'un «chèque psy» pour permettre aux étudiants en situation de mal-être à cause de la crise du Covid-19 de pouvoir consulter un psychologue et suivre des soins.

Il s'agit de «permettre à tous les jeunes qui en ont besoin d'accéder beaucoup plus facilement et avec une prise en charge, à un professionnel - psychologue, psychiatre - quand ils en ont besoin», a expliqué le chef de l'État au cours d'un échange avec des étudiants de Paris-Saclay (Essonne). L'Élysée a précisé à l'AFP que ce chèque concernera à partir du 1er février «tous les étudiants qui le souhaitent»."
(...)


https://www.lefigaro.fr/politique/covid-19-macron-annonce-deux-repas-par-jour-a-1-euro-pour-tous-les-etudiants-20210121

Anonyme a dit…

Dura sex lex...
L'ex. de mon ex. est une emmerdeuse !


Ségolène Royal sans pitié avec Emmanuel Macron

"Depuis, tout laisse à penser que l'ancienne ministre est devenue persona non grata aux yeux d'Emmanuel Macron. Encore amère de cette décision, Ségolène Royal ne perd jamais une occasion de critiquer les actions du gouvernement en place. Le président de la République en prend, lui aussi, pour son grade régulièrement. Si les critiques se sont le plus souvent dans les médias, l'ex de François Hollande n'hésite pas non plus à remettre à sa place le chef de l'État lorsque celui-ci se trouve devant elle.

Début janvier, elle a profité de le croiser lors de la cérémonie du 25e anniversaire de la mort de François Mitterrand pour lui faire part de ses remontrances au sujet de la fermeture des lieux culturels et des salles de sport : "On espère que le monde de la culture pourra revivre. C’est vrai que la culture ce n’est pas plus dangereux que les grandes surfaces. Les salles de sport, tout ça", lui a-t-elle fait remarquer, lors d'un échange surréaliste. Et de marteler à l'issue de leur échange : "C'est une grave erreur de les laisser fermées." Est-elle parvenue à convaincre Emmanuel Macron ? C'est une autre affaire..."


https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/elle-va-me-faire-chier-emmanuel-macron-cinglant-avec-segolene-royal_461945

Anonyme a dit…

En quoi consiste exactement l'état d'urgence sanitaire, à nouveau prolongé ?

L'Assemblée nationale a prolongé ce régime d'exception jusqu'au 1er juin. Le Sénat voudrait le ramener à fin avril.

"Il faut apprendre à vivre avec le virus. On apprend surtout à vivre sans. Sans le hand pour mon fils. Sans amphis, sans bars, sans anniversaires. Et sans démocratie : cet après-midi le gouvernement nous demande de prolonger, pour la sixième fois, l'état d'urgence sanitaire", se désolait mercredi après-midi, sur Twitter, le député (LFI) François Ruffin. Comme à l'accoutumée, à gauche comme à droite, la prorogation du régime d'exception, réinstallé en France mi-octobre devant l'imminence d'une deuxième vague, suscite l'inquiétude, sinon la colère des députés. "
(...)


https://www.lexpress.fr/actualite/societe/en-quoi-consiste-exactement-l-etat-d-urgence-sanitaire-a-nouveau-prolonge_2143179.html

Anonyme a dit…

COTELEC ET PAIN SEC


Plusieurs emprunts contractés

"Mais le RN a dû rembourser sur cette aide 4,4 millions d’euros au microparti Cotelec du cofondateur du FN, Jean-Marie Le Pen, emprunt contracté pour la campagne présidentielle de 2017.

Il a ensuite trouvé en juin un accord de rééchelonnement avec son créancier russe, qui le poursuivait en justice pour le non-remboursement d’un prêt, souscrit en 2014, d’environ neuf millions d’euros.

Pour se financer, le parti a déjà lancé plusieurs emprunts auprès de ses militants. Il doit encore trouver 30 millions d’euros pour ses prochaines campagnes électorales (départementales, régionales, présidentielle, législatives), selon son trésorier Wallerand de Saint-Just, qui déplore que les banques refusent de lui prêter de l’argent."



https://www.20minutes.fr/politique/2958123-20210121-rassemblement-national-face-difficultes-financieres-parti-marine-pen-licencie-quatre-salaries