mardi 19 janvier 2021

« Le confinement, c’est une immense agression psychique » : le discours instructif de Boris Cyrulnik

https://positivr.fr/le-confinement-cest-une-immense-agression-psychique-le-discours-instructif-de-boris-cyrulnik/


Un cerveau a besoin d’être stimulé par un autre cerveau pour se développer. 

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Chez ces gens là, même le f(l)outage de gueule n'est pas une option...
Par contre le filoutage est devenu une vertue cardinale !


Enquête
Comment la chasse au sanglier en mode industriel a transformé la Sologne en camp retranché

Entre le Loiret, le Cher et le Loir-et-Cher : 500.000 hectares, aux trois quarts boisés et réputés giboyeux depuis des siècles. La grande propriété de chasse modèle le paysage de la Sologne. Aujourd'hui, l'enfermement du gibier derrière des grillages de deux mètres, sur des domaines dépassant parfois le millier d'hectares, conduit à des pratiques d'" abattage". Les Solognots n'acceptent plus ces excès.

"Une semi-remorque qui transporte de l’aliment en vrac passe sur la route devant la maison : « Le chauffeur vient de charger au silo de Clémont de l’aliment pour volaille et va livrer une propriété à côté », commente Raymond Louis, président des Amis des Chemins de Sologne. Les heureux destinataires de la cargaison ne sont pas des dindes ni mêmes des faisans mais des sangliers.

Pour le « cochon », comme le surnomment les chasseurs, tout est bon : « Certains propriétaires nourrissent leurs sangliers avec des croquettes pour chiens », glisse un autre observateur des mœurs cynégétiques locales.

Les bénéficiaires de cette « aide alimentaire» qui leur tombe sous le groin doivent en retour faire semblant d’être encore un peu sauvages le week-end, en cavalant d’un grillage à l’autre.
L’aliment industriel va de pair avec un abattage industriel.

Tableau de chasse du deuxième samedi de janvier sur la propriété du Cher ravitaillée par semi-remorque : « 160 sangliers », dénombre Raymond Louis."
(...)



https://www.lamontagne.fr/paris-75000/actualites/comment-la-chasse-au-sanglier-en-mode-industriel-a-transforme-la-sologne-en-camp-retranche_13904152/

Anonyme a dit…

"Avec Adieu les cons, nommé dans plusieurs catégories à la 26è cérémonie des Lumières, Albert Dupontel signe un mélo énervé, burlesque et profond sur deux magnifiques accidentés de la vie. Et c'est beau à pleurer. Voici 5 choses qui nous ont fait adorer le film.


1. Ses personnages allumés
Après Au revoir là-haut (2017) et ses cinq César, l'acteur et réalisateur Albert Dupontel revient en grande forme avec l’histoire de cette coiffeuse qui apprend qu'elle n'a plus que quelques mois à vivre. Décidée à retrouver le fils dont elle a accouché sous X à 15 ans, elle entraîne dans son sillage un cadre en plein burn-out qui vient de louper sa tentative de suicide. Virginie Efira et Albert Dupontel sont les Bonnie and Clyde modernes de cette odyssée désespérée. Ils forment, avec le génial Nicolas Marié, archiviste aveugle traumatisé par un tabassage policier, un trio aussi singulier qu’attachant.

2 Sa vision anar de la société
Ces trois êtres en rupture de ban s’accrochent à leur quête d’amour dans un monde kafkaïen. Albert Dupontel nous présente un futur déshumanisé, entre open space avec bureaux compartimentés, centres de surveillance informatique glauques et rues désertes qui évoquent Brazil de Terry Gilliam (ami et inspirateur que l'on aperçoit d'ailleurs dans le film). Fidèle à son côté anarchiste, le cinéaste livre une charge féroce contre l’absurdité de l’administration et la violence d’une société où les recalés, les vieux, les malades, les timides, n’ont pas leur place."
(...)



https://www.programme-tv.net/news/cinema/262923-adieu-les-cons-albert-dupontel-et-virginie-effira-bonnie-and-clyde-modernes-dune-odyssee-desesperee-critique/

Anonyme a dit…
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