AFFAIRE DUSSOPT : LE MARCHÉ DE L'EAU, UNE LONGUE HISTOIRE DE CORRUPTION
BLAST, Le souffle de l'info
https://youtu.be/8Ew1BTYCo4s
. En plus de porter une réforme des retraites rejetée par une majorité de français, le Parquet national financier a décidé de retenir contre le ministre du travail l'infraction de délit de favoritisme. Cette accusation fait suite à une enquête dans l'affaire de l'attribution d'un contrat de la gestion de l'eau dans la commune d'Annonay en 2009, lorsqu'il était maire.
Selon des documents consultés par Blast, décortiqués avec l'aide Jean-Luc Touly, ancien salarié de Véolia et président de l'Association pour le contrat mondial de l'eau en France (ACME), il apparaît que les citoyens de la ville d'Annonay ont surpayé leur consommation d'eau… Explications à suivre dans ce nouveau Focus de Blast.
Journaliste : Yanis Mhamdi
Montage : Julien Bouillet
Images : Arthur Frainet
Son : Baptiste Veilhan
Graphisme : Adrien Colrat
Diffusion : Maxime Hector
Production : Sophie Romillat
Directeur du développement : Mathias Enthoven
Rédaction en chef : Soumaya Benaissa
Directeur de la rédaction : Denis Robert
Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
mercredi 15 février 2023
Il ne fait pas bon être Olivier Dussopt en ce moment
Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Affaire Dussopt : le document qui ruine la défense du ministre | Mediapart" :
Soupçon d’ingérence à BFMTV : derrière le cas de Rachid M’Barki, l’enquête "Story Killers" révèle le rôle d’une agence de désinformation israélienne
mardi 14 février 2023
lundi 13 février 2023
Carole Delga est revenue sur le projet de redécoupage des régions potentiellement envisagé par l'exécutif. "C’est prendre des Français pour des gogos. Le pays est en pleine crise sociale avec trois quarts des Français opposés à la réforme des retraites, et on sort une idée du chapeau pour faire diversion
dimanche 12 février 2023
si le ton doit monter, il montera
Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "La réforme, quoi qu'il en coûte ?" :
Retraites : si le ton doit monter, il montera
JEAN-LUC MÉLENCHON
https://youtu.be/N8y_ZVXqPN8
Le 11 février 2023, Jean-Luc Mélenchon intervenait depuis la manifestation marseillaise contre la réforme des retraites du gouvernement.
Il est revenu sur cette nouvelle journée de mobilisation historique organisée partout en France. Il a notamment souligné les chiffres de participants impressionnants dans les petites et moyennes villes, qui démontrent que le mouvement s'élargit. C'est le cas également des familles et de la jeunesse qui se mettent en mouvement contre M. Macron et son gouvernement. Jean-Luc Mélenchon a expliqué que l'organisation d'une journée de mobilisation le samedi permettait justement à de nombreuses personnes de venir manifester pour la première fois puisqu'ils ne peuvent pas le faire en semaine.
Il a indiqué que l'amplification de la mobilisation démontrait que les gens ne voulaient pas travailler 2 années supplémentaires et qu'ils souhaitent avoir le droit de choisir leur vie, avoir le temps libre suffisant de pouvoir disposer de soi et de sa famille. Les Français rejettent majoritairement la vision du monde de M. Macron et il existe une très grande détermination du peuple à remporter cette bataille. Face à cela, la seule réponse du président et du gouvernement est l'autoritarisme et la confrontation brutale.
Concernant le futur de la mobilisation contre la réforme des retraites, Jean-Luc Mélenchon a indiqué que la bataille se mènerait à l'Assemblée nationale d'un côté et dans la rue de l'autre aux côtés de syndicats. Il a souligné que s'il fallait durcir le ton pour faire reculer le gouvernement, cela se ferait. En effet, les grands moments sociaux dans le pays ont toujours généré des réponses politiques fortes. M. Macron a donc déjà perdu moralement au vu de la contestation massive des Français et il n'aura d'autres choix que de retirer son projet. Jean-Luc Mélenchon a conclu son intervention en rappelant que les insoumis, s'ils étaient au pouvoir, mettraient la retraite à 60 ans car le but de la vie n'est pas de travailler nuit et jour mais de pouvoir disposer de soi.
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