Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
dimanche 12 mai 2013
samedi 11 mai 2013
Venez me rejoindre à Reveillons l'Assemblée Nationale ! le nouvelle donne
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vendredi 10 mai 2013
Lettre d'information de la Fédération du Gard du PS
Cher(e) ami(e), cher(e) camarade,
Suite à un article paru dans le Canard enchaîné qui met en cause notre fédération, je te prie de trouver ci-dessous le droit de réponse que je leur ai adressé.
Je te prie de recevoir mes amitiés socialistes.
Stéphane Tortajada,
Premier secrétaire fédéral
Droit de réponse au Canard enchaîné
Cher Canard,
Nous qui te lisons depuis des années et reconnaissons ton grand talent littéraire, nous sommes surpris de voir que tu n'as pas la même plume pour compter.
En effet dans ton article en date du 7 mai 2013 intitulé "Château de cartes avant les primaires du ps", tu attribues à la Fédération du Gard du PS une augmentation de 180% des adhésions. Or la réalité est toute autre puisque le nombre d'adhérents dans notre département n'a augmenté que de 9,1%.Merci de bien vouloir en informer tes lectrices et lecteurs.
Bien à toi
Stéphane TortajadaPremier secrétaire fédéral de la Fédération du Gard du PS
jeudi 9 mai 2013
mercredi 8 mai 2013
mardi 7 mai 2013
lundi 6 mai 2013
MOUVEMENT POUR UN REVENU INCONDITIONNEL D'EXISTENCE
BonjourNous vous invitons à venir visionner le film "Revenu de Base" et à participer au débat sur le revenu inconditionnel d'existence dans un de nos atelier le Dimanche 19 Mai
un revenu garanti pour tous,
Extrait de l'article de Mona Chollet dans le monde diplomatique de mai 2013 numéro 710. de notre correspondante Marie Jo Gazel
Inventer une autre vie, d'autres rapports sociaux, peut sembler hors de propos en période de crise. L'exercice n'a pourtant jamais été aussi nécessaire.
On travaille, et, grâce à ce travail, on perçoit de l'argent. Une telle logique est si bien ancrée dans les esprits que la perspective d'instaurer un revenu inconditionnel, c'est-à-dire de verser à chacun une somme mensuelle suffisante pour lui permettre de vivre, indépendamment de son activité rémunérée, apparaît comme une aberration.
Pourtant, bourses aux étudiants, congés parentaux, pensions de retraite, allocations familiales, indemnités de chômage, régime français des intermittents du spectacle, minima sociaux sont autant de prestations qui ont en commun de découpler revenu et travail. Donc, le revenu garanti est une utopie qui est « déjà là » !
La première conséquence d'un revenu de base étant de faire disparaître le chômage comme problème, on économiserait. Et déjà dans les sommes engagées dans la poursuite de l'objectif officiel du plein-emploi, le revenu garanti étant universel et inconditionnel, il pourrait être versé à tous, pauvres et riches, ces derniers le remboursant par l'impôt.
1960
Cette mesure fut prônée dans les années 1960, par des économistes aussi différents que James Tobin (la taxation des transactions financières) et le libéral Milton Friedman.
Il devrait être versé mensuellement à chaque individu, de la naissance à la mort (les mineurs touchant un montant plus faible que les adultes), et non à chaque foyer. Il pourrait être cumulable avec les revenus du travail. Chacun pourrait choisir de faire de sa vie ce qu'il souhaite : soit continuer à travailler, soit conserver la jouissance de son temps, soit alterner. Ces projets ouvriraient des possibilités d'associations libres extraordinaires. Évidemment, la valeur de ce temps libre croît avec le nombre de personnes avec lesquelles il est possible de le partager. Le revenu garanti modifierait donc considérablement à la fois le rapport au travail, le rapport au temps, le rapport à la consommation et le rapport aux autres pour un grand nombre de gens. Il est certain qu'il imposerait de créer de nouveaux modes de socialisation, sans occulter le fait qu'un certain repli notamment chez les femmes risquerait de les cantonner au foyer.
1968
C'est aux États-Unis qu'est apparue cette idée de revenu de base progressiste. Initiateur en 1968 avec Paul Samuelson, John Kennedy Galbraith et 1200 autres économistes, d'un appel en ce sens, Tobin fait introduire son projet de démogrant dans le programme de Georges McGovern dont il est le conseiller lors de la campagne pour l'élection présidentielle de 1972. Après la lourde défaite du candidat démocrate face à Richard Nixon, le projet est enterré.
1980
Il refait surface en Europe, dans les Pays-Bas dans les années 1980. Le collectif Jacques Fourier organise en 1986 un colloque à l'université catholique de Louvain et donne naissance au réseau européen pour le revenu de base qui deviendra mondial en 2004.
1988
Déjà, les débats parlementaires autour de la création du revenu minimum d'insertion (RMI) par le gouvernement de Michel Rocard en 1988 avait amené Jean-Michel Belorgey à mettre en cause les efforts d'insertion liés au RMI. « Du fric pour vivre ! ».
1994
En France, face au gouvernement de Monsieur Édouard Balladur en 1994, la création du Collectif d'agitation pour un revenu garanti optimal (Cargo) s'intègre à cet ensemble contre le chômage (AC.). Le philosophe écologiste André Gorz se rallie à l'idée, qui trouve également un écho au sein du mouvement altermondialiste en cours de constitution.
2010
En Allemagne, c'est Madame Suzanne Wiest, qui, (suite à une rencontre avec Häni et Schmidt, les fondateurs en Suisse alémanique du réseau d'initiative pour le revenu de base), lance une pétition publique qui connaît un vif succès et qui aboutit en 2010 à un débat au Bundestag.
2012
Certains intermittents du spectacle militent pour leur régime d'indemnisation en 2003 et aussi pour son extension à l'ensemble de la population de façon à normaliser l'alternance de périodes chômées et de périodes travaillées. Ce qui amènera Christophe Girard, maire socialiste du quatrième arrondissement de Paris a plaider en octobre 2012 pour l'instauration progressive d'un revenu universel.
Compte tenu de la résistance des mentalités, l'idée aurait sans doute bien du mal à s'imposer.
Le revenu de base vise d'abord à fournir à tous le minimum vital, que ce soit au nord ou au sud, où il a aussi ses partisans. On estime qu'il aurait pour effet de stimuler l'activité économique dans les pays en développement et de la réduire légèrement ailleurs. Mais il ne mettrait pas à bas le capitalisme, et, même si certains lui associent un projet de revenu maximum, il ne supprimerait pas les inégalités.
Ce changement implique de faire confiance aux individus.
Plutôt que de renverser un ordre injuste pour le remplacer par un ordre juste, le revenu de base donnerait « une impulsion culturelle ». Il apporterait à la fois une reconnaissance et un encouragement aux activités hors marché, de manière à entamer une transition dont nul ne peut prédire où elle mènerait. Bien sûr un Nicolas Bavarez nous dit que « pour les couches les plus modestes, le temps libre, c'est l'alcoolisme, le développement de la violence et de la délinquance. »
Le changement de société serait tout sauf facile : « les gens devaient réfléchir à ce qu'ils ont réellement envie de faire ! Pendant des années, on est allé au turbin sans se poser de questions ! Là, on se demande ce que cela pourrait donner ! »
Il ne faut pas oublier que « la disparition du salariat » figurait parmi les objectifs inscrits par la Confédération Générale du Travail (CGT) dans la Charte d'Amiens, en 1906 !.
Pourtant, nous sommes toujours dans le mental qui veut que le travail soit une source irremplaçable de dignité et de réalisation de soi, un vecteur essentiel d'intégration sociale, car il confère à l'individu « sa qualité d'homme entier, producteur et citoyen » (Jean-Marie Harribey d'ATTAC).
Le « droit au travail » est inscrit dans la déclaration des droits de l'homme et du citoyen ; mais « peut-il exister un droit d'être obligé de faire quelque chose ? ».
Le revenu de base permettrait donc à certains salariés de ne plus l'être, et aux chômeurs qui le souhaiteraient d'occuper à nouveau un emploi. On peut aussi imaginer l'atout que représenterait un revenu garanti « en cas de grève de longue durée ? »
La plupart des emplois ne procurent à leurs titulaires ni l'estime de soi ni le sentiment de servir l'intérêt général, quand ils ne leur donnent pas le sentiment franchement inverse. Et lorsqu'il est question du plein-emploi des « 30 glorieuses », n'oublions jamais que le prétendu plein-emploi des années 1960 était celui des hommes !».
Cigale insouciante, fourmi industrieuse, ou abeille pollinisatrice?
MARX prédisait qu'on arriverait à un moment où le savoir accumulé au fil de l'histoire par l'ensemble de la société serait le cœur de la création de valeur. Avec l'avènement de l'économie de l'immatériel, nous y sommes. L'essentiel de la production de richesses se jouerait donc en dehors de l'emploi. Entre les figures de la cigale insouciante et de la fourmi industrieuse, Moulier-Boutang en interpose une troisième, celle de l'abeille : son travail de pollinisation ne crée pas de valeur directe, mais aucune production ne pourrait exister sans lui. De la même façon que chacune des activités quotidiennes les plus anodines participent indirectement à l'économie.
On reste ainsi nous dit Gorz sur le plan de la valeur du travail et du productivisme. Le revenu d'existence n'a de sens que s'il n'exige ni ne rémunère rien. Il doit au contraire permettre la création « de richesses non monnayables ».
Dans l'ensemble des pays capitalistes d'Europe nous dit-il, on produit trois à quatre fois plus de richesses qu'il y a 35 ans. Cette production n'exige pas trois fois plus d'heures de travail, mais une quantité de travail beaucoup plus faible. L'emploi stable à plein temps devient le privilège d'une minorité. Que doit être une société dans laquelle le travail à plein temps de tous les citoyens n'est plus nécessaire, ni économiquement utile ? Quelles priorités autres qu'économique doit-elle se donner ? Comment doit-elle s'y prendre pour que les guerres de productivité, les économies de temps de travail profitent à tout le monde ? Comment peut-elle redistribuer au mieux tout le travail socialement utile de manière à ce que tout le monde puisse travailler, mais travailler moins et mieux tout en recevant sa part des richesses socialement produites ?
Posons-nous le problème à l'envers : comment faire pour que malgré les gains de productivité, l'économie consomme autant de travail que par le passé ?
Comment faire pour que de nouvelles activités rémunérées viennent occuper ce temps que, à l'échelle de la société, les gains de productivité libèrent ? À quels nouveaux domaines d'activité peut-on étendre les échanges marchands pour remplacer tant bien que mal les emplois supprimés par ailleurs dans l'industrie et les services industrialisés ?
On connaît la réponse : le seul domaine possible et celui des services aux personnes. Une « tertiarisation » de l'économie, une« société de services » prenant le relais de la société industrielle. Nous sommes dans la réflexion de : au-delà de l'économie, au-delà du travail rémunéré, la rationalisation économique libère du temps et continuera en libérer, et il n'est plus possible de faire dépendre le revenu des citoyens de la quantité de travail dont l'économie a besoin. Il n'est plus possible non plus de continuer à faire du travail rémunéré la source principale de l'identité et du sens de la vie pour chacun
Cette libération du temps en une liberté nouvelle et en des droits nouveaux ne peut que créer une nouvelle société vont où vont s'ouvrir de nouveaux espaces aux activités sans but économique et/ou devront être reconnus ces activités qui n'ont pas la rémunération pour but ; une dignité et une valeur éminente tant pour les individus que pour la société elle-même.
Sur la tête on est tombé depuis longtemps
Et on continu de marcher les pieds en l' air
Les assurances , les banques, les organismes mutuels, jusqu'aux organismes caritatifs et de recherches privées ou pas , j' en passe
Mon déclic la polémique sur l' institut pasteur
Ma balade à Marseille avenue du Prado
Quel rapport me direz vous ... Le patrimoine voyons !
Constitué de bâtiments de prestige implantés dans des zones de résidence les plus luxueuses , hors de prix , intégrant des bureaux et sans doute le siège ou les directions régionales de ces entreprises
Pour certaines leurs dirigeants vous démontreront qu'il s' agit la d' un moyen de communication , le prestige rassure sans doute , et démontre à leurs yeux la compétence , le sérieux et la puissance de leur société
Baliverne , il ne s' agit , pour ces dirigeants , que de leur prestige personnel
Ces bureaux auraient plutôt leur place dans des zones d' activités en périphérie avec tous les avantages en terme de logistique qu' on leur met à disposition
Comment peut on comprendre que l'institut Pasteur utilise une partie des dons pour augmenter son patrimoine ?
Comment peut on comprendre que des institutions de type mutuelle possèdent des bureaux style châtelain des villes avenue du Prado à Marseille
Ces exemples sont présents dans toutes les villes
Le reboussierenervé
Journée de mobilisation contre le projet golfique de St Hilaire
www.sainthilairedurable.comSAINT HILAIRE DURABLE : 25 MAIBonjour,
Retenez bien la date du 25 mai, une journée de mobilisation festive se tiendra sur St Hilaire.Menu-Rassemblement de tracteurs autour et dans la ZAD : périple à définir-Labour d'une parcelle disponible-pic-nic ou repas en musique (à définir)-Manif devant la mairie d'AlèsRien n'est figé dans l'ordre des moment de la journée;Précisions sur les horaires, lieux précis du départ etc à venir.Béatrice
dimanche 5 mai 2013
Y-a-t-il de la triche aux adésions au PS dans le Gard ?
Envoyé par PCMD
C'est ce que sous-entend le journal de FR3 (édition de Montpelier), ce soir.
Il serait temps que la fédération se bouge un peu officielleement et diligente une enquête.Je cite :Jusqu'à 180% de hausse dans le Gard
Dans le département voisin, le Gard, certaines sections du PS se portent aussi étrangement bien. Comme si le contexte national n'avait aucune influence sur la capacité de mobilisation du parti sur le terrain.
Selon des chiffres internes que Rue89 s'est procurés, la section « Robert Gourdon » d'Alès comptait 48 membres le 31 décembre, et 134 à la date limite du 9 avril. Soit une augmentation de près de 180% en trois mois.
Surprise, aussi, à Bagnols-sur-Cèze, la troisième ville du département par sa population (18 000 habitants). Elle compte deux sections :
Cette section fait déjà l'objet de beaucoup d'attention rue de Solférino. En octobre, les équipes des deux candidats au poste de premier secrétaire, Harlem Desir et Emmanuel Maurel, avaient décidé de suivre de près le déroulement du scrutin interne à Bagnols-Campagne.
- les effectifs de la section Bagnols-Ville n'ont pas évolué (176 adhérents) ;
- la section Bagnols-Campagne, qui couvre les communes voisines, était déjà la plus importante du Gard : elle compte maintenant 728 adhérents, soit une progression de 28% depuis janvier.
Le secrétaire de section, Michel Paillot, ne voit rien d'étonnant dans l'arrivée massive de nouveaux adhérents :
« On progresse tout le temps parce que nous, on travaille sur le terrain. »Le résultat est d'autant plus admirable que, d'après les chiffres dont nous disposons, les autres sections rurales du Gard ont du mal à dépasser la trentaine d'adhérents...En réalité, une bonne partie des adhérents de cette section rurale vivent en ville. Ils seraient 300 à être domiciliés à Bagnols, selon le secrétaire de section. Qui ne trouve, là non plus, rien à redire :« Pourquoi ils ne vont pas à Bagnols-Ville ? Je ne sais pas, je ne suis pas dans les autres sections... »Ce sont ces militants inscrits à la campagne qui pourraient imposer le nom du futur maire de la ville. Le sortant, Jean-Christian Rey, a déjà un rival déclaré pour la primaire : Christian Roux. Un militant inscrit justement à Bagnols-Campagne, et proche du véritable patron de la section, le conseiller général Alexandre Pissas.
samedi 4 mai 2013
vendredi 3 mai 2013
jeudi 2 mai 2013
Sujet : Nos démarches- Académie pont du gard- péage pour piétons et cyclistes au pont du Gard
Association "Académie Pont du Gard"
Madame, Monsieur,
Je vous fais parvenir en pièces jointes deux documents :
- une lettre que je vous adresse pour vous tenir au courant de nos
démarches,
- Copie de la lettre que j'ai fait parvenir à Mme le ministre de la
Culture et de la Communication ainsi qu'à M. le Premier ministre.
Cordialement à vous,
Claude Larnac
____________________________________________________________________
Claude LarnacLe 23 avril 2013
4, chemin de Font Grasse
30210 Castillon-du-Gard.
Tél : 04 66 37 12 52
à Madame Filippetti
Ministre de la Culture et de la Communication
3, rue de Valois- 75100 Paris
Objet : Demande d’annulation d’une mesure illégale, illégitime et incivique imposée arbitrairement sur le site du pont du Gard
Madame le Ministre,
Avec de fort nombreux citoyens, j’ai l’honneur de solliciter de votre haute bienveillance et de votre autorité, votre intervention pour que cesse dans les plus brefs délais l’initiative illégale, illégitime, incivique et maladroite que vient de prendre la direction du site du pont du Gard, en imposant un péage aux piétons et aux cyclistes qui pénètrent sur le site.
La mesure est illégale, parce qu’elle n’a fait l’objet d’aucun vote au conseil d’administration. La délibération du 27 novembre 2009, que je joins à mon courrier, et sur laquelle s’appuie le président de l’EPCC du pont du Gard, pour la justifier, est autre. Elle concerne « un tarif unique à destination des non régionaux donnant accès à l’offre de service public et à l’offre de médiation permanente ».
Elle précise :
En pleine saison : 15 € par véhicule par visite,
10 € par personne pour les visiteurs piétons (donnant accès aux espaces de découverte intérieurs)
En basse saison : 10 € par véhicule par visite.
Dans ce texte, il n’est nullement question de péage imposé à tous les piétons et à tous les cyclistes. De plus, ladite délibération ne définit ni l’origine des régionaux, ni les dates extrêmes des pleines et basses saisons. Elle n’est donc juridiquement recevable.
Elle n’est pas légitime,
-d’abord, parce qu’on n’inclut pas dans un prix, celui des services qu’on n’utilise pas.
-ensuite, qu’entend-on par non régionaux ? Les nombreux visiteurs provenant d’Avignon, d’Aix-en-Provence, d’Orange, de Montélimar ou de Marseille seraient-ils considérés comme non régionaux (région PACA) au regard de ceux, rarissimes, qui viendraient de Prats-de-Mollo ou de la Preste, au fin fond des Pyrénées Orientales, sur les flancs du Costabonne (région Languedoc-Roussillon) ?
Elle est maladroite et dangereuse, parce qu’en période de difficultés économiques, l’augmentation des taxes ne peut que desservir le tourisme et nuire au pouvoir d’achat.
Elle est aussi dangereuse : lorsque les citoyens se sentent brimés, ils s’en prennent souvent à la nature ; il faut des décennies pour réparer des dégâts.
La vraie raison de ce péage est autre. Le déficit de la gestion du site du pont du Gard, plus ou moins mis au jour- grâce à des subventions de fonctionnement, à des participations diverses-, est réel. Ses causes sont profondes ; elles justifieraient une étude spécifique, étendue aux non élus. Il est urgent d’y songer ; des commissions statutaires existent, il suffirait de les réunir.
Les citoyens comptent sur vous, Madame le ministre et vous prient, en mon nom, d’accepter leurs très respectueux hommages.
Claude Larnac,
président fondateur et d’honneur du Comité Intercommunal Du Site du pont du Gard (CIDS),
Président fondateur de l’association « Pont du Gard et Patrimoine »,
Fondateur du Cycle d’information sur le pont du Gard et l’aqueduc de Nîmes,
Président fondateur de l’association « Académie Pont du Gard »,
Ancien administrateur de l’EPCC,
Pièces jointes :
article du Midi Libre portant allégation du président de l’EPCC (1 feuille)
Copie de la délibération du conseil d’administration du 27 novembre 2012 (3 feuilles agrafées)
Copies adressées à :
M. le premier ministre
M. le préfet du Gard,
M. le président du conseil général du Gard,
M. le président de l’EPCC du pont du Gard
M. le président du tribunal administratif du Gard,
M. Le président du Conseil d’Etat
M. le président de l’Union fédérale des Consommateurs
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