Assurément... il n'a pas ses                                        faveurs électorales !!!
                                        
Brigitte son épouse (prof de                                        lettres) doit être surprise de la                                        qualité de cette plume                                        anonyme....et réaliste
                                        
Cette lettre est un régal dans                                        tous les sens du mot. !!! Fond et                                        forme compris.. A lire et relire                                        doucement pour en savourer le                                        contenu... Sa rédactrice mérite                                        une médaille!!!
                                        
                                        Lettre adressée à Macron par une                                        "vieille" dame. Rien à rajouter,                                        c'est tout simplement superbe ,                                        fort bien écrit et sans                                        méchanceté, mais tellement vrai !
                                        
                                        Monsieur le Président,
                                        
                                        La vanité rend aveugle et sourd.                                        Eussiez-vous un QI XXXL, la vanité                                        anéantirait les capacités de vos                                        neurones. Mais bien sûr, vous                                        n'êtes pas concerné.
                                        
                                        Quand on accepte le sobriquet de                                        Jupiter, on se sent planer                                        au-dessus du vulgum pecus,                                        d'autant que Jupiter est le dieu                                        romain le plus puissant du                                        panthéon.
                                        
                                        Mais Jupiter est aussi, à 95 %,                                        formé de gaz. C'est dire qu'il n'a                                        quasiment aucune consistance.
                                        
                                        Et c'est bien ce à quoi vous nous                                        avez confrontés, en proclamant                                        sans cesse, avec une autorité                                        jupitérienne, tout et son                                        contraire, ou en traitant un jour                                        avec morgue, du bas de votre                                        grandeur, le chef suprême des                                        Armées de France, ou en abreuvant                                        quasi chaque jour le peuple                                        français, du haut de votre                                        humilité tartufienne, de mesures                                        indigestes et irrationnelles,                                        jusqu'au paroxysme de                                        l'insupportable.
                                        
                                        Le navire France sous le contrôle                                        de Jupiter, guidé tantôt à la                                        voile, tantôt à la vapeur, devient                                        un bateau qui tourne sur lui-même                                        quand les vents sont contraires.                                        ENTENDEZ-VOUS, DANS NOS CAMPAGNES,                                        LE BRUIT DES MULTIPLES MOUTONS                                        ENRAGÉS ? .. Oh oui, vous                                        l'entendez, mais vous n'en avez                                        cure ! ..
                                        
                                        Vous croyez encore et toujours                                        pouvoir tout contrôler alors que                                        tout vous échappe, et - on le voit                                        - la panique commence à s'emparer                                        de l'Elysée.
                                        
                                        Si vous n'étiez pas Jupiter, cette                                        usine à gaz, vous comprendriez                                        qu'une étincelle suffit désormais                                        pour embraser une France en                                        colère.
                                        
                                        J'étais dans les premiers rangs                                        des manifs de mai 68 alors que                                        vous n'étiez même pas né, je sais                                        comment ce pays peut sortir en un                                        instant de son endormissement, qui                                        n'est qu'apparent malgré les doses                                        gargantuesques de soporifiques que                                        ses médias lui font absorber                                        chaque jour.
                                        
                                        Si vous n'étiez pas jupitérien,                                        vous auriez sans doute la décence,                                        le bon sens et l'intelligence de                                        descendre de votre trône, et de                                        démissionner avant qu'il ne soit                                        trop tard, pour laisser à ce pays                                        une chance de respirer et de se                                        redresser.
                                        
                                        Je suis chrétienne, j'ai 77 ans,                                        je devrais faire partie de la                                        majorité silencieuse parce que                                        censée être de date périmée.
                                        
                                        Mais voilà, je suis une Française                                        en colère. En colère car vous                                        saccagez mon pays, un pays que                                        j'aime, tandis que vous en                                        piétinez les racines et les                                        valeurs, et que vous prenez le                                        peuple français pour un troupeau                                        de moutons bons à tondre, et qui                                        ne sait que bêler bêtement, ou                                        pleurnicher.
                                        
                                        Vous ne connaissez ni la France,                                        ni les Français. Quand on les tond                                        de trop près, jusqu'à leur                                        arracher la peau, ils sont                                        capables, en une minute, de se                                        transformer en taureaux furieux                                        qui chargent en renversant tout                                        sur leur passage.
                                        
                                        Monsieur le Président Macron, je                                        le sens, je le sais, si vous                                        persistez à vous accrocher à un                                        trône qui ne vous appartient pas                                        et dont vous vous êtes emparé à                                        coup de coups fourrés, ce sont des                                        milliers de Français qui                                        pourraient périr dans la guerre la                                        plus cruelle et la plus horrible                                        qui soit : la guerre civile.
                                        
                                        Vous avez bien piétiné l'armée :                                        elle ne vous suivra pas, d'autant                                        plus que vous lui avez ôté les                                        moyens de défendre la France (vos                                        prédécesseurs avaient déjà bien                                        entamé cette tâche) et que vous                                        l'avez insultée.
                                        
                                        La police ? ... Elle ne vous                                        suivra pas : elle est excédée des                                        ordres et contre-ordres de la                                        Gauche depuis des décennies,                                        excédée d'être privée de moyens                                        logistiques, excédée d'être                                        enrayée dans ses capacités                                        d'action par une réglementation si                                        tordue que souvent c'est le                                        policier qui est intervenu contre                                        un délinquant dangereux que l'on                                        sanctionne, tandis que le criminel                                        est relaxé.
                                        
                                        Elle est excédée de servir de                                        chair à canon à la racaille que                                        vous chérissez tellement que vous                                        en venez à la serrer dans vos bras                                        avec des yeux enamourés quand même                                        ses ressortissants vous font un                                        "doigt d'honneur".
                                        
                                        La racaille des banlieues pour                                        vous défendre ? ... Elle est                                        passée maîtresse dans l'art de se                                        servir de votre "humanisme"                                        candide pour tout vous soutirer -                                        vos prédécesseurs les ont déjà                                        bien conditionnés.
                                        
                                        L'immigration islamique que vous                                        dorlotez au détriment des                                        Français, parce qu'elle représente                                        un électorat potentiel et une                                        "population de remplacement" ? ...                                        Elle vous considère, tout comme                                        n'importe quel Français, comme un                                        fétu de paille à balayer, pour                                        pouvoir instaurer ses lois, ses                                        coutumes barbares, sa religion                                        moyenâgeuse, ses restrictions                                        alimentaires, son sexisme, son                                        racisme, sa polygamie, et tous les                                        autres préceptes anti                                        démocratiques de la charia et des                                        hadiths.
                                        
                                        Je pourrais continuer longtemps,                                        mais je ne veux pas que cela                                        ressemble à un réquisitoire.Je                                        veux juste vous adresser une                                        supplique : Monsieur le Président                                        Macron, par amour de la France, je                                        vous en conjure, partez ! ...
                                        
                                        C'est une vieille Française qui                                        vous parle, une vieille Française                                        contrainte de conduire pour                                        survivre puisqu'elle est en rase                                        campagne et qu'il faut bien aller                                        chercher son pain quotidiennement,                                        une vieille Française dont le fuel                                        dont elle se chauffe a augmenté de                                        40% en quelques mois, et qui subit                                        une csg en courant ascensionnel                                        perpétuel, tandis que sa retraite                                        plane désespérément au-dessous du                                        seuil de survie.
                                        
                                        Pourtant, ce n'est pas pour moi                                        que je suis en colère, je suis en                                        colère pour ce que vous faites à                                        la France, pour le seul profit                                        d'une caste avide et méprisante,                                        et pour la plus grande                                        satisfaction de hordes                                        d'envahisseurs dont une grande                                        partie est composée de malfaisants                                        et de terroristes.
                                        
                                        J'ai mal à la France, SVP, PARTEZ
                                        
                                        Anne-Marie Tampigny