Dans le cadre de la réforme territoriale, le préfet nous impose son nouveau territoire.
Les élus du « Collectif des vallées du Gardon » souhaitent consulter les citoyens.
Ce projet concerne le canton d'Anduze, de Saint-Jean-du-Gard, de la Vallée Borgne et de Lasalle.
De nombreux élus et citoyens de ces territoires sont déjà engagés pour défendre un projet alternatif au regroupement voulu et imposé d'en haut par le préfet, loin des spécificités locales et des intérêts des habitants de nos vallées.
Des réunions d'informations sont organisées à Lasalle le 14/10, à St jean du Gard le 21/10 et à Vabres le 27/10. Ce projet sera également abordé à Saint Sébastien d'Aigrefeuille le 16/10 à l'occasion de la « Fête du territoire ».
Une réunion d'information sera également tenue pour le canton de la Vallée Borgne.
Une consultation citoyenne est organisée le dimanche 30 octobre à Lasalle.
Voir documents joints.
https://docs.google.com/leaf?id=0B-IzQnOA2SYDN2JjODI3MTktYTIzZS00ODRlLWJiYjEtNzU2ZjQxMmE0ZTJk&hl=fr
https://docs.google.com/viewer?a=v&pid=explorer&chrome=true&srcid=0B-IzQnOA2SYDZDc3MWM0ZDMtM2NmOC00OGU1LTk5NDgtZjNkODM4NmY2NGUy&hl=fr
http://ccgardon30.jimdo.com/
Régie de Coordination
Commune de Lasalle
Place Jean Gazaix - 30460
04 66 85 20 34
06 30 49 75 96 - 06 30 47 50 46
Permanence téléphonique :
lu-je-ve: 10h/12h. ma-me: 14h/16h
Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
mardi 11 octobre 2011
Par Anonyme sur Mme le maire de Tornac ne pensez vous pas que votr... à 09:17
à 20:34, aucune leçon à recevoir de la part d'un internaute qui n'a pas la décence de relire et corriger ses fautes d'orthographe.
Et pas plus de respect vis à vis d'une élue qui fait passer ses intérêts personnels avant ceux de ses administrés en mentant de la sorte .
L'heure n'est plus aux compromis et les sourires de façade de Mme RIEU ne nous impressionnent pas plus que ses mensonges.
Cette équipe municipale n'a plus de crédit,elle s'est fourvoyée en voulant faire intégrer la commune de TORNAC dans le grand ALÈS.
L'enquête de la 2C2A et ses résultats prouvent que la population ne veut pas de cette réforme territoriale.
Alors OUI ! Le maire de TORNAC n'est plus légitime,
OUI! elle doit tirer les leçons de ce cuisant échec et prendre ses dispositions pour laisser la place à ceux qui devraient gérer le village conformément aux désirs des citoyens.
Ce sont d'ailleurs les citoyens de TORNAC qui ont organisé au foyer la réunion d'information concernant la réforme territoriale qui a ouvert les yeux de bien des gens, et ce n'est pas Mme RIEU qui d'ailleurs était invitée et n'est pas venu qui aurait normalement dû mettre en place ce genre de concertation citoyenne.
Non!, tout c'est fait dans l'opacité et les petites manoeuvres de couloir, et çà, la population n'en veut plus. Alors vos cris outrés, me laisse froid, car quand on est élu,on est au service des citoyens, mais de tous les citoyens et pas seulement des plus aisés qui pour des raisons qui les regardent pensent pouvoir tirer profit de telle ou telle situation.
Au 19 ième siècle, ce hold-up de la CAGAC serait passé comme une lettre à la poste, mais depuis, les choses ont changé et nous avons tous appris à lire et à écrire ( sauf vous apparemment!).
Nous ne sommes plus des moutons, et nos énergies conjuguées,nos compétences,et notre envie de faire suffisent largement pour faire avancer cette communauté de commune.
Alors,je vous en prie,taisez vous! on travaille dans le bon sens, et gare à ceux qui voudraient profiter de la situation pour tirer leurs propres marrons du feu!
attention de ne plus confondre argent et fonctions,il ne sera plus permis de pantoufler au sein du conseil municipal ainsi que d'opiner du bonnet à tout sans seulement apporter ses idées,ses contradictions et tout simplement son énergie à la bonne marche du village, car les citoyens sont maintenant vigilants et ne se laisseront plus berner.
Qu'on se le dise...
Et pas plus de respect vis à vis d'une élue qui fait passer ses intérêts personnels avant ceux de ses administrés en mentant de la sorte .
L'heure n'est plus aux compromis et les sourires de façade de Mme RIEU ne nous impressionnent pas plus que ses mensonges.
Cette équipe municipale n'a plus de crédit,elle s'est fourvoyée en voulant faire intégrer la commune de TORNAC dans le grand ALÈS.
L'enquête de la 2C2A et ses résultats prouvent que la population ne veut pas de cette réforme territoriale.
Alors OUI ! Le maire de TORNAC n'est plus légitime,
OUI! elle doit tirer les leçons de ce cuisant échec et prendre ses dispositions pour laisser la place à ceux qui devraient gérer le village conformément aux désirs des citoyens.
Ce sont d'ailleurs les citoyens de TORNAC qui ont organisé au foyer la réunion d'information concernant la réforme territoriale qui a ouvert les yeux de bien des gens, et ce n'est pas Mme RIEU qui d'ailleurs était invitée et n'est pas venu qui aurait normalement dû mettre en place ce genre de concertation citoyenne.
Non!, tout c'est fait dans l'opacité et les petites manoeuvres de couloir, et çà, la population n'en veut plus. Alors vos cris outrés, me laisse froid, car quand on est élu,on est au service des citoyens, mais de tous les citoyens et pas seulement des plus aisés qui pour des raisons qui les regardent pensent pouvoir tirer profit de telle ou telle situation.
Au 19 ième siècle, ce hold-up de la CAGAC serait passé comme une lettre à la poste, mais depuis, les choses ont changé et nous avons tous appris à lire et à écrire ( sauf vous apparemment!).
Nous ne sommes plus des moutons, et nos énergies conjuguées,nos compétences,et notre envie de faire suffisent largement pour faire avancer cette communauté de commune.
Alors,je vous en prie,taisez vous! on travaille dans le bon sens, et gare à ceux qui voudraient profiter de la situation pour tirer leurs propres marrons du feu!
attention de ne plus confondre argent et fonctions,il ne sera plus permis de pantoufler au sein du conseil municipal ainsi que d'opiner du bonnet à tout sans seulement apporter ses idées,ses contradictions et tout simplement son énergie à la bonne marche du village, car les citoyens sont maintenant vigilants et ne se laisseront plus berner.
Qu'on se le dise...
Le débats du congrès de l'AMRF est disponible
" Fillon a Entendu"
La procedure (réforme territoriale)ne sera menée à son terme que lorsque une majorité claire sera dégagée par les élus concernés
la date du 31 dec 2011 a été fixée par la loi ,le parlement devra donc etre saisi
Intervention de Vanik Berberian, Président de l'AMRF suivie de l'intervention de JP Raffarin à partir de 32:40 jusqu'à 42:42.
Il faut porter une attention particulière à 35:24 où le communiqué de l'AMRF
sur la manifestion du 21 janvier est évoqué.
La partie la + interessante de l'intervention de Jean Pierre Bel, Président du Sénat
commence à 48:33 jusqu'à 52:30
Il faut porter une attention particulière à 35:24 où le communiqué de l'AMRF
sur la manifestion du 21 janvier est évoqué.
La partie la + interessante de l'intervention de Jean Pierre Bel, Président du Sénat
commence à 48:33 jusqu'à 52:30
.
A noter
Vendredi 14 octobre 2011
Au foyer de Massillargues-Atuech
à 20h30
Tableau d'une exécution
par le théâtre de La Palabre
Entrée : 8 €
5 € pour les étudiants, lycéens et demandeurs d'emploi.
Les amis de la bibliothèque
Libellés :
Massillargues-Attuech
lundi 10 octobre 2011
Unesco hold up alesien
Pas de doute ! Cet avis est partagé par un grand nombre d'élus cévenols et du Causse ! Surtout ceux qui se sont réellement impliqués dans le projet.
Un de la vrai Porte des Cévennes
Qui sont les indignés ?
.
Le vents des évènements a tracé la bissectrice qui sépare les indignés des indignes. D’un côté des nantis, des privilégiés, des notables en charge d’une mission sociale et bénéficiant à ce titre d’un rang, d’avantages et de la confiance a priori de leur concitoyens.
Ces missions sont diverses dans leur expression, mais toutes concordent au fonctionnement de la société. C’est tantôt un industriel qui fabrique des médicaments pour garantir ou améliorer la santé publique. En contrepartie, la société l’enrichit. C’est parfois un banquier qui draine l’épargne et doit la redistribuer sous forme de prêts. Au passage, ses clients acceptent qu’il prenne une commission pour rémunérer ses services. C’est également un homme (ou plus rarement une femme) politique qui décide de représenter ses homologues et d’investir son temps et son énergie pour le bien de la communauté. Celle-ci en retour lui accorde un statut privilégié.
C’est comme cela que le monde fonctionne depuis la nuit des temps et qu’il continuera à le faire. Mais alors qu’est-ce qui coince actuellement ?
Deux dérives majeures grippent la belle mécanique sociale.
D’une part, les dirigeants n’apportent qu’une faible valeur ajoutée au groupe. Au contraire, par une série calamiteuse de mauvaises décisions ils ont tissé la trame de la crise profonde et létale qui menace notre monde au plan financier certes, mais aussi économique, mais encore social et surtout écologique. Ils nous ont précipité dans le gouffre. Et ils sont incapables, pour l’instant, de nous en sortir. Cette situation déjà très préoccupante est aggravée par l’effet de cliquet mis en place par les élites gouvernantes.
En effet et d’autre part, ces élites ont créé une société parallèle constituée de clubs, d’amicales, de fraternités qui doublent la société civile et paralyse ses institutions et ses procédures de contrôle et de régulation. A quoi sert la législation sur l’achat public si les opérateurs sensés être anonymes, se retrouvent le soir à dîner au club des anciens élèves d’une grande école, pour discuter des contrats? A quoi servent les organes de régulation si les régulateurs sont rémunérés par les entreprises qu’ils sont censés réguler ? A quoi sert la diversité politique si les opposants à la tribune se retrouvent bras dessus bras dessous en vacances dans la villa ou sur le yacht de tel milliardaire levantin.
Cette dérive des mœurs a été favorisée et amplifiée par l’abandon des valeurs sociales au profit du libertinage ploutocratique. Depuis plusieurs dizaines d’années au sein des plus grandes universités mondiales et des grandes écoles, la recherche pure et simple du lucre est devenu le paradigme de nos élites. Le progrès de l’humanité se mesure aux indices boursiers et à l’évolution du PIB. Toute analyse se concentre sur le quantitatif. Nul ne considère plus le bien-être des populations et le bonheur vécu des peuples. De nos jours, FLEMING passe pour un crétin pour avoir refusé de breveter la pénicilline et nous assistons à l’apothéose de Steve Jobbs, canonisé par acclamation. La contamination culturelle au reste de la société a été progressive et constante. Avec l’effondrement du bloc soviétique, est arrivé le règne de la pensée unique : « il n’y a pas d’autre choix ! ». Cette phrase est l’argument ultime des politiques et des institutions qui prônent le tout libéral, le démantèlement de l’état, la dérégulation à outrance, et qui rangent le service public au musée des accessoires démodés.
Le résultat c’est le médecin qui empoisonne, le banquier qui vole, l’élu qui ment et détourne la loi à son profit, le fort qui terrasse le faible.
L’indignité dont sont frappées les élites actuelles réside moins dans leurs erreurs que dans leurs mensonges, moins dans leur incompétence que dans l’acharnement déployé pour s’incruster au pouvoir.
La bissectrice, c’est la conscience qui suscite l’indignation devant l’indignité.
Signe encourageant pour l’avenir, la révolte des indignés nous suggère que le bon sens ne s’est pas trop dilué dans la soupe audiovisuelle et que la conscience civique est toujours présente. Ce mouvement, fort de sa spontanéité et de sa généralité, démontre que des alternatives sont possibles, souhaitables et désirées.
Si le contribuable est le garant en dernier recours des dettes souveraines, le citoyen demeure le maître en dernier recours de la vie politique. Même dans les pires tyrannies orientales le courage des opposants nous le rappelle. Contribuable et citoyen sont les deux faces d’une même pièce. Lorsque tous deux s’exprimeront d’une même voix, le changement sera en œuvre.
Dégageons les élites indignes et réservons nos impôts à des emplois utiles à la société.
Le combat se déroule ici et maintenant. C’est notre honneur de citoyen et notre devoir de contribuable. Nous devons rester indignés devant l’asservissement de l’appareil d’Etat à l’intérêt particulier des potentats locaux. Nous devons nous révolter devant la dérive clientéliste de certains élus plus sensibles aux indemnités électives promises qu’à leur devoir d’élu. Le citoyen n’existe que s’il agit. La passivité encourage l’état de fait et le perpétue.
Agir c’est faire société ; agir c’est voter ; agir c’est se mobiliser ; agir c’est militer ; agir c’est manifester.
Ensemble, agissons !
NEMO
Le vents des évènements a tracé la bissectrice qui sépare les indignés des indignes. D’un côté des nantis, des privilégiés, des notables en charge d’une mission sociale et bénéficiant à ce titre d’un rang, d’avantages et de la confiance a priori de leur concitoyens.
Ces missions sont diverses dans leur expression, mais toutes concordent au fonctionnement de la société. C’est tantôt un industriel qui fabrique des médicaments pour garantir ou améliorer la santé publique. En contrepartie, la société l’enrichit. C’est parfois un banquier qui draine l’épargne et doit la redistribuer sous forme de prêts. Au passage, ses clients acceptent qu’il prenne une commission pour rémunérer ses services. C’est également un homme (ou plus rarement une femme) politique qui décide de représenter ses homologues et d’investir son temps et son énergie pour le bien de la communauté. Celle-ci en retour lui accorde un statut privilégié.
C’est comme cela que le monde fonctionne depuis la nuit des temps et qu’il continuera à le faire. Mais alors qu’est-ce qui coince actuellement ?
Deux dérives majeures grippent la belle mécanique sociale.
D’une part, les dirigeants n’apportent qu’une faible valeur ajoutée au groupe. Au contraire, par une série calamiteuse de mauvaises décisions ils ont tissé la trame de la crise profonde et létale qui menace notre monde au plan financier certes, mais aussi économique, mais encore social et surtout écologique. Ils nous ont précipité dans le gouffre. Et ils sont incapables, pour l’instant, de nous en sortir. Cette situation déjà très préoccupante est aggravée par l’effet de cliquet mis en place par les élites gouvernantes.
En effet et d’autre part, ces élites ont créé une société parallèle constituée de clubs, d’amicales, de fraternités qui doublent la société civile et paralyse ses institutions et ses procédures de contrôle et de régulation. A quoi sert la législation sur l’achat public si les opérateurs sensés être anonymes, se retrouvent le soir à dîner au club des anciens élèves d’une grande école, pour discuter des contrats? A quoi servent les organes de régulation si les régulateurs sont rémunérés par les entreprises qu’ils sont censés réguler ? A quoi sert la diversité politique si les opposants à la tribune se retrouvent bras dessus bras dessous en vacances dans la villa ou sur le yacht de tel milliardaire levantin.
Cette dérive des mœurs a été favorisée et amplifiée par l’abandon des valeurs sociales au profit du libertinage ploutocratique. Depuis plusieurs dizaines d’années au sein des plus grandes universités mondiales et des grandes écoles, la recherche pure et simple du lucre est devenu le paradigme de nos élites. Le progrès de l’humanité se mesure aux indices boursiers et à l’évolution du PIB. Toute analyse se concentre sur le quantitatif. Nul ne considère plus le bien-être des populations et le bonheur vécu des peuples. De nos jours, FLEMING passe pour un crétin pour avoir refusé de breveter la pénicilline et nous assistons à l’apothéose de Steve Jobbs, canonisé par acclamation. La contamination culturelle au reste de la société a été progressive et constante. Avec l’effondrement du bloc soviétique, est arrivé le règne de la pensée unique : « il n’y a pas d’autre choix ! ». Cette phrase est l’argument ultime des politiques et des institutions qui prônent le tout libéral, le démantèlement de l’état, la dérégulation à outrance, et qui rangent le service public au musée des accessoires démodés.
Le résultat c’est le médecin qui empoisonne, le banquier qui vole, l’élu qui ment et détourne la loi à son profit, le fort qui terrasse le faible.
L’indignité dont sont frappées les élites actuelles réside moins dans leurs erreurs que dans leurs mensonges, moins dans leur incompétence que dans l’acharnement déployé pour s’incruster au pouvoir.
La bissectrice, c’est la conscience qui suscite l’indignation devant l’indignité.
Signe encourageant pour l’avenir, la révolte des indignés nous suggère que le bon sens ne s’est pas trop dilué dans la soupe audiovisuelle et que la conscience civique est toujours présente. Ce mouvement, fort de sa spontanéité et de sa généralité, démontre que des alternatives sont possibles, souhaitables et désirées.
Si le contribuable est le garant en dernier recours des dettes souveraines, le citoyen demeure le maître en dernier recours de la vie politique. Même dans les pires tyrannies orientales le courage des opposants nous le rappelle. Contribuable et citoyen sont les deux faces d’une même pièce. Lorsque tous deux s’exprimeront d’une même voix, le changement sera en œuvre.
Dégageons les élites indignes et réservons nos impôts à des emplois utiles à la société.
Le combat se déroule ici et maintenant. C’est notre honneur de citoyen et notre devoir de contribuable. Nous devons rester indignés devant l’asservissement de l’appareil d’Etat à l’intérêt particulier des potentats locaux. Nous devons nous révolter devant la dérive clientéliste de certains élus plus sensibles aux indemnités électives promises qu’à leur devoir d’élu. Le citoyen n’existe que s’il agit. La passivité encourage l’état de fait et le perpétue.
Agir c’est faire société ; agir c’est voter ; agir c’est se mobiliser ; agir c’est militer ; agir c’est manifester.
Ensemble, agissons !
NEMO
Jean-Pierre Bel Réforme territoriale
Le mot de la fin est logiquement revenu à Jean-Pierre Bel :
« Si un président de gauche est élu en 2012, le conseiller territorial sera abrogé, a conclu le président du Sénat. C'est un engagement ».
http://www.lanouvellerepublique.fr/ACTUALITE/Politique/La-reforme-territoriale-s-est-faite-a-l-envers
Envoyé par PM
« Si un président de gauche est élu en 2012, le conseiller territorial sera abrogé, a conclu le président du Sénat. C'est un engagement ».
http://www.lanouvellerepublique.fr/ACTUALITE/Politique/La-reforme-territoriale-s-est-faite-a-l-envers
Envoyé par PM
RESULTAT PRIMAIRES CITOYENNES
ANDUZE
GENERARGUES
MASSILLARGUES-ATUECH
SAINT SEBASTIEN D'AIGREFEUILLE
TORNAC
.
Arnaud MONTEBOURG....81
Martine AUBRY..................85
Jean-Michel BAYLET............1
Manuel VALLS....................25
François HOLLANDE........122
Ségolène ROYAL................36
TOTAL ..............................350
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Arnaud MONTEBOURG....81
Martine AUBRY..................85
Jean-Michel BAYLET............1
Manuel VALLS....................25
François HOLLANDE........122
Ségolène ROYAL................36
TOTAL ..............................350
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samedi 8 octobre 2011
AMRF CONGRES NATIONAL 40 ANS Congrès en direct
L’Association des Maires Ruraux de France a 40 ans. Dès l’origine un principe : des maires au service de leurs pairs ! Editorial du président de l'AMRF Vanik Berberian, paru dans le numéro de janvier de 36000 Communes.
LE DIRECT
http://www.webcastors.net/amrf/
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