Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
mercredi 20 mars 2024
mardi 19 mars 2024
"Il a vu le pont s’effondrer au moment d’arriver dessus" : la stupeur après l’écroulement du pont qui a emporté un camion dans les Cévennes, - midilibre.fr
lundi 18 mars 2024
Post de Jean-Luc Mélenchon sur X
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Sauvons l’Abattoir d’Alès
communiqué du Printemps alésien concernant la cessation de paiement de l'abattoir d'Alès faisant suite aux annonces parues hier dans la presse.
Communiqué Printemps alésien
Sauvons l’Abattoir d’Alès
Par biais de presse interposé (M. le Maire réservant aux Assises de la proximité organisé par Midi-Libre la primeur de l’information) nous venons d’apprendre l’état de cessation de paiement pour la SEMAAC (structure gérant l’abattoir d’Alès).
Ne jugeant pas utile de réunir un Conseil Municipal extraordinaire sur le sujet, le Maire d’Alès et son principal collaborateur Christophe Rivenq s’en remettent désormais au Tribunal de Commerce de Nîmes pour prendre les décisions consécutives au dépôt de bilan.
Au Printemps alésien depuis le début de ce mandat, mais aussi précédemment, à travers les familles politiques et citoyenne qui composent notre mouvement, nous avons toujours défendu la pérennité de cet équipement, indispensable à l’économie d’Alès mais bien au-delà à l’économie départementale et régionale.
La situation actuelle de l’abattoir résulte, de la part des responsables municipaux actuels, soit d’un amateurisme déconcertant, soit d’une volonté délibérée de livrer la gestion publique de l’abattage sur notre territoire au profit de grands groupes type Bigard, Charral ou SOCOPA…
Quoi qu’il en soit, la situation exige désormais qu’un véritable Plan de sauvegarde soit mis en place, en urgence, associant l’ensemble des partenaires de la filière et prenant en compte tant les évolutions en matière règlementaire, que du point de vue du bien-être animal, mais aussi envisageant l’élargissement de la zone de collecte à l’ensemble du département ainsi qu’aux départements voisins.
Afin que le Tribunal de Commerce de Nîmes ne conclue pas à une faillite de l’installation, le Président de l’Agglomération d’Alès, d’autre part Président du pôle métropolitain Nîmes/Alès, Christophe Rivenq doit venir en appui à la Ville d’Alès et son Maire pour sauver cet équipement (et les emplois rattachés).
Au Printemps alésien nous sommes convaincus que lorsqu’existe une volonté politique il y a un chemin.
Le tonnage requis de 4500 T est atteignable encore faut-il que l’on le veuille vraiment. Comme le dit l’adage « Quand on veut tuer son chien, on dit qu’il a la rage. ». Afin de nous démontrer que telle n’est pas sa volonté, il incombe désormais au Président de l’Agglo de trouver les solutions pour le sauvetage de cet équipement, pour les Alésiennes et Alésiens,pour les éleveurs, mais aussi plus généralement pour ces populations de notre territoire du Piémont cévenol, de nos Cévennes, de notre Département.
Parce que nous méritons de consommer une viande saine, avec des éleveurs (dans leur diversité de production) rémunérés à une juste proportion, en limitant au maximum la souffrance animale nous exigeons que l’abattoir d’Alès, abattoir de proximité, soit soutenu et défendu.
Le Président de l’Agglo a promu à grand renfort de communication un Projet Alimentaire Territorial. Il a affirmé « L’objectif est, à terme, de se rapprocher d’une autonomie alimentaire et de garantir à tous l’accèsà une alimentation de qualité », nous lui disons « chiche » : comment dans le cadre de ce PAT peut-on répondre favorablement à ces 73 % de Grandes et Grands Alésiens qui jugent que « pour la viande il est facile de se fournir en produits locaux » ?
La réponse : En sauvant notre abattoir et en développant (entre-autre) un abattoir public du XXIème siècle et certainement pas en le fermant pour livrer l’abattage aux grands groupes dont le seul objectif est la rentabilité et le bénéfice bien souvent au détriment de la qualité etde la proximité
Macron n'est pas plus épais qu'une feuille à cigarette...
Macron n'est pas plus épais qu'une feuille à cigarette...
"L'ambiguïté stratégique", son dada du moment n'est qu'un vaste rideau de fumée !
Comment retrouver le chemin de la paix (menacer Poutine ne le fera pas reculer)
JEAN-LUC MÉLENCHON
https://youtu.be/Pz1x0rFmLnw?si=oAfUEJiis8NC9q1l
Jean-Luc Mélenchon était l'invité de Dimanche en Politique sur France 3 le 17 mars 2024.
Il commence par mettre en garde contre les conséquences désastreuses d'une escalade des
tensions avec la Russie, dans le contexte du conflit en Ukraine. Il souligne les initiatives de paix prises par la Russie et le président Zelensky en faveur d'un cessez-le-feu et d'une démilitarisation des zones à risque. Il dénonce également l'accord de défense avec l'Ukraine, qu'il perçoit comme une validation des positions belliqueuses de Macron. Il met en garde contre les conséquences néfastes de l'entrée de l'Ukraine dans l'OTAN et l'UE sur la paix et l'agriculture française.
Jean-Luc Mélenchon exprime également sa solidarité envers les Palestiniens, critiquant la politique du gouvernement de M. Netanyahu. Il appelle à une condamnation claire du génocide en Palestine. Il insiste sur l'importance du respect du droit international et met en avant la présence de Rima Hassan sur la liste de l'Union Populaire pour les élections européennes, qui défend la solution à deux États conformément aux résolutions de l'ONU.
Sur le plan économique, il plaide pour l'annulation d'une partie de la dette française détenue par la Banque centrale européenne afin de relancer l'économie par des dépenses supplémentaires, notamment dans les services publics tels que l'hôpital et l'école. Il dénonce les 207 milliards d'euros d'aides publiques versées aux entreprises chaque année.
Enfin, Jean-Luc Mélenchon appelle à la mobilisation citoyenne, invitant chacun à vérifier sa situation et à voter le 9 juin pour la liste insoumise afin de relancer l'union de la gauche et de faire entendre la voix du peuple. Il met en garde contre les conséquences de l'absence de participation sur des enjeux cruciaux comme le refus de la guerre et la défense de la cause palestinienne.