Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
mercredi 2 mars 2022
mardi 1 mars 2022
lundi 28 février 2022
Humour
> HUMOUR JUIF ET D'AILLEURS
> Katy Krief
>
> Poutine a rendu visite à une école primaire à Moscou.
> Une classe de première année et il a commencé à dire aux élèves à quel point l'État est fort et comment il se soucie des citoyens.
> A la fin, il demande aux élèves s'ils ont des questions à lui poser. Un élève se lève et dit :
> Je m'appelle Igor et j'ai deux questions.
> Oui, dit Poutine, s'il vous plaît : L'élève demande :
> 1. Pourquoi la Russie a-t-elle attaqué la Crimée ?
> 2. Pourquoi la Russie a-t-elle envoyé des troupes en Ukraine ?
> Poutine dit : Bonnes questions, je suis content que vous les ayez posées. A ce moment la cloche sonne et les enfants sortent faire une pause.
> Après la pause, on continue avec les questions des élèves. Un autre élève se lève et dit :
> - Je m'appelle Sasha et j'ai quatre questions :
> 1. Pourquoi la Russie a-t-elle attaqué la Crimée ?
> 2. Pourquoi la Russie a-t-elle envoyé des troupes en Ukraine ?
> 3. Pourquoi la sonnerie était-elle 20 minutes plus tôt ?
> 4. Où est Igor ?
Appel de 664 chercheurs et scientifiques russes : « Nous exigeons l’arrêt immédiat de tous les actes de guerre dirigés contre l’Ukraine »
Depuis quelques jours, l'attaque militaire russe en Ukraine a porté la guerre au cœur de l'Europe. Nous tenons à dire notre solidarité avec la population ukrainienne. Nos pensées vont en particulier vers nos collègues sur place et vers les étudiantes et étudiants venant d'Ukraine et qui peuvent se trouver actuellement en France, loin des leurs et de leur pays. Nous attirons votre attention sur cette pétition de soutien aux collègues, étudiantes et étudiants d'Ukraine :https://www.change.org/p/communauté-scientifique-soutien-aux-chercheurs-et-étudiants-en-ukraine
Vous pouvez également consulter la prise de position du Groupement de recherche CNRS « Empire russe, URSS et monde post-soviétique » :
https://gdrus.hypotheses.org/2018
Nous tenons également à dire notre sympathie aux universitaires russes qui ont le courage de prendre publiquement la parole contre cette guerre, parfois au péril de leur carrière et de leur liberté. En portant ainsi une parole de droiture, de solidarité et de vérité face à la machine de propagande belliciste, ces collègues nous renvoient aux plus hautes exigences de la liberté académique. Le journal Le Monde a publié un texte de collègues et journalistes scientifiques russes, que nous portons à votre connaissance ci-dessous.
Que peut faire l'Université dans cette situation ? Soutenir matériellement et accueillir les collègues, les étudiantes et les étudiants ukrainiens mis en danger par la guerre est une évidence. Mais sur le long terme, cette guerre rappelle aussi l'importance politique de garantir des formations de haut niveau relatives aux langues, aux sociétés, aux économies et aux cultures de l'ensemble des pays et des régions du globe. Un maillage de formations de ce type représente une contribution décisive à la formation d'un appareil d'État et d'une société civile à même d'analyser et de comprendre des crises régionales ou globales souvent latentes, mais risquant de connaître des phases paroxystiques aussi tragiques que cette guerre. Préparer notre pays à répondre efficacement et démocratiquement aux crises internationales impose de retrouver l'ambition perdue de la diversité linguistique et culturelle dans la formation des élites et du plus grand nombre. Cette crise s'ajoute à d'autres pour nous renvoyer à l'exigence collective de savoirs autonomes, inscrits dans la longue durée, et portant sur l'ensemble des champs de l'activité humaine.
Nous assurons de notre soutien chaleureux les collègues spécialistes de cette aire géographique, qui voient aujourd'hui la guerre déchirer les pays de leurs interlocuteurs scientifiques. Nous invitons toute la communauté universitaire à apporter son soutien et à témoigner sa solidarité aux nombreux chercheurs, doctorants et étudiants ukrainiens qui sont dans nos établissements d'enseignement supérieur et à tous ceux qui y seront accueillis dans les semaines et mois qui viennent.
Appel de 664 chercheurs et scientifiques russes : « Nous exigeons l'arrêt immédiat de tous les actes de guerre dirigés contre l'Ukraine »
Collectif
Dans une lettre ouverte publiée par Le Monde le 25 février, un collectif de chercheurs et de journalistes scientifiques russes dénonce l'entière responsabilité de la Russie dans le déclenchement du conflit. Par cet acte, « la Russie s'est condamnée à l'isolement sur la scène internationale et à un destin de pays paria », estiment-ils encore.
Nous, chercheurs et journalistes scientifiques russes, exprimons ici notre protestation énergique contre les actes de guerre lancés par les forces armées de notre pays sur le territoire de l'Ukraine. Cette décision fatale causera la mort d'un très grand nombre de gens. Elle sape les fondements du système de sécurité collective. La responsabilité du déclenchement de cette nouvelle guerre en Europe incombe entièrement à la Russie.
Cette guerre n'a aucune justification rationnelle. Les tentatives de manipuler la situation dans le Donbass et de s'en servir comme prétexte pour déclencher les opérations militaires ne dupent absolument personne. Il est évident que l'Ukraine ne représente aucune menace pour notre pays. La guerre contre elle est injuste et absurde.
L'Ukraine était et reste un pays dont nous sommes très proches. Nombreux sont ceux, parmi nous, qui y ont des parents, des amis et des collègues chercheurs. Nos pères, grands-pères et arrière-grands-pères ont combattu ensemble le nazisme. Déclencher une guerre pour satisfaire les ambitions géopolitiques des dirigeants de la Fédération de Russie, mus par des considérations historiques fantaisistes et douteuses, ce n'est pas autre chose que trahir leur mémoire.
La guerre avec l'Ukraine, c'est un pas dans le néant
Nous respectons l'Ukraine, voyant en elle un État fondé sur des institutions démocratiques qui fonctionnent. Nous comprenons le choix européen de nos voisins. Nous sommes convaincus que tous les problèmes entre nos deux pays peuvent être résolus de manière pacifique.
En déclenchant la guerre, la Russie s'est condamnée à l'isolement sur la scène internationale et à un destin de pays paria. Cela signifie que nous, les chercheurs, ne pourrons désormais plus faire nos recherches normalement, tant il est vrai que l'avancement des recherches scientifiques est impensable sans coopération approfondie avec les collègues des autres pays.
L'isolement de la Russie dans le monde va aggraver encore plus la dégradation culturelle et technologique de notre pays, tout en fermant toutes les portes de sortie. La guerre avec l'Ukraine, c'est un pas dans le néant.
C'est avec douleur que nous voyons notre pays, dont le rôle pour abattre le nazisme a été décisif, allumer en ce moment même une nouvelle guerre sur le continent européen. Nous exigeons l'arrêt immédiat de tous les actes de guerre dirigés contre l'Ukraine. Nous exigeons le respect de la souveraineté et de l'intégrité territoriale de l'État ukrainien. Nous exigeons la paix pour nos pays.
La traduction et la publication de cette lettre sont à l'initiative de chercheurs français travaillant sur la Russie, l'Ukraine et l'espace post-soviétique.
Premiers signataires : Aleksandr Anikin, linguiste, membre de l'Académie des sciences de Russie ; Jurij Apresjan, linguiste, membre de l'Académie des sciences de Russie ; Aleksandr Bondar, membre de l'Académie des sciences de Russie ; Viktor Vasil'ev, mathématicien, membre de l'Académie des sciences de Russie ; Mikhaïl Danilov, physicien, membre de l'Académie des sciences de Russie ; Jurij Kostitsyn, membre de l'Académie des sciences de Russie, docteur en géologie ; Aleksandr Moldovan, membre de l'Académie des sciences de Russie, philologue ; Serguej Nikolaev, académicien de l'Académie des sciences de Russie, philologue ; Konstantin Novoselov, physicien, lauréat du prix Nobel ; Valerij Rubakov, membre de l'Académie des sciences de Russie, physicien ; Roal'd Sagdeev, membre de l'Académie des sciences de Russie, physicien.
Ukraine : la boussole de Jean-Luc Mélenchon a toujours été la paix
Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Jean-Luc Mélenchon dénonce aussi l'amateurisme de Macron qu'on a pu constater dans sa rencontre avec le président russe Vladimir Poutine" :
Ukraine : la boussole de Jean-Luc Mélenchon a toujours été la paix
Adrien Quatennens
https://youtu.be/RrNCkLuphU8
Adrien Quatennens est intervenu ce dimanche 27 février 2022 en duplex du marché de Loos sur BFM TV, pour répondre à des questions relatives à l'invasion de la #Russie en #Ukraine
Le député du Nord a rappelé que notre boussole, avec Jean-Luc #Mélenchon, a toujours été la paix. Cela fait 10 ans qu'il alerte sur la question des frontières et de l'extension de l'OTAN à l'Est. Nous sommes pour une France non-alignée au service de la paix. Il n'y a pas d'issue militaire à ce conflit.
dimanche 27 février 2022
Jean-Luc Mélenchon dénonce aussi l'amateurisme de Macron qu'on a pu constater dans sa rencontre avec le président russe Vladimir Poutine
Cette revue m'avait échappée pour faire le "tour de la (grande) table" !...
#RDLS150 - Ukraine, rencontre Macron-Poutine: ma position
Jean-Luc Melenchon
https://youtu.be/spRuA6ZsyYY
Ce 150e numéro de la Revue de la semaine est consacré exclusivement à la situation en Ukraine. Jean-Luc Mélenchon revient d'abord sur l'Histoire longue et explique l'origine de l'OTAN, le traité de l'Atlantique nord. Il rappelle que cette alliance militaire faisait face au Pacte de Varsovie qui liait par un accord militaire les pays de l'URSS. Il souligne le fait que l'OTAN a continué à exister alors même que l'URSS et le Pacte de Varsovie avaient disparu, et que les Nord-Américains ont ensuite élargi cette alliance militaire jusqu'au frontières de la Russie alors même qu'ils s'étaient engagés à ne pas le faire.
Le candidat de l'Union populaire à l'élection présidentielle parle ensuite des enjeux actuels dans la montée des tensions entre la Russie et les États-Unis d'Amérique. Il évoque notamment la question du gazoduc Northstream 2 et de la situation particulière de l'Allemagne dans le camp atlantiste. Il explique que les USA voient un enjeu particulier sur le sujet puisqu'eux-mêmes produisent du gaz de schiste et ont intérêt à trouver des marchés pour le vendre... et donc à limiter l'accès européen au gaz russe.
Enfin, Jean-Luc Melenchon expose ce qu'il ferait sur le sujet s'il était élu président de la République. Il défend l'idée d'une France non-alignée et indépendante à la fois de la Russie, des États-Unis et de la Chine. Une France qui mettrait en place une diplomatie altermondialiste. Jean-Luc Mélenchon dénonce aussi l'amateurisme de Macron qu'on a pu constater dans sa rencontre avec le président russe Vladimir Poutine.
samedi 26 février 2022
Et si Poutine était vraiment malade
Et si Poutine était vraiment malade
Si on arrive à valoriser la production agricole en ayant un impact sur le foncier, on aura réussi à mobiliser ces terrains pour autre chose que de la spéculation
"Autre chose que de la spéculation"
"Si à ce stade les chiffres ne sont pas définitifs, ce sont 400 000 à 500 000 euros qui pourraient, dans un premier temps, être dévolus à la constitution d'une réserve foncière agricole. De quoi acquérir une cinquantaine d'hectares.
Grâce aux outils de la société d'aménagement du foncier rural, la collectivité sera par ailleurs en mesure de connaître toutes les transactions en termes de terrains agricoles sur le territoire, puisque la Safer est informée par les notaires de l'ensemble des transactions foncières qui se déroulent sur l'espace rural et périurbain.
"J'en retiens beaucoup de bonnes choses", a estimé pour sa part Jean Giuseppi, maire de Figari. "Si on arrive à valoriser la production agricole en ayant un impact sur le foncier, on aura réussi à mobiliser ces terrains pour autre chose que de la spéculation."
vendredi 25 février 2022
Sur les traces du clan Poutine à Biarritz
La patrie est en danger ! Non pas celle qu’incarne la nation menacée, mais celle dont on foule le sol, celle qu’on laboure et que l’on sème