Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
samedi 20 juillet 2019
ALES PORTE SUD L’ETAT PASSE A L’OFFENSIVE
article ML du jour. Après la politique du fait accompli...le chantage à l'emploi commence. A noter que c'est le chef de l'agence qui a rédigé l'article pas le petit " journaliste" commensal du promoteur.
Porte Sud : à quelques jours de l'ouverture prévue, amendes, astreintes et suspension de travaux infligés par l'Etat
- A l'entrée d'Alès en venant de Nîmes par la RN106, Porte Sud est presque terminée. Mais l'Etat suspend les travaux. AD. B.
Publié le 19/07/2019 à 18:46 / Modifié le 19/07/2019 à 18:46L'étude hydraulique est estimée non conforme. La société Foncière de France du promoteur Claude Dhombre conteste.Alors qu'elle prévoyait l'ouverture des premiers magasins courant août, la société Foncière de France du promoteur Claude Dhombre s'est vue notifier ce vendredi, par le préfet du Gard Didier Lauga trois arrêtés. La société se voit infliger une amende administrative de 15000 €, une astreinte forfaitaire de 1500 € par jour et une suspension temporaire de travaux. En cause ? La non réalisation des prescriptions d'un arrêté datant du 29 avril (qui renvoie à un autre arrêté du 4 décembre 2018) concernant, principalement, la modélisation hydraulique demandée. En résumé, l'Etat conteste l'étude fournie par Claude Dhombre et réalisée par la société HydroPraxis. «L'étude n'est pas conforme, estime le sous-préfet Jean Rampon. On n'est pas dupe. Le projet de Foncière de France est d'avancer son chantier et nos remarques ne sont pas prises en compte. On ne peut pas produire une étude hydraulique en faisant un déni de PPRI. »
"Hypothèses biaisées"
Dans son arrêté, le préfet Didier Lauga indique que « la note hydraulique repose sur des hypothèses biaisées, notamment par défaut de prise en compte des hypothèses de PPRI en persistant à considérer les digues comme ouvrages résistants à la crue de référence » et que, par conséquent, « la sous-estimation des hauteurs d'eau en crue sur le site du projet fait peser un risque important pour les futurs usagers et employés du centre commercial ».
Par la voix du conseiller juridique Nicolas Flamen, Foncière de France conteste. « On nous demande de considérer les digues comme transparentes, c'est à dire qu'elles ne rempliraient pas leur fonction de rempart à l'eau. Nous l'avons fait. Dans toutes les hypothèses, le bâtiment n'est pas inondable. Cette étude nous a coûté 20 000 euros, on ne l'a pas faite sur un coin de table. »
"Erreur manifeste d'appréciation"
Dans un courrier adressé au préfet du Gard, Foncière de France estime les arrêtés illégaux et conteste « une erreur manifeste d'appréciation » de la part de l'Etat. « On va faire plusieurs recours, au fond, contre chaque arrêté, ainsi que des référés suspensifs. »
La suite de l'article, notre dossier complet sur ce sujet, la réaction de commerçants sur place, sont à lire dans notre édition Midi Libre Alès Cévennes de samedi.
ADRIEN BOUDET
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vendredi 19 juillet 2019
VIDEO. Vaisseaux, drapeaux, poches de caca... Sept chiffres qui résument tout ce que l'être humain a abandonné sur la Lune
Note du reboussier :
Surpris de trouver ici cette rubrique, n'est il pas ?
Pour moi elle triture mon neurone, et me fait philosopher sur l'origine de l' homme sur terre
réfléchissez chers terriens et rienes
Je sens que vous voyez où je veux en venir !
Mais oui imaginez que ces poches de caca génèrent dans plusieurs millénaires la vie sur la Lune …une vie évidement adaptée
N'en déduisez vous pas terriens et rienes que nous sommes peut être issus aussi de caca d' extraterrestre
Ceci dit pour moi , j' en suis persuadé
Tournez vous un peu vers nos politiques
Le reboussierravagé
Il faut dire que rien que sur l’opération Alstom-General Electric, c’est un torrent d’argent qui s’est écoulé
Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Prime brouette" :
Ça chauffe pour Macron : l'enquête sur l'affaire Alstom-General Electric passe par le PNF
«Ouverte en janvier dernier par le parquet de Paris, l'enquête sur la vente controversée d'Alstom est désormais pilotée par le PNF. Elle met en cause Emmanuel Macron. Un nouveau procureur de la République financier doit prochainement être nommé.»
(...)
«Il faut dire que rien que sur l'opération Alstom-General Electric, c'est un torrent d'argent qui s'est écoulé. Les auditions de la Commission ont ainsi révélé que l'entreprise alors dirigée par Patrick Kron avait craché pour près de 300 millions d'euros de frais liés à l'opération de rachat par General Electric, sans compter les montants versés par GE lui-même. De bon gros honoraires représentant plus de 10% du montant du deal, proportion très au-dessus des standards (1% à 2%). L'analyse d'Olivier Marleix est qu'une partie de ces fonds se sont finalement retrouvés au travers des dons - particulièrement importants, puisque nombre des donateurs ont saturé le plafond - dans les poches du candidat Macron. Par exemple, sur les 12 millions d'euros récoltés par le parti LREM, la moitié était le fait de dons saturant le plafond de 7.500 €.»
(...)
https://www.marianne.net/societe/l-enquete-sur-l-affaire-alstom-general-electric-passe-au-parquet-national-financier
Voilà de quoi remplir quelques brouettes pour alimenter les caisses de LREM?
Comment en est-on arrivé là ? « Il y a à peine trois ans, deux trains faisaient encore la liaison Perpignan-Rungis, explique un bon connaisseur du dossier
Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "le Train primeur a gagné le marché de Rungis à vid..." :
« Train fantôme »
Il était temps. Depuis lundi 15 juillet, le train des primeurs était entré dans le royaume de l'absurde : il partait et revenait à vide, pendant que, sur le quai en face, on chargeait des camions qui allaient livrer les marchandises que le rail avait jusqu'ici transportées. Une manière de « train fantôme » qui allait finir par se transformer en problème politique pour la toute nouvelle ministre de la transition écologique et solidaire, Elisabeth Borne.
Comment en est-on arrivé là ? « Il y a à peine trois ans, deux trains faisaient encore la liaison Perpignan-Rungis, explique un bon connaisseur du dossier. Le modèle économique était simple : les chargeurs de fruits et légumes remplissaient le train dans le sens Sud-Nord, pour le retour, la SNCF se chargeait de trouver des marchandises allant vers la frontière espagnole. Le problème, c'est que la SNCF ne s'est jamais démenée pour remplir sa partie du train. Alors, l'entreprise, pour rentrer dans ses frais, a augmenté les prix, et si vous ajoutez à cela les grèves et le fait que les wagons avaient atteint leur limite d'âge, vous arrivez à la situation actuelle. »
La situation actuelle, c'est-à-dire celle du printemps 2019, est intenable. Il n'y a plus qu'un seul train qui repart systématiquement vide vers le Sud. La plupart des clients ont déserté et surtout il faut remplacer les wagons à bout de souffle, vieux de 40 ans : coût de 25 à 30 millions d'euros que personne n'est prêt à assumer.» (...)
https://www.lemonde.fr/economie/article/2019/07/17/le-train-de-primeurs-perpignan-rungis-suspendu-jusqu-au-1er-novembre_5490571_3234.html
jeudi 18 juillet 2019
Christophe Castaner a remis le 16 juin des médailles à des fonctionnaires de police impliqués dans des affaires de violences policières
Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Il faut s'interroger sur notre degré d'acceptation..." :
«La distinction, censée récompenser un comportement « honorable », semble avoir été dévoyée par le ministre de l'intérieur. Selon le site d'investigation Mediapart, Christophe Castaner a remis le 16 juin des médailles à des fonctionnaires de police impliqués dans des affaires de violences policières commises principalement lors des différentes mobilisations des « gilets jaunes ». » (...)
https://www.lemonde.fr/societe/article/2019/07/18/gilets-jaunes-castaner-recompense-des-policiers-soupconnes-de-violences_5490749_3224.html
mercredi 17 juillet 2019
Appel - Alès Citoyenne et Rassemblée - Municipales 2020
Ensemble nous voulons construire un avenir nouveau pour notre ville, autour de valeurs communes.
Nous voulons une ville exemplaire en matière de pratiques citoyennes dans laquelle chacune et chacun d'entre nous soit respecté.e, écouté.e, entendu.e avec pour seules règles, la transparence, la participation et la coopération et comme seul arbitre, l'intérêt général.
Nous voulons une ville d'excellence environnementale pour offrir aux générations futures un avenir heureux.Nous voulons une ville pour toutes les Alésiennes et tous les Alésiens, accueillante, ouverte, fière de sa tradition industrielle et actrice d'un nouveau développement économique respectueux de son environnement, avec des Services Publics de qualité.
Nous voulons une ville de la réussite dans laquelle personne, tout particulièrement les jeunes, mais aussi les citoyennes et citoyens oublié.e.s (chômeurs, travailleurs précaires, sans domicile, sans ressource, sans couverture sociale…), les entreprises, les aîné.e.s ne se retrouvent isolés, au bord du chemin.
Nous voulons une ville qui nous rapproche, une ville de partage, une ville de liberté, une ville du droit à la tranquillité, une ville de solidarité, une ville rayonnante de culture, une ville tout simplement humaine.
Nous voulons une ville respectueuse des autres communes.
Nous pouvons partager ces valeurs ; alors, rassemblons-nous pour construire le projet citoyen pour Alès 2020.
Premier.es signataires (classé.es alpha) :
AÏSSAOUI SalimaCHABANNES Franck, militant à la LPO et Amnesty International
BARBIER Julien
DI FRANCESCO Giovanni, fonctionnaire territorial
DUNY Alain
FABRE Jean-Luc, artisan de l'art pictural
FERRAND Claude, finances publiques retraité
GOUNY Henri, Mouvement Citoyen (issu des Gilets Jaunes)
IFFERNET Francis, mineur retraité
IMBERT Basile,
JOURDIEU Laurent, militant associatif
LEYSSENNE Jean-Marc, médecin
LIGNON Hélène
LIS Danielle, enseignante
MAURAS Olivier, cheminot syndicaliste
OUAKLI Mathias
PEILLON Ghislaine, cadre hospitalière
PERROD Alain
PLANQUE Paul, urbaniste
REGNIER Christine, technicienne ENEDIS
RIGAL Edith
ROBERT Anne-Laure
ROUMIEUX Gilles, enseignant
SABADOTTO Louis, cheminot retraité
SABRAN Mathieu, infirmier libéral
SAGIT Martine, syndicaliste
SUAU Jean-Michel, conseiller départemental / élu d'opposition à Alès et Alès-Agglo
THOMAS Christiane, enseignante
TOUGUET Pierrick, enseignant et éco-citoyen
VENDEVILLE Anne-Marie
VILA MIR Jacqueline