Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
samedi 31 mars 2018
vendredi 30 mars 2018
Privatisation et chemin de fer : l'exemple britannique - LeMonde.fr
http://www.lemonde.fr/idees/chronique/2009/05/24/privatisation-et-chemin-de-fer-l-exemple-britannique_1197250_3232.html
Note du réboussier
C' était en mai 2009
Depuis on nous sert sur nos médias de propagandes de millionnaires de nombreux exemples dans d' autre pays , du style la privatisation des lignes secondaires a amélioré le service : plus de trains, plus de passagers, du matériel neuf ,?!?!
là on est au pays des bisounours !
Voyez vous chers amis ce que nous a apporté la privatisation des autoroutes …
Pourquoi le privé ferait -il mieux que le public ?
Pour finir médias achetés et enchainés arrêtez de nous servir en permanence l' exemple de l'Allemagne !
Note du réboussier
C' était en mai 2009
Depuis on nous sert sur nos médias de propagandes de millionnaires de nombreux exemples dans d' autre pays , du style la privatisation des lignes secondaires a amélioré le service : plus de trains, plus de passagers, du matériel neuf ,?!?!
là on est au pays des bisounours !
Voyez vous chers amis ce que nous a apporté la privatisation des autoroutes …
Pourquoi le privé ferait -il mieux que le public ?
Pour finir médias achetés et enchainés arrêtez de nous servir en permanence l' exemple de l'Allemagne !
Nouveau commentaire sur Glyphosate : pour la science, le match retour ? | ....
> «Le message est clair : il faut sauver la recherche face au renoncement politique. Selon eux, l'expertise scientifique n'est plus prise en compte dans les processus de la décision politique.»
> C'est bien la peine qu'Emmanuel Macron compare le glyphosate à l'amiante lors du salon agricole et «en même temps» resigner pour la poursuite de son emploi tout en plaidant pour un changement dans les pratiques agricoles...
> L'épandage généralisé de ce produit en particulier parmi la large palette de molécules balancées sur les sols et dans les airs, concourent largement à détériorer la qualité des eaux des cours d'eaux et des nappes phréatiques.
> Alors, réduire le round up ou glyphosate à un "non cancérigène" est un peu réducteur. C'est faire peu de cas de l'aspect concomitant de ces cocktails employés par certains pour venir à bout du cercle vicieux et vicié dans lequel ils se sont laissés emprisonner et qui «prennent en otage» toute la communauté. Faudra-t-il une énième extinction d'espèces pour s'interroger sur la nocivité galopante de quantité de produits dits "préventifs" ou "curatifs"?
> Il serait temps de changer en amont les pratiques agricoles plutôt que de s'interroger sur la nocivité de tel ou tel produit, que se soit «scientifiquement» démontré ou pas.
> Le temps est largement venu de nous interroger sur les pertes de terres arables, sur la pollution de nos réserves en eaux (qui dépassent les 50% aujourd'hui), et nos campagnes qui deviennent silencieuses tellement les oiseaux se raréfient faute de nourriture suffisante en insectes?
> Dans quel état allons-nous laiser la Terre à nos enfants?
> La communauté politique n'ose plus prendre les décisions qu'imposerait la situation d'urgence environnementale à laquelle nous faisons face. Les lobbyistes de toute obédience sont à l'oeuvre pour brouiller les cartes et s'assurer de profits supplémentaires.
> Pour qui et pour quoi en faire?
> C'est bien la peine qu'Emmanuel Macron compare le glyphosate à l'amiante lors du salon agricole et «en même temps» resigner pour la poursuite de son emploi tout en plaidant pour un changement dans les pratiques agricoles...
> L'épandage généralisé de ce produit en particulier parmi la large palette de molécules balancées sur les sols et dans les airs, concourent largement à détériorer la qualité des eaux des cours d'eaux et des nappes phréatiques.
> Alors, réduire le round up ou glyphosate à un "non cancérigène" est un peu réducteur. C'est faire peu de cas de l'aspect concomitant de ces cocktails employés par certains pour venir à bout du cercle vicieux et vicié dans lequel ils se sont laissés emprisonner et qui «prennent en otage» toute la communauté. Faudra-t-il une énième extinction d'espèces pour s'interroger sur la nocivité galopante de quantité de produits dits "préventifs" ou "curatifs"?
> Il serait temps de changer en amont les pratiques agricoles plutôt que de s'interroger sur la nocivité de tel ou tel produit, que se soit «scientifiquement» démontré ou pas.
> Le temps est largement venu de nous interroger sur les pertes de terres arables, sur la pollution de nos réserves en eaux (qui dépassent les 50% aujourd'hui), et nos campagnes qui deviennent silencieuses tellement les oiseaux se raréfient faute de nourriture suffisante en insectes?
> Dans quel état allons-nous laiser la Terre à nos enfants?
> La communauté politique n'ose plus prendre les décisions qu'imposerait la situation d'urgence environnementale à laquelle nous faisons face. Les lobbyistes de toute obédience sont à l'oeuvre pour brouiller les cartes et s'assurer de profits supplémentaires.
> Pour qui et pour quoi en faire?
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Note du reboussier
Pas les plus riches qui sont eux exonérés de tout , l' actualité nous le démontre tous les jours !
jeudi 29 mars 2018
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