Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
lundi 17 juillet 2017
dimanche 16 juillet 2017
samedi 15 juillet 2017
vendredi 14 juillet 2017
jeudi 13 juillet 2017
Nouveau commentaire sur Boisset sans Reverjac ?.
lo papé a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Boisset sans Reverjac ?" :
Piètre séance que celle de ce Conseil Municipal.
Le petit théâtre de BOISSET (et GAUJAC) le voilà, il est bien dans la salle.
La Bérézina et Trafalgar se dessinent...
Le vieux étriqué comme un parpaillou qui vient de quitter sa babarotte reste vert comme une tomate sans soleil...
Bernard prend la parole (celui là s'il pouvait le dézinguer,le bazarder !) ..
Bernard est une arme dangereuse, redoutable, un véritable fusil à pompe, à répétition...
Et puis il sait de quoi il parle, le Bernard, il te le fait tomber dans le panneau à tous les coups!
Ce soir là les deux gros explosent, ils éclatent, ils déflagrent..
Fou de rage, l'un des deux menace de quitter la séance, puis il revient, histoire de faire souffrir un peu plus la chaise ....
L'autre pour la première fois de sa vie tente de prendre la parole...
Ciel, il parle, enfin, il bredouille, il balbutie (il est adjoint)
On comprend rien, des gloussements, des bruits d'estomac, des onomatopées:
Comment, s'en prendre à Papa ? De quel droit? Il y a plus de sous ? Mais comme on va faire ?
Adieu aligots rafraichissants du mois de juillet, Adieu répétils et bombances à outrance, Adieu sensuelles danses des canards !!
Et puis, lâche parmi les lâches, il cible vicieusement le quartier des femmes ... C'est plus facile..
Mais comment, elles se rebiffent ?
De quoi se mêlent elles ?
Chez nous, les hommes, "Papa pousse et maman tire" !.. Un point c'est tout.
L'heure tourne, les guignols sont bien dans la salle ... je vais me coucher.
mercredi 12 juillet 2017
Nouveau commentaire sur Adrien Quatennens.
"Les Marcheurs aux chaussures de plomb"
Ils étaient des marcheurs errant comme une armée,
Tête basse, en silence et en rangs bien serrés,
Obéissant sans mot dire aux ordres d'un capitaine,
Un certain Bécasseau, ils marchaient avec peine.
De collines en forêts, de vallées en vallons,
Le long chemin sans croix était crucifixion.
Mais chacune et chacun voulait cette aventure
Ils croyaient en leur Dieu, jamais donc de parjure.
Tandis que à pas lents passait la grande armée
Essoufflée, épuisée comme des ânes bâtés,
Ils croisèrent un jour, un soir de brume grise
Un groupe qui marchait, léger comme la brise.
Ensemble ils discutaient, riaient malgré la pente
L'armée traînait ses pieds peinant dans la descente.
L'un d'eux se hasarda « mais qui sont ces cabris? »
Chut! rugit Bécasseau, ce sont des insoumis.
Les rangs se divisèrent et l'armée s'égaya
Délaçant les chaussures pesantes à chaque pas.
« Insoumis aussi gais? Insoumis je veux être!
Marre d'être soumis et que dans le paraître!
Bécasseau n'avait plus sur eux quelque pouvoir
Et les marcheurs dociles devinrent des grognards.
Chacun se dispersa mais d'autres en sens inverse
Repartirent ailleurs libres de controverse.
Moralité:
Lourds sont les godillots quand ils sont faits de plomb,
Ainsi une assemblée de moutons est semblable
Approuvant Jupiter sans nulle contradiction
Qui rêve depuis Versailles d'un Peuple corvéable.
François Canagueral le bouffon anti-roi
(Extrait de «Apologues du bouffon anti-roi)
mardi 11 juillet 2017
Adrien Quatennens
Envoyé par JML
Le 10 juillet 2017, Adrien Quatennens défendait la motion de rejet préalable déposée par la France insoumise sur le projet de loi d'habilitation pour réformer par ordonnances le code du travail. Il est revenu sur le comportement de la majorité «En Marche» en commission des Affaires sociales et a dénoncé l'empressement du gouvernement sur ce projet qui va s'en prendre aux conditions de travail de 18 millions de salariés du secteur privé.
Adrien Quatennens souvenez-vous de ce garçon, une pointure https://www.youtube.com/watch?v=SM3qLL1ysKo
lundi 10 juillet 2017
QUAND LE Pr VITRIOL PARAPHRASE LE PASTEUR NIEMOLLER :
QUAND LE Pr VITRIOL
PARAPHRASE LE PASTEUR NIEMOLLER :
Quand ils s’en sont pris
aux fonctionnaires, je n’ai rien dit, je n’étais pas
fonctionnaire
Quand ils s’en sont pris
aux chômeurs, je n’ai rien dit, j’avais un boulot
Quand ils s’en sont pris
au code du travail, je n’ai rien dit, j’étais retraité
Quand ils s’en sont pris
aux retraites, tout recours à la grève était inutile, les
fonctionnaires, les chômeurs et les ouvriers n’ont pas protesté
Jupiter, sur son trône,
affichait un sourire narquois et méprisant. Après la liberté et
l’égalité, il venait de mettre un terme à la fraternité.
D’après la citation
originale du Pasteur Martin Niemoller (discours du 6 janvier 1946) :
« Quand les nazis
sont venus chercher les communistes, je n’ai rien dit, je n’étais
pas communiste.
Quand
ils ont enfermé les sociaux-démocrates, je n’ai rien dit, je
n’étais pas social-démocrate.
Quand
ils sont venus chercher les syndicalistes, je n’ai rien dit, je
n’étais pas syndicaliste.
Quand
ils sont venus me chercher, il ne restait plus personne pour
protester. »
Inscription à :
Articles (Atom)