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Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
vendredi 6 janvier 2012
jeudi 5 janvier 2012
Feuilleton en 11 épisodes
EPISODE N°01
ANDUZE la porte des enseignes
mercredi 4 janvier 2012
Lettre du président du grand-alès aux maires de nos communautés
Et c'est tellement vrai ......
Ma retraite
sur l'air de " à bicyclette "
A chaque journée de turbin
J'ai cotisé comme les copains
Pour la retraite
Et petit rien par petit rien
J'imaginais que j'aurai bien
Assez pour acheter mon vin
Et ma baguette
Et plus je me rapprochais d'elle
Plus j'en oubliais le réel
Pour la retraite
De tout ce dont j'avais rêvé
Sans même le temps de commencer
Tant dans le boulot on marchait
A la baguette
Dieu sait si j'en ai fait des heures
Supplémentaires avec ardeur
Pour ma retraite
Et depuis que j'avais trente ans
Et la complémentaire aidant
Je me disais : "C'est un bon plan
Pour la retraite"
On enviait les fonctionnaires
Les cheminots, les militaires
Pour leurs retraites
Puis on attendait soixante ans
En pensant qu'on aurait le temps
De profiter de sa maison
A la retraite
Et puis la crise à l'horizon
Généra interrogations
Sur nos retraites
Travailler pus pour gagner plus
On nous promettait un bonus
Mais quand on fut au terminus
Des clopinettes
Il promettait cœur sur la main
Qu'il ne toucherait pas demain
A nos retraites
Mais les jeunes cotiseront
Bien plus pour bien moins de pognon
Le pouvoir a choisi ses cons
Pour la retraite
Envoyé par Goupil30
sur l'air de " à bicyclette "
A chaque journée de turbin
J'ai cotisé comme les copains
Pour la retraite
Et petit rien par petit rien
J'imaginais que j'aurai bien
Assez pour acheter mon vin
Et ma baguette
Et plus je me rapprochais d'elle
Plus j'en oubliais le réel
Pour la retraite
De tout ce dont j'avais rêvé
Sans même le temps de commencer
Tant dans le boulot on marchait
A la baguette
Dieu sait si j'en ai fait des heures
Supplémentaires avec ardeur
Pour ma retraite
Et depuis que j'avais trente ans
Et la complémentaire aidant
Je me disais : "C'est un bon plan
Pour la retraite"
On enviait les fonctionnaires
Les cheminots, les militaires
Pour leurs retraites
Puis on attendait soixante ans
En pensant qu'on aurait le temps
De profiter de sa maison
A la retraite
Et puis la crise à l'horizon
Généra interrogations
Sur nos retraites
Travailler pus pour gagner plus
On nous promettait un bonus
Mais quand on fut au terminus
Des clopinettes
Il promettait cœur sur la main
Qu'il ne toucherait pas demain
A nos retraites
Mais les jeunes cotiseront
Bien plus pour bien moins de pognon
Le pouvoir a choisi ses cons
Pour la retraite
Envoyé par Goupil30
mardi 3 janvier 2012
François Hollande
«Ces cinq années auront été la présidence de la parole»
ALCOOL 1900
https://docs.google.com/open?id=0B-IzQnOA2SYDZTdhOWI1Y2EtMTA3NC00NWE0LThhOGQtYWJkM2NmZDEzMWYx
C'est pas marqué, mais c'est vérifié
"Prenez à chaque repas 4 verres de vin de Tornac,
C'est souverain contre les aigreurs d'estomac"
Recommandé pour les élus contrariés
In vino veritas tarnagas
Envoyé par autour d'Anduze
C'est pas marqué, mais c'est vérifié
"Prenez à chaque repas 4 verres de vin de Tornac,
C'est souverain contre les aigreurs d'estomac"
Recommandé pour les élus contrariés
In vino veritas tarnagas
Envoyé par autour d'Anduze
"Affaire Karachi : la vérité est un devoir d'Etat"
Bernard Cazeneuve - 2/01/2012 - Retour sur... par francoishollande
Depuis le 8 mai 2002, les familles des victimes de l'attentat de Karachi cherchent à savoir la vérité sur le drame qui les a cruellement frappées. Avec dignité et courage, elles se battent pour savoir, pour comprendre.
Dans ce combat, elles ont souvent eu le sentiment d'être seules face à l’institution judiciaire soumise aux pressions du gouvernement. En qualifiant de « fable » les hypothèses privilégiées par des juges d’instructions, en autorisant que le gouvernement exerce des pressions sur le parquet pour faire systématiquement appel des ordonnances par lesquelles les juges d’instruction proposaient d’étendre le champ de leurs investigation, Nicolas Sarkozy a attenté une fois encore à l’indépendance de la justice et fortement mis en cause l’avènement de la vérité.
En outre, se sont ajoutées non seulement les nombreuses obstructions du gouvernement à l’action de la mission parlementaire consacrée à cette affaire mais aussi des déclarations de l'ancien Premier ministre Édouard Balladur, plaidant la régularité de ses comptes de campagne, validés par le Conseil constitutionnel ! Il est pourtant désormais établi que cette validation est intervenue en dépit de l'avis négatif des rapporteurs de ce même Conseil sur la provenance de certains fonds déposés en espèces sur le compte de campagne du candidat Balladur.
Sur cette affaire grave, la vérité est un devoir d'Etat. Nous demandons que toute la lumière soit faite sur les conditions dans lesquelles des intermédiaires ont été mobilisés au moment de la signature des contrats Agosta et Sawari, sur le circuit des commissions relatives à ces contrats. Nous demandons également que les rôles joués par le Premier ministre de l’époque, Edouard Balladur, son ministre de la défense François Léotard et son ministre du budget Nicolas Sarkozy, soient enfin précisés. Dans cette perspective, le secret de la défense nationale doit être levé sur l'ensemble des documents relatifs à ces contrats. Enfin la protection statuaire doit être immédiatement mobilisée au profit des familles des disparus, par souci d'équité.
La vérité seule compte. Face à ce gouvernement, elle est un combat. Notre devoir est de contribuer à son avènement.
http://francoishollande.fr/communiques/affaire-karachi-la-verite-est-un-devoir-d-etat/
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