Eviter les erreurs du futur (suite)
Si nous consacrions seulement la moitié des efforts que nous mettons à essayer de corriger les « erreurs du passé » pour éviter les « erreurs du futur » nous serions plus riches aujourd’hui et demain.
Le problème c’est que les « erreurs du passé » on les voie, on les subit. Essayer de « guérir » plutôt que de « prévenir », cela paraît toujours plus facile, plus valorisant dans l’immédiat surtout pour un élu !
Si nous consacrions seulement la moitié des efforts que nous mettons à essayer de corriger les « erreurs du passé » pour éviter les « erreurs du futur » nous serions plus riches aujourd’hui et demain.
Le problème c’est que les « erreurs du passé » on les voie, on les subit. Essayer de « guérir » plutôt que de « prévenir », cela paraît toujours plus facile, plus valorisant dans l’immédiat surtout pour un élu !
Médiatiquement parlant, il est plus percutant de communiquer sur une résolution d’un problème survenu par l’inconséquence des élus du passé que sur la non existence de ce problème grâce à la clairvoyance et les compétences que ces mêmes élus auraient pu démontrer par le passé.*
* on doit pouvoir formuler ça plus simplement ! Excusez-moi mais je n’ai pas le temps !
Une vision claire de ce qu’on voudrait réellement, ne serait-ce que pour nos enfants, nos petits enfants, est indispensable à acquérir pour tout décisionnaire quel qu’il soit.
Eh oui, c’est plus facile à dire qu’à faire ! ainsi voit-on tous les jours de grands communicateurs nous assurer que demain sera bien mieux qu’aujourd’hui, que « plus jamais ça ! » et bla bla bla … alors qu’ils ne font qu’astiquer leur rétroviseur sans regarder vers le pare-brise.
A suivre …
Envoyé par TGV