Loïs Boisson continue son parcours fou à Roland-Garros et jouera les demi-finales
Invitée par les organisateurs des Internationaux de France, Loïs Boisson, 361e mondiale, a une nouvelle fois prouvé son talent en éliminant la 6e joueuse mondiale.
La gêne du RN après l'assassinat raciste du Var
Si Jordan Bardella et Marine Le Pen ont condamné l'assassinat d'Hichem Miraoui, d'autres se montrent beaucoup plus gênés au sein du parti d'extrême droite.
Absente de la fête ce week-end, Hidalgo tente maladroitement de se rattraper
Complètement invisible ce week-end que ce soit autour du sacre du PSG ou des violences, Anne Hidalgo a tenté de se rattraper en ouverture du Conseil de Paris.
Cette décision de Trump restreint encore plus le droit à l'avortement aux États-Unis
Après l'annulation de l'arrêt Roe v. Wade, l'administration Biden avait recommandé aux hôpitaux de pratiquer les avortements d'urgences quand la situation l'exigeait, y compris dans les États qui limitent ce droit.
La carrière de Philippe Labro doit beaucoup à l'assassinat de JFK
L'ex-patron de RTL, décédé à 88 ans, était parmi les seuls reporters français présents aux États-Unis pour couvrir la mort du président américain en 1963.
Certains stressent de ne pas mettre la main sur la Switch 2, et ils ont sans doute raison
La sortie de la nouvelle console de la firme japonaise s'annonce sportive. Beaucoup d'acheteurs craignent de ne pas recevoir leur commande.
mercredi 4 juin 2025
Fwd: La gêne du RN après l’assassinat raciste du Var
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3 commentaires:
« Hystériser les hystériques »
"De fait, ils n’ont pas les coudées aussi franches que l’ancien président de la République à l’époque, lequel pouvait compter sur une majorité stable (UMP) à l’Assemblée nationale quand il était le « premier flic de France. » Or, « pour réussir quand on est ministre, il faut du temps, un Parlement et de l’argent », selon le triptyque de Gérald Darmanin mi-mai sur RTL. Tout ce dont ils ne disposent pas, reconnaissait le même.
Alors que reste-t-il au duo des remuants ? Des coups de menton, parfois, des effets d’annonce, surtout, grâce à une surface médiatique décuplée depuis les ministères. « Nous sommes dans le royaume de la parole, de la communication, avec des mots qui ne débouchent sur rien, à part hystériser les hystériques », résume auprès du HuffPost un fin connaisseur de la vie politique, nostalgique des personnalités de droite qui « réfléchissaient dans l’empire de l’action, prenaient leurs responsabilités et proposaient une offre politique. »
Du côté de Gérald Darmanin, par exemple, on ne compte plus les initiatives perdues dans la nature, de la création d’une prison de haute sécurité en Guyane (qu’il a été contraint de préciser), à la question de l’argent liquide pour endiguer les narcotrafics, en passant par le paiement, par les détenus, de leurs frais d’incarcération ou la fin de certaines activités en prison.
Bruno Retailleau, de son côté, rythme le débat en affichant son volontarisme à toute épreuve, et en réagissant, à chaud, aux crimes ou fait de violence avec les mêmes mots pour chaque circonstance. Illustration récente avec la vague d’exactions qui a suivi la victoire de Paris en ligue des champions. L’œuvre de « barbares », selon le ministre, qui profitent « d’une société qui a déconstruit tous les cadres communs. »
(…)
https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/gerald-darmanin-et-bruno-retailleau-pieges-par-leurs-exces-de-communication_250853.html
Une retaillade bien jouée !
"Nous avons examiné attentivement quel garde de sécurité faisait le moins attention"
"La suite ? Une très longue attente et parfois désagréables, les autres toilettes étant toujours opérationnelles et utilisées. Outre les bruits qu’ils détaillent en riant, les deux Belges ont décrit leur méthode pour tuer le temps. "Nous avions un sac à dos avec des collations et nous avons joué sur nos téléphones pour tuer le temps, ont confié les deux Belges, entrés le vendredi dans l’enceinte grâce à leurs gilets de sécurité. Les lumières étaient allumées tout le temps et la position assise était inconfortable, donc dormir était presque impossible. Cela a rendu les choses difficiles physiquement et mentalement."
La libération est venue à l’arrivée des premiers supporters dans le stade. Le tandem s’est alors fondu dans la masse de spectateurs ayant parfois déboursé jusqu’à près de 1 000 euros. Non sans être vigilant à ne pas attirer l’attention. "Ensuite, il nous a suffi de passer un dernier contrôle des billets. Nous avons examiné attentivement quel garde de sécurité faisait le moins attention", ont-ils expliqué.
Un jeu risqué mais qui en valait la chandelle, et l’attente. "Le PSG a gagné 5-0 et nous étions avec les supporters parisiens. C’était le plus beau match de football que nous ayons jamais vu", a raconté le duo qui n’en est pas à son coup d’essai. À son actif, une entrée illégale au célèbre festival de musique électronique Tomorrowland ou à la finale de Coupe de Belgique en se faisant passer pour des vendeurs de frites. Ils l’ont déjà promis, la finale de C1 ne sera pas leur dernier coup."
https://www.midilibre.fr/2025/06/04/dormir-etait-presque-impossible-caches-dans-les-toilettes-pendant-27-heures-ils-assistent-gratuitement-a-la-finale-de-ligue-des-champions-12740265.php
RN, la dernière marche
Christophe Belgembe, la longue traîne de la haine d’extrême droite sur Facebook
Le meurtrier présumé d’Hichem Miraoui étalait sa violence raciste sur le réseau. Son profil rappelle ceux croisés par « Les Jours » sur les groupes où barbotaient des députés RN.
"Le Samedi 2 juin 2025, Hichem Miraoui, un coiffeur tunisien de 46 ans, a été tué de cinq balles dans un attentat raciste à Puget-sur-Argens, dans le Var – un autre homme a été blessé. Fait inédit, le Parquet national antiterroriste (Pnat) s’est saisi de l’affaire et une enquête préliminaire pour « assassinat et tentative d’assassinat en relation avec une entreprise terroriste, commis en raison de la race ou la religion », a été ouverte. Dans plusieurs vidéos tournées avant et après son passage à l’acte, postées sur Facebook et révélées par Libération et Le Monde, l’auteur présumé, Christophe Belgembe, 53 ans, revendique effectivement son geste au nom d’une idéologie d’extrême droite, affiche une volonté de médiatisation et en appelle à la violence. Il y fait également référence à Jean-Marie Le Pen, à Marine Le Pen et à Jordan Bardella, avant d’enjoindre à son auditoire : « Votez bien la prochaine fois. » Il sera interpellé dans la foulée par les forces de l’ordre. Dans son véhicule, les gendarmes découvrent plusieurs armes à feu."
(…)
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