mardi 25 juin 2024

Législatives 2024 : Mélenchon Premier ministre ? Il évoque un malentendu (et donne d’autres noms)

https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/legislatives-2024-melenchon-premier-ministre-il-evoque-un-malentendu-et-donne-d-autres-noms_235957.html



2 commentaires:

Anonyme a dit…

"Depuis plusieurs jours, le programme du Nouveau Front Populaire fait l’objet de nombreuses attaques et critiques venant de la droite, des macronistes, de l’extrême droite et de leurs relais médiatiques. Mesures économiques, immigration, lutte contre le racisme, politique sociale… nous publions ici quelques désintox pour tordre le cou à nos détracteurs.

Cliquez sur chaque thème pour découvrir nos arguments."
(…)


https://lafranceinsoumise.fr/2024/06/20/desintox-programme-du-nouveau-front-populaire/

Anonyme a dit…

Jean-Luc Mélenchon invité de L'Événement sur France 2
JEAN-LUC MÉLENCHON



https://youtu.be/zApEDejoZVM?si=0M3UQv26i_q5c4TM



Jean-Luc Mélenchon était l'invité de l'émission "L'Événement" sur France 2 le 24 juin 2024.

Concernant le poste de Premier ministre, il déclare qu'il ne se retire pas, mais ne s'impose pas non plus, et qu'il n'est candidat à rien. Il affirme que d'autres personnes au sein de La France Insoumise sont tout à fait capables d'assumer cette responsabilité, tout en se considérant lui-même comme un atout important, soulignant son engagement de toute une vie dans le combat politique et ses 22% obtenus à la présidentielle. Il appelle à se concentrer sur la victoire du Nouveau Front Populaire plutôt que sur des luttes internes visant à l'éliminer.

Jean-Luc Mélenchon propose de renforcer l'Impôt de Solidarité sur la Fortune (ISF) et d'instaurer un impôt universel sur les sociétés étrangères. Il souligne la nécessité d'avoir des personnes expérimentées et avec du caractère pour appliquer un programme de rupture.

Il promet que ceux qui gagnent moins de 4 000€ par mois paieront autant ou moins d'impôts qu'actuellement, et insiste sur la nécessité de faire contribuer les plus riches et les multinationales, affirmant qu'un impôt universel sur les grands groupes rapporterait 26 milliards d'euros.

Jean-Luc Mélenchon critique également les propos de M. Bardella sur la loyauté des binationaux, qualifiant la chasse aux binationaux de honte. Il conclut en rejetant les accusations de Macron selon lesquelles le programme des extrêmes mènerait à la guerre civile, en rappelant que c'est le président lui-même qui déclenche cette situation notamment en Nouvelle-Calédonie.