vendredi 7 juin 2024

"Laisser ça là, c'est criminel !", la pollution des anciennes mines des Cévennes inquiète les habitants

https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/gard/laisser-ca-la-c-est-criminel-la-pollution-des-anciennes-mines-des-cevennes-inquiete-les-habitants-2981540.html



3 commentaires:

Anonyme a dit…

https://www.midilibre.fr/2024/06/08/gaza-gaza-ales-est-avec-toi-une-nouvelle-manifestation-etait-organisee-dans-le-centre-ville-de-la-capitale-des-cevennes-12002826.php

Anonyme a dit…

https://www.objectifgard.com/politique/europeennes-le-taux-de-participation-a-midi-dans-le-gard-est-de-2016-129295.php

Anonyme a dit…

"Le troisième livre d’Eric Grieu sort le 18 juin, tout un symbole pour ce féru de l’histoire des première et seconde guerres mondiales, et président du comité du Souvenir français de Pont-Saint-Esprit, qui œuvre pour la conservation de la mémoire des morts pour la France.

Pour écrire "Le Gard combattant : avec ou sans uniforme", où il fait un état des lieux "des différents mouvements et types de résistance dans le Gard de juillet 1940 à août 1944, sous Vichy" résume-t-il, le Gardois a travaillé quatre ans, en se plongeant notamment dans les livres des historiens de la Résistance, "comme le résistant gardois Aimé Vielzeuf. Une cinquantaine d’historiens ont travaillé sur ce sujet dans le Gard".
(…)


"Différents types de résistants dans le Gard"

"La Résistance dans le Gard n’a jamais été homogène, les partis politiques ont souvent pris le dessus, chacun avait son groupe. Il y avait différentes zones et différents types de résistance dans le département : FTP (Francs-tireurs et partisans français), FFI (Forces françaises de l’intérieur), MOI (Main-d’œuvre immigrée), Ora (Organisation de résistance de l’armée)…" raconte l’historien. "Dans le Gard rhodanien, c’était le maquis de l’Ora, mené par le commandant Vigan-Braquet. Il a formé des jeunes et a créé, avec des officiers de Nîmes, à Rochefort-du-Gard, le réseau Corps francs des Ardennes. Car à Rochefort, il y a beaucoup de maquis".

Les autres maquis gardois, Cévennes-Aigoual, Bir-Hakeim… sont également décrits avec des anecdotes. "L’écrivain cévenol Jean-Pierre Chabrol est tombé sur des guérilleros espagnols entre Gard et Lozère, qui arrivaient de la guerre d Espagne et voulaient se battre contre les nazis". L’engagement des femmes dans la Résistance n’est pas oublié. "Je leur consacre un chapitre. Elles sont restées dans l’ombre alors qu’elles ont sauvé des gens et risqué leur vie".

À Remoulins, une femme donne de l’eau aux déportés entassés dans le train fantôme
Au fil des pages, les horreurs de la guerre sont rappelées : la faim, les bombardements alliés avec ses nombreux morts, ou encore le train fantôme, parti en juillet 1944 de Toulouse, destination les camps de la mort avec plus de 700 femmes et hommes entassés dans des wagons à bestiaux. "Une femme témoigne qu’elle avait apporté de l’eau aux déportés lors de l’arrêt du train à Remoulins".

Eric Grieu s’est aussi intéressé à la présence des nazis dans le Gard, "ils occupaient les plus belles maisons, comme par exemple à Villeneuve-lès-Avignon", et incite les gens à aller voir les vestiges des bunkers .

"Je n’ai pas pu parler de tout ce qui s’est passé dans le Gard. Pour parler de la Résistance, il faudrait une encyclopédie de 4 ou 5 volumes !"

"Juillet 40-août 44, le Gard combattant : avec ou sans uniforme", d’Eric Grieu, publié à compte d’auteur. 177 pages, 29 euros. En vente à la librairie Occitane à Bagnols, à partir du 22 juin, et au Chant de la Terre à Pont-Saint-Esprit ; par commande en téléphonant au 06 85 63 24 68 ; ou par mail : grieueric@orange.fr

Eric Grieu donnera une conférence (gratuite) et dédicacera son livre vendredi 21 juin, à 18 h, au musée d’art sacré de Pont-Saint-Esprit."



https://www.midilibre.fr/2024/06/16/eric-grieu-sort-un-livre-sur-les-resistants-dans-le-gard-certains-resteront-toujours-dans-lombre-12019033.php