vendredi 7 juin 2024

Dimanche 9 juin, je vote Manon Aubry. 1 seul vote, 1 seul bulletin

Ce dimanche 9 juin, votez pour la liste de la France insoumise
Élections européennes 2024
 
 
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nt

10 commentaires:

Anonyme a dit…

Pourquoi il faut voter insoumis ce dimanche 9 juin - Meeting de l'Union populaire à Lyon
Quel est le programme de Bardella ? Jeter les immigrés à la mer.



https://youtube.com/shorts/1Tznu0M861k?si=BXhsnKzMyvlJzwWY



Bardella fait le beau gosse...
Hautain et prétentieux...
Le RN tu retires l'immigration et la haine des arabes...
Il reste le programme et ses votes contre l'intérêt des français !

Anonyme a dit…

Cambounet-sur-le-Sor, Cuq-Toulza, Saïx (Tarn) et Verfeuil (Gard).

"C’est une petite ZAD, protégée par un minuscule pont-levis et surplombée d’arbres qui tous portent des noms : « Bon matin », « Feu », « Terre », « Eau », « Air ». Et c’est là que des gendarmes sont intervenus jeudi 6 juin pour sécuriser des fouilles archéologiques dans une prairie mitoyenne. Quelques cabanes ont été détruites et quatre personnes interpellées, selon La Dépêche. Mais le campement tenait toujours jeudi soir, selon le groupe de presse des organisateurs de la manifestation contre l’A69, maintenue pour le 8 juin malgré son interdiction par la préfecture."
(…)


https://www.mediapart.fr/journal/france/070624/lutte-contre-l-a69-bruler-des-machines-est-devenu-le-nouvel-ecogeste

Anonyme a dit…

LES BARCASSES DE RENEW ET CONSORTS !...

"Le soleil tape fort ce jeudi après-midi sur les bords de Saône. Quelques startupers lyonnais grignotent des nems en sirotant des thés glacés bio ou des bières artisanales. Sur le quai Rambaud, les employés d’un cabinet d’audit en costumes cravates sombres croisent les militants insoumis attendant patiemment d’entrer dans la Sucrière pour leur dernier meeting de la campagne des européennes. Soudain, des cris au loin viennent perturber le calme ambiant. Regroupés sur trois petits bateaux, une vingtaine de membres du collectif pro-Israël «Nous vivrons» s’approchent de la rive en chantant des slogans hostiles à la France insoumise (LFI), mouvement qu’ils accusent d’antisémitisme. «On est là, on est là, contre l’antisémitisme, nous, on est là», «LFI complices du Hamas», crient-ils. Certains mélenchonistes, depuis les quais, leur répondent en les invitant à faire demi-tour. «Allez faire chier Le Pen, c’est eux les fachos», tonne l’un d’entre eux. Une part importante d’insoumis sont déjà dans la salle. «Le happening» fait un peu flop. Plus tard, sur scène, Jean-Luc Mélenchon se moquera de ses adversaires en les qualifiant «de gosses mal élevés sur leurs barcasses»."
(…)


https://www.liberation.fr/politique/elections/europeennes-a-lyon-melenchon-et-aubry-lancent-la-mobilisation-generale-20240607_Y5DOT3STKNB4XP7DWTQBO42HSA/

Anonyme a dit…

GAUCHE ENGAGÉE OU GAUCHE DÉLAVÉE ??

"Pour la plupart d’entre nous, aujourd’hui l’idée de l’appartenance politique est une idée assez évanescente. Les affiliations à un camp précis à l’intérieur d’une large gauche délavée se sont étiolées ces dernières décennies, avec la mort des grands schémas explicatifs et globaux, des grilles de lectures partisanes et des moules idéologiques dans lesquels on s’installait bien confortablement. Les politologues appellent ça la «désaffiliation partisane», les sondeurs la «volatilité électorale». Ce nouvel état politique, dans lequel nous errons en grande majorité, fait de la veille de jour du scrutin, non plus un moment d’excitation, d’espérance et de détermination mais plutôt une période pénible durant laquelle l’aquoibonisme le dispute à l’incertitude. Au lieu de choisir nous éliminons, au lieu de nous engager nous calculons, au lieu d’affirmer une conviction nous participons à une tactique."
(…)


https://www.liberation.fr/politique/europeennes-pourquoi-voter-sans-complexe-pour-la-liste-de-gauche-qui-vous-fait-le-plus-envie-20240607_BHVJ72TZMJEYZABOMRN43BRRUA/

Anonyme a dit…

Partisan historique du projet d’autoroute contesté, le laboratoire du Tarn s’est impliqué de façon très active dans sa mise en œuvre.

"Les laboratoires Pierre Fabre sont incontournables dans le département du Tarn. Symbole d’une réussite économique mais aussi promoteur de la construction de l’A69, le groupe pharmaceutique est autant choyé par les élus locaux que conspué par les opposants à cette infrastructure autoroutière réunis pour trois jours de protestations entre vendredi 7 juin et dimanche 9 juin à Puylaurens (Tarn).

Pierre Fabre, le fondateur éponyme, a longtemps été un acteur essentiel de ce dossier ouvert depuis un quart de siècle. De la fin des années 1990 à sa mort, en juillet 2013, il en a parlé sans relâche aux responsables des collectivités, aux ministres et aux présidents de la République. « Sa position était connue de tous. Il était parfaitement dans son rôle de chef d’entreprise, l’a défendu, le 29 mai, Eric Ducournau, directeur général du groupe et ancien directeur adjoint de cabinet de Dominique Perben de 1990 à 1995, avant que ce dernier ne devienne ministre des transports de Jacques Chirac (2005-2007). Il s’est battu toute sa vie pour le désenclavement du Tarn. (…) Il aurait pourtant eu maintes fois l’opportunité de s’installer près d’une autoroute. »

S’exprimant devant la commission d’enquête de l’Assemblée nationale « sur le montage juridique et financier » de l’A69, M. Ducournau s’est placé dans les pas de l’ancien PDG. Selon lui, cette construction controversée est nécessaire au développement des laboratoires. A la tête d’un groupe qui a réalisé 2,8 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2023 (+ 6 % par rapport à 2022), le directeur général a estimé, devant les députés, que Pierre Fabre avait subi un différentiel annuel de croissance de 5 % par an par rapport à ses principaux concurrents. « L’entreprise aurait pu avoir une taille très différente si elle avait été située à Paris ou Toulouse », a-t-il ajouté."

« Nous n’avons jamais rien caché »

"Mais, au-delà de sa participation au débat, à grand renfort de lettres ouvertes et d’interviews, le groupe s’est impliqué de façon plus active, comme le montrent les enquêtes parlementaire et journalistique. Dans l’annexe 12 du contrat de concession signé entre l’Etat et la société Atosca, dans une partie protégée par le secret des affaires et intitulée « Une ambition écologique concrète », auquel Le Monde a pu avoir accès, le groupe Pierre Fabre est cité comme futur actionnaire, avec Gaïa Energy Systems et le concessionnaire Atosca, d’une coentreprise qui pourra installer une ferme photovoltaïque sur 40 hectares de délaissés autoroutiers."
(…)



https://www.lemonde.fr/planete/article/2024/06/07/autoroute-a69-l-ombre-du-groupe-pharmaceutique-pierre-fabre-sur-le-contrat-de-concession_6237859_3244.html



Anonyme a dit…

https://www.lefigaro.fr/politique/europeennes-christiane-taubira-appelle-a-voter-pour-la-liste-de-lfi-20240607

Anonyme a dit…

"Six ans après l’abandon de l’idée d’un aéroport à Notre-Dame-des-Landes (Loire-Atlantique), l’infrastructure autoroutière A69, une voie rapide de 53 kilomètres qui doit relier Castres à Toulouse, est-elle en train de devenir un nouveau point de fixation des luttes contre les projets jugés « climaticides » ? Du vendredi 7 au dimanche 9 juin, plusieurs collectifs espèrent voir des « dizaines de milliers » d’opposants converger vers le futur tracé, là où le chantier a déjà commencé. Même si l’objectif officieux se situe plutôt autour de 15 000 protestataires, il pourrait s’agir du plus gros rassemblement sur ces lieux depuis l’annonce du choix du concessionnaire, le 25 septembre 2021, à Lagarrigue (Tarn) par le premier ministre d’alors, Jean Castex.

« A l’époque, il y avait des contestations et c’est normal dans une démocratie. A cette époque-là, elles n’avaient pas atteint l’ampleur, le degré de violence qu’elles ont pris depuis lors », a constaté, mardi 4 juin, l’ancien chef du gouvernement devant la commission d’enquête de l’Assemblée nationale sur le « montage juridique et financier du projet d’autoroute A69 ».

Le même jour, dans l’Hémicycle, le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, a fait un peu plus monter la pression autour de cette mobilisation. Anticipant une manifestation « extrêmement violente » avec la présence de « 600 black blocs », décrivant « des couteaux, des marteaux, des haches » déjà saisis dans les véhicules, il a annoncé l’interdiction de ces rassemblements… Dans la foulée, la préfecture du Tarn a précisé que près de « 1 000 policiers et gendarmes seront mobilisés sur le terrain ce week-end » et que les manifestants s’exposeraient à une amende de 135 euros.

Un projet « écocidaire et antisocial »

"Cette offensive de l’Etat n’a pas démobilisé les organisateurs. Lors d’une conférence de presse, mercredi, des représentants des Soulèvements de la Terre, de La voie est libre, d’Extinction Rebellion Toulouse, de la ZAD A69, qui ont préféré restés anonymes, ont maintenu leur appel à la mobilisation, tout en renvoyant la balle dans le camp de l’exécutif. « Ils ont saisi du matériel de bricolage dans des voitures…, a ironisé un des occupants des trois zones à défendre (ZAD). Tout ça est fait pour légitimer la répression. Malgré ce que nous raconte le ministre de l’intérieur, les gens qui ont des armes létales, ce n’est pas nous. » « Notre objectif reste de faire la fête, d’accueillir les gens de façon pacifique. S’il y a des débordements, ce sera le fait des forces de l’ordre », a conclu Daniel Coutarel, de la Confédération paysanne, qui soutient le rassemblement."
(…)


https://www.lemonde.fr/planete/article/2024/06/08/l-autoroute-a69-point-de-ralliement-des-opposants-aux-projets-climaticides_6237978_3244.html

Anonyme a dit…

"Six ans après l’abandon de l’idée d’un aéroport à Notre-Dame-des-Landes (Loire-Atlantique), l’infrastructure autoroutière A69, une voie rapide de 53 kilomètres qui doit relier Castres à Toulouse, est-elle en train de devenir un nouveau point de fixation des luttes contre les projets jugés « climaticides » ? Du vendredi 7 au dimanche 9 juin, plusieurs collectifs espèrent voir des « dizaines de milliers » d’opposants converger vers le futur tracé, là où le chantier a déjà commencé. Même si l’objectif officieux se situe plutôt autour de 15 000 protestataires, il pourrait s’agir du plus gros rassemblement sur ces lieux depuis l’annonce du choix du concessionnaire, le 25 septembre 2021, à Lagarrigue (Tarn) par le premier ministre d’alors, Jean Castex.

« A l’époque, il y avait des contestations et c’est normal dans une démocratie. A cette époque-là, elles n’avaient pas atteint l’ampleur, le degré de violence qu’elles ont pris depuis lors », a constaté, mardi 4 juin, l’ancien chef du gouvernement devant la commission d’enquête de l’Assemblée nationale sur le « montage juridique et financier du projet d’autoroute A69 ».

Le même jour, dans l’Hémicycle, le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, a fait un peu plus monter la pression autour de cette mobilisation. Anticipant une manifestation « extrêmement violente » avec la présence de « 600 black blocs », décrivant « des couteaux, des marteaux, des haches » déjà saisis dans les véhicules, il a annoncé l’interdiction de ces rassemblements… Dans la foulée, la préfecture du Tarn a précisé que près de « 1 000 policiers et gendarmes seront mobilisés sur le terrain ce week-end » et que les manifestants s’exposeraient à une amende de 135 euros.

Un projet « écocidaire et antisocial »

"Cette offensive de l’Etat n’a pas démobilisé les organisateurs. Lors d’une conférence de presse, mercredi, des représentants des Soulèvements de la Terre, de La voie est libre, d’Extinction Rebellion Toulouse, de la ZAD A69, qui ont préféré restés anonymes, ont maintenu leur appel à la mobilisation, tout en renvoyant la balle dans le camp de l’exécutif. « Ils ont saisi du matériel de bricolage dans des voitures…, a ironisé un des occupants des trois zones à défendre (ZAD). Tout ça est fait pour légitimer la répression. Malgré ce que nous raconte le ministre de l’intérieur, les gens qui ont des armes létales, ce n’est pas nous. » « Notre objectif reste de faire la fête, d’accueillir les gens de façon pacifique. S’il y a des débordements, ce sera le fait des forces de l’ordre », a conclu Daniel Coutarel, de la Confédération paysanne, qui soutient le rassemblement."
(…)


https://www.lemonde.fr/planete/article/2024/06/08/l-autoroute-a69-point-de-ralliement-des-opposants-aux-projets-climaticides_6237978_3244.html

Anonyme a dit…

https://www.francetvinfo.fr/elections/europeennes/reportage-on-nous-a-tout-explique-les-jeunes-allemands-de-16-a-18-ans-votent-pour-la-premiere-fois-a-l-occasion-des-elections-europeennes_6592521.html

Anonyme a dit…

"L'équipement était trop lourd pour faire si peu de blessés"

"Dans un communiqué, le collectif co-organisateur de la mobilisation évoque "des blessures majoritairement causées par des tirs de grenades, des GM2L". Ces grenades, classées comme arme de catégorie A2, autrement dit comme matériel de guerre, ont un double effet : lacrymogène et assourdissant. "Avec 165 décibels, elle dépasse le seuil de douleur sonore. Et elle projette un gaz très irritant et des éclats de plastique capables de trouer des peaux", relève Amnesty international.

Samedi 8 juin, de nombreuses vidéos ont été publiées sur les réseaux sociaux où l'on peut voir des grenades exploser au milieu des manifestants. Dans l'extrait ci-dessous, une personne tombe à terre après l'explosion d'une grenade à ses pieds.

Pierre Bernat, membre de l'observatoire toulousain des pratiques policières, a suivi l'un des cortèges de manifestants, samedi 8 juin 2024 à Puylaurens. Et voici sa réaction immédiate au bilan des blessés dressé par la préfecture du Tarn :

"Le bilan de la préfecture me semble impossible parce que l'équipement utilisé était trop lourd pour faire si peu de blessés."
Pierre Bernat, observateur des pratiques policières

Lui qui a observé plus de 150 manifestations dit avoir "rarement vu une telle précision des gendarmes. Ils réussissaient quasiment à 100% leurs tirs sur leurs objectifs."

Plusieurs types de grenades ont été lancées par les forces de l'ordre. Des désencerclantes, mais aussi des GM2L, "envoyées en cloche, par-dessus des alignements d'arbres, donc sans vision de ce qui se passe avec des explosions à environ deux mètres de hauteurs, donc à hauteur de tête", raconte Pierre Bernat. "Et là, on parle d'explosifs très, très lourds, donc ça m'étonnerait qu'il n'y ait que ça en bilan." Sur le terrain, le membre de l'observatoire toulousain des pratiques policières a vu plusieurs blessés, touchés aux jambes. Et des témoignages évoquent une blessure très grave à une jambe."
(…)


https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/tarn/albi/autoroute-a69-des-grenades-en-cloche-explosant-a-hauteur-de-tete-le-chiffre-peu-credible-de-la-prefecture-concernant-le-nombre-de-blesses-2984081.html