"Cela n’est pas qu’une soirée en discothèque. Il faut se figurer la valeur symbolique d’un tel événement dans un mouvement qui entretient le culte du chef et n’a jamais sanctifié qu’un seul nom, celui de Le Pen. Mais Jordan Bardella est porté par un courant puissant : l’opinion. En témoigne son entrée dans le traditionnel baromètre des 50 personnalités préférées des Français, produit par l’IFOP pour Le Journal du dimanche, publié le 2 janvier, où il est le seul homme politique présent. Il s’y classe en 30e position, alors que Marine Le Pen n’y a jamais figuré. Au panthéon du consensus et du conservatisme, dans un palmarès très masculin, se hisse un homme de 28 ans imprégné des idées de la nouvelle droite, un courant racialiste de l’extrême droite, mais que les Français peinent encore à cerner. Aux yeux d’une majorité d’entre eux, il est encore ce jeune costumé et bien peigné qui s’inscrit dans le sillage de Marine Le Pen et s’invite sur les ondes tous les matins... (…)
Management toxique : Attal s'attache à être le premier de sa classe...
"La bascule de l'allocation spéciale de solidarité (ASS) au revenu de solidarité active (RSA) annoncée par Gabriel Attal lors de son discours de politique générale ne se fera pas sans frais pour les chômeurs. Les plus âgés d'entre eux seront les premières victimes d'un vrai coup de boutoir social.
Sabre au clair, Gabriel Attal s’attaque à la principale allocation du régime de solidarité financé par l’État : l’allocation spéciale de solidarité (ASS), allouée à plus de 261 000 chômeurs en fin de droits en août 2023. « Nous proposerons la bascule de l’ASS au RSA, le revenu de solidarité active, et la suppression de l’ASS », martèle-t-il." (…)
La France en marche EP76 - Le super destin de Amélie Oudéa Castera et la revolte des agriculteurs Studio Crapulax
https://youtu.be/MzvCYQTBJMw?si=leplmyZj3POkkY-_
Oyé oyé, citoyens de la start-up nation ! L'actualité va trop vite et à peine a-t-on le temps de monter un épisode sur Amélie Oudéa Castera et la revolte des agriculteurs que cette endive est déjà virée de son poste de ministre de l'éducation et que les agriculteurs sont déjà rentrés à la maison quand la FNSEA a sifflé la fin de la récréation ! Voici donc mon épisode le plus obsolète mais j'espère qu'il vous plaira quand même !
Et merci pour ce commentaire...
"Il ne manquait qu'une petite chanson pour commencer l'année, ne me demandez pas la lune Je suis venu prendre vos thunes même si vous n en avez pas de vos problèmes je n en ai cure seul votre pognon compte pour moi J'assume le fait d être une crevure nombreux sont ceux qui n en doutent pas Il y a plus d impôts sur la fortune et ça c est à moi qu'on le doit Je viens pour vous casser les burnes avec tous mes quarante neuf trois C'est devenu une habitude depuis des mois je ne fais que ça J'avoue que je suis fier de moi et personne ne doute de cela il reste tant d choses à détruire Et tout le reste à déconstruire de moi n attendez que le pire Je suis élu pour faire souffrir J' ai vraiment besoin de vos thunes pour les patrons ma femme et moi J' vais pas changer mes habitudes moi j ai toujours fait comme ça et moi et moi Je suis tellement sûr qu'on me déteste ça va de soit nul ne doute de ma mauvaise foi Je continue dans l imposture et cela ne s arrêtera pas."
"L’ancienne ministre de la Justice, Nicole Belloubet, a été nommée jeudi au ministère de l’Education nationale en remplacement d’Amélie Oudéa-Castéra, qui elle-même conserve son portefeuille des Sports. Changement de cap avec une personnalité qui a mené une grande partie de sa carrière hors de Paris. Diplômée de l’université, elle n’a aucun lien – selon nos informations – avec Stanislas ou l’Ecole alsacienne, les écoles privées ultra-élitistes remises sur le devant de la scène avec les multiples bourdes d’«AOC» pendant son bref passage à l’Education.
Pour le sociologue Paul Pasquali, la séquence politique qui s’est ouverte avec le remaniement de janvier a été l’occasion de révéler les «capacités d’action et de résistance des élites pour défendre leurs intérêts individuels et collectifs». Emmanuel Macron a en effet maintenu sa confiance à sa ministre pendant quatre semaines, malgré son mensonge sur l’école publique Littré qui ne remplacerait pas les profs absents, un cas de contournement de Parcoursup et l’inscription de ses enfants dans une classe non mixte." (…)
"Maroquin n.m. = cuir de chèvre teinté utilisé en particulier en reliure. Livre relié en maroquin rouge. (De maroquin sont issus maroquinerie et maroquinier.) Les deux mots ont la même origine : le maroquin a d'abord été importé du Maroc."
"Le mot magique de Gabriel Attal, dans toutes ses prises de paroles pré-écrites ou lorsqu’il répond à une interview (preuve qu’il s’agit bien de la clé de son discours spontané), c’est «j’assume». Ce verbe, en politique, est très pratique. Il est à la fois autovalorisant et contient un formidable potentiel d’enfumage. «J’assume être à la tête d’une majorité pro-nucléaire.» «J’assume des divergences avec l’Allemagne.» Sa déclaration de politique générale, le 30 janvier, était truffée de ce «j’assume». Gabriel Attal est à bonne école, puisque Emmanuel Macron a usé et abusé de ce verbe pendant les campagnes de 2017 et 2022." (…)
Le fascisme c’est la bourgeoisie qui pose son masque !...
🦏 VALEURS ACTUELLES : QUAND LA BOURGEOISIE S’ENSAUVAGE BLAST, Le souffle de l'info
https://youtu.be/IjSdrg5Bq3w?si=U7W6iqzrk71HMWr_
Dans ce nouvel épisode de Rhinocéros, Usul et Lumi reviennent sur un des titres emblématiques de la presse d'extrême droite française : Valeurs actuelles. Eh oui, parce qu'il y a une actu en plus. Son propriétaire, Iskandar Safa, est mort le 29 janvier. Donc c'est l'occasion de refaire un peu le point sur ce journal. Voilà qui lit ça ? Qu'est ce qu'il y a dedans ? Comment ça se fait qu'on en a entendu parler ces dernières années ?
Journalistes : Lumi, Usul Montage : Harkiadiel Images : Hamza Benkirane Production : Red Pop Graphisme : Morgane Sabouret Directeur des programmes : Mathias Enthoven Rédaction en chef : Soumaya Benaïssa Directeur de la rédaction : Denis Robert
"Dans les hautes sphères, on retrouve aussi celle qui a le plus fait parler ces dernières semaines, embourbée dans plusieurs polémiques à l’Éducation nationale avant d’être exfiltrée et de garder uniquement le portefeuille des Sports, de la Jeunesse et des JO : Amélie Oudéa-Castéra et ses 7 millions d’euros, tirés en bonne partie des actions gratuites qu’elle a pu accumuler chez Axa, puis Carrefour.
Suivent non loin, autour de 5 millions d’euros, Éric Dupond-Moretti à la Justice, Roland Lescure à l’Industrie et à l’Énergie, et Jean-Noël Barrot aux Affaires européennes. Le premier s’appuie notamment sur ses émoluments en tant qu’avocats ainsi que ses droits d’auteur et comme acteur de théâtre.
Stanislas Guerini, ministre de la Transformation et de la Fonction publiques, déclarerait lui un patrimoine juste au-dessous des 4 millions d’euros.
Le Premier ministre, Gabriel Attal, disposerait pour sa part d’une assurance-vie évaluée à près de 1,5 million d’euros.
L’Humanité mentionne plusieurs autres millionnaires au sein du gouvernement, sans toutefois préciser le montant de leur fortune : Agnès Pannier-Runacher, Rachida Dati, Dominique Faure, Olivia Grégoire, Fadila Khattabi, Sylvie Retailleau, Christophe Béchu et Marc Fesneau.
Les membres du gouvernement ont maintenant deux mois pour remettre à la HATVP leurs déclarations actualisées d’intérêts et de patrimoine."
Obnubilé par l’objectif du plein-emploi, le gouvernement a dit réfléchir à limiter le recours à la rupture conventionnelle.
"Cette mesure, instaurée en 2008, permet à des salariés de se séparer de leur employeur de leur plein gré, et d'obtenir par la suite des indemnités chômage. Voilà une mesure qui a été plébiscitée à la fois par les salariés et par les patrons. Depuis sa création, en 2008, par le gouvernement Fillon, la « rupture conventionnelle », donnant droit à une indemnité légale de licenciement, fait consensus." (…)
"La défiance des Français envers la politique demeure très élevée par rapport à d'autres pays européens, selon le baromètre annuel du Cevipof* (document PDF) publié mardi 13 février. D'après l'étude réalisée par l'institut de sondage OpinionWay pour le Centre d'étude de la vie politique française, 68% des Français jugent que "la démocratie ne fonctionne pas bien", soit une progression de 4 points en un an. La hausse de cette défiance est par ailleurs sensible en Italie (+5 points à 63%) et surtout en Allemagne (+8 points à 47%).
Seuls 18% (+1) des Français estiment que leur avis est "pris en compte" par les responsables politiques. Ils sont davantage (33%) en Allemagne, mais avec une chute de 12 points sur un an. Quand ils pensent à la politique, 37% des Français éprouvent d'abord de la "méfiance", un chiffre stable, contre 30% en Italie (+1 point) et 30% aussi en Allemagne (+4 point).
Seuls 30% (+1) des Français jugent leurs élus "plutôt honnêtes" contre 45% des Allemands (-8) et 26% des Italiens (-3). Si 60% (+1) des Français se disent mécontents du président de la République, Emmanuel Macron, les Allemands sont 68% à être insatisfaits de leur chancelier Olaf Scholz, un chiffre en hausse de… 23 points. En Italie, l'impopularité de la cheffe du gouvernement Georgia Meloni progresse aussi de 9 points, mais n'atteint que 44%."
* Enquête réalisée en janvier, selon la méthode des quotas, auprès d'un échantillon représentatif de 3 514 personnes en France, 1 632 en Allemagne et 1 706 en Italie.
"Aïe, ça tombe pendant les vacances scolaires, ce qui relève d’«une forme d’habitude» déplore Gabriel Attal. Naïveté feinte ou vraie ignorance d’un principe simple, celui du rapport de force ? Au cas où, rappelons au Premier ministre que pour être efficace, une grève doit précisément perturber la production au moment le plus opportun, sans quoi le patronat se permettra confortablement de l’ignorer. En réalité, Gabriel Attal le sait sans doute déjà, puisque le gouvernement dont il était membre en était presque, l’année dernière, à féliciter les syndicats pour la sagesse de leurs cortèges massifs contre la réforme des retraites. Tout en ignorant royalement leurs revendications." (…)
"ces abrutis ne savent pas que la rupture conventionnelle n’est pas demandée que par les « fainéants de salariés » que nous sommes mais aussi en grande partie par les employeurs qui souhaitent se séparer d’un salarié sans le foutre dans la merde et en évitant les prud’hommes" (…)
« Réforme » plutôt que « suppression »
"Retour au 12 février 2024. Publié une première fois en évoquant l’idée d’une « suppression pure et simple » de la rupture conventionnelle, l’article de Marianne a été modifié le lendemain pour évoquer « une réforme » pour en limiter le recours.
Sur X, le journaliste de Libération Frantz Durupt avait été l’un des premiers à signaler cette « surinterprétation d’un off de Matignon paru dans La Tribune l’automne dernier qui évoquait une ’réforme’ de la rupture conventionnelle ». Mais il était déjà trop tard et l’information bien que modifiée par Marianne -qui précise d’ailleurs cette correction en fin d’article- avait déjà creusé son sillon sur les réseaux sociaux.
Notamment reprise par le compte X Brèves de presse, suivi par plus de 300 000 personnes, l’information s’est répandue comme une trainée de poudre, provoquant des réactions outrées en ligne."
Depuis, une « note » de précision a également été ajoutée sous la publication de Brèves de presse pour évoquer la modification de l’article de l’hebdomadaire.
Toutefois, force est de constater que cette idée ne vient pas de nulle part, puisque c’est Élisabeth Borne et son ministre du Travail de l’époque qui s’étaient penchés sur cette idée. L’utilisation de l’expression « fausse information », comme l’a fait Catherine Vautrin dans son tweet, semble donc véridique concernant l’idée d’une suppression.
Reste à savoir si l’idée d’une réforme est toujours à l’ordre du jour rue de Grenelle. La ministre ne s’étant malheureusement exprimée que sur la rumeur d’une suppression, pas sur son éventuelle réforme."
"Gabriel Attal a assuré, mercredi 14 février, vouloir "aller chercher tous les logements possibles avec les dents", avec l'objectif que le "choc d'offre" annoncé par l'exécutif produise "des résultats tangibles dans les trois ans qui viennent."
"J'ai décrété l'urgence pour le logement en France (…) On va se battre centimètre par centimètre, mètre carré par mètre carré, pour aller chercher du logement pour les Français. On va aller chercher tous les logements possibles avec les dents", a déclaré le Premier ministre lors d'une visite de chantier à Villejuif (Val-de-Marne).
"L'objectif, c'est de garantir des résultats concrets, tangibles dans les trois ans qui viennent", a poursuivi le chef du gouvernement, accompagné du ministre de la Transition écologique, Christophe Béchu, et du nouveau ministre délégué au Logement, Guillaume Kasbarian." (…)
"Est-ce une victoire ou une défaite pour la majorité ? Ce 14 février, peu après 17 heures, l’Assemblée Nationale a adopté son projet de loi contre les dérives sectaires et son article 4, particulièrement controversé. Ce dernier vise à punir l’incitation à ne pas prendre ou arrêter un traitement. De fait, ce projet de loi contre les dérives sectaires est avant tout une réponse aux signalements de plus en plus nombreux de dérives dans le domaine de la santé, avec des pseudo-thérapeutes qui promettent guérison à leurs patients grâce à des jeunes ou autres tisanes, plutôt qu’avec les traitements recommandés. Sauf que, lundi 13 février en toute fin de soirée, coup de panique dans la majorité : une coalition LFI-LR-RN est parvenue à rayer le fameux article 4 du texte après des débats houleux, laissant des traces dans les rangs de Renaissance." (…)
"Chaque semaine les députés de tous les groupes politiques interpellent, questionnent, réclament des comptes au gouvernement, sur des sujets d'actualité lors des "QAG" (questions au gouvernement). Elles donnent parfois lieu à des échanges très musclés. Jusqu’à cet hiver, cet échange durait deux heures, mais comme tout le monde finissait au fil des questions par déserter l'hémicycle, la présidence de l'assemblée a décidé de diviser la session en deux, avec une partie le mardi, une autre le mercredi. Dans l'entourage de la présidente de l'Assemblée nationale, on évoque l'idée de réserver la séance du mercredi à ces questions directes à Gabriel Attal, avec une durée de 45 minutes de questions-réponses avec le chef du gouvernement.
L'un des soutiens de Gabriel attal défend "une démarche plus respectueuse vis-à-vis des parlementaires" au moment où le malaise persiste d'après lui entre le gouvernement et le parlement, dans un contexte de majorité relative qui rend chaque loi explosive. Laisser le Premier ministre s'exposer de la sorte, c'est aussi lui permettre de s'imposer, lui que les oppositions qualifient depuis sa nomination de simple "exécutant" d'Emmanuel Macron.
La même idée avait déjà été proposée à Élisabeth Borne, qui avait refusé. Yaël Braun-Pivet doit en parler prochainement avec le chef du gouvernement pour mettre ce format en place. Son équipe souligne que c'est le Parlement qui propose, et non l'inverse. Dans un courrier, la présidente de l'Assemblée nationale explique avoir rappelé au Premier ministre que "sa présence ainsi que celle de l'ensemble des membres du gouvernement aux deux sessions étaient essentielles". Un comble pour Gabriel Attal qui envisage pourtant un moment privilégié avec les députés."
16 commentaires:
JORDAN, LA TOXICITÉ AU MASCULIN
"Cela n’est pas qu’une soirée en discothèque. Il faut se figurer la valeur symbolique d’un tel événement dans un mouvement qui entretient le culte du chef et n’a jamais sanctifié qu’un seul nom, celui de Le Pen. Mais Jordan Bardella est porté par un courant puissant : l’opinion. En témoigne son entrée dans le traditionnel baromètre des 50 personnalités préférées des Français, produit par l’IFOP pour Le Journal du dimanche, publié le 2 janvier, où il est le seul homme politique présent. Il s’y classe en 30e position, alors que Marine Le Pen n’y a jamais figuré. Au panthéon du consensus et du conservatisme, dans un palmarès très masculin, se hisse un homme de 28 ans imprégné des idées de la nouvelle droite, un courant racialiste de l’extrême droite, mais que les Français peinent encore à cerner. Aux yeux d’une majorité d’entre eux, il est encore ce jeune costumé et bien peigné qui s’inscrit dans le sillage de Marine Le Pen et s’invite sur les ondes tous les matins...
(…)
https://www.lemonde.fr/politique/article/2024/02/10/jordan-bardella-les-dessous-d-une-politique-tik-tok_6215810_823448.html
Management toxique : Attal s'attache à être le premier de sa classe...
"La bascule de l'allocation spéciale de solidarité (ASS) au revenu de solidarité active (RSA) annoncée par Gabriel Attal lors de son discours de politique générale ne se fera pas sans frais pour les chômeurs. Les plus âgés d'entre eux seront les premières victimes d'un vrai coup de boutoir social.
Sabre au clair, Gabriel Attal s’attaque à la principale allocation du régime de solidarité financé par l’État : l’allocation spéciale de solidarité (ASS), allouée à plus de 261 000 chômeurs en fin de droits en août 2023. « Nous proposerons la bascule de l’ASS au RSA, le revenu de solidarité active, et la suppression de l’ASS », martèle-t-il."
(…)
https://www.marianne.net/societe/fin-de-l-ass-bascule-vers-le-rsa-pourquoi-les-chomeurs-de-plus-de-50-ans-seront-les-premiers-perdants
La France en marche EP76 - Le super destin de Amélie Oudéa Castera et la revolte des agriculteurs
Studio Crapulax
https://youtu.be/MzvCYQTBJMw?si=leplmyZj3POkkY-_
Oyé oyé, citoyens de la start-up nation ! L'actualité va trop vite et à peine a-t-on le temps de monter un épisode sur Amélie Oudéa Castera et la revolte des agriculteurs que cette endive est déjà virée de son poste de ministre de l'éducation et que les agriculteurs sont déjà rentrés à la maison quand la FNSEA a sifflé la fin de la récréation !
Voici donc mon épisode le plus obsolète mais j'espère qu'il vous plaira quand même !
Et merci pour ce commentaire...
"Il ne manquait qu'une petite chanson pour commencer l'année, ne me demandez pas la lune
Je suis venu prendre vos thunes
même si vous n en avez pas
de vos problèmes je n en ai cure
seul votre pognon compte pour moi
J'assume le fait d être une crevure
nombreux sont ceux qui n en doutent pas
Il y a plus d impôts sur la fortune
et ça c est à moi qu'on le doit
Je viens pour vous casser les burnes
avec tous mes quarante neuf trois
C'est devenu une habitude
depuis des mois je ne fais que ça
J'avoue que je suis fier de moi
et personne ne doute de cela
il reste tant d choses à détruire
Et tout le reste à déconstruire
de moi n attendez que le pire
Je suis élu pour faire souffrir
J' ai vraiment besoin de vos thunes
pour les patrons ma femme et moi
J' vais pas changer mes habitudes
moi j ai toujours fait comme ça
et moi et moi
Je suis tellement sûr
qu'on me déteste ça va de soit
nul ne doute de ma mauvaise foi
Je continue dans l imposture
et cela ne s arrêtera pas."
REPRODUCTION ET TOXICITÉ
"L’ancienne ministre de la Justice, Nicole Belloubet, a été nommée jeudi au ministère de l’Education nationale en remplacement d’Amélie Oudéa-Castéra, qui elle-même conserve son portefeuille des Sports. Changement de cap avec une personnalité qui a mené une grande partie de sa carrière hors de Paris. Diplômée de l’université, elle n’a aucun lien – selon nos informations – avec Stanislas ou l’Ecole alsacienne, les écoles privées ultra-élitistes remises sur le devant de la scène avec les multiples bourdes d’«AOC» pendant son bref passage à l’Education.
Pour le sociologue Paul Pasquali, la séquence politique qui s’est ouverte avec le remaniement de janvier a été l’occasion de révéler les «capacités d’action et de résistance des élites pour défendre leurs intérêts individuels et collectifs». Emmanuel Macron a en effet maintenu sa confiance à sa ministre pendant quatre semaines, malgré son mensonge sur l’école publique Littré qui ne remplacerait pas les profs absents, un cas de contournement de Parcoursup et l’inscription de ses enfants dans une classe non mixte."
(…)
https://www.liberation.fr/idees-et-debats/gabriel-attal-de-couriss-amelie-oudea-castera-les-elites-ne-se-contentent-pas-de-se-reproduire-elles-se-battent-pour-cela-20240211_E4KBKYRWIFCWHHH7BPBJ4FEKEM/
L'éléphant(e) au milieu de la pièce...
https://www.huffingtonpost.fr/politique/video/amelie-oudea-castera-le-fiasco-de-son-passage-a-l-education-transpire-dans-la-passation-de-pouvoir_229575.html
"Maroquin n.m. = cuir de chèvre teinté utilisé en particulier en reliure. Livre relié en maroquin rouge. (De maroquin sont issus maroquinerie et maroquinier.) Les deux mots ont la même origine : le maroquin a d'abord été importé du Maroc."
Sabrina, les pieds dans le plat (de tajine) ...
https://www.laprovence.com/article/region/2851157903188514/je-n-abandonnerai-jamais-marseille-pour-un-maroquin-linterview-de-sabrina-agresti-roubache-reconduite-secretaire-detat-a-la-ville
ATTAL ET L'AMBIVALENCE ASSUMÉE
"Le mot magique de Gabriel Attal, dans toutes ses prises de paroles pré-écrites ou lorsqu’il répond à une interview (preuve qu’il s’agit bien de la clé de son discours spontané), c’est «j’assume». Ce verbe, en politique, est très pratique. Il est à la fois autovalorisant et contient un formidable potentiel d’enfumage. «J’assume être à la tête d’une majorité pro-nucléaire.» «J’assume des divergences avec l’Allemagne.» Sa déclaration de politique générale, le 30 janvier, était truffée de ce «j’assume». Gabriel Attal est à bonne école, puisque Emmanuel Macron a usé et abusé de ce verbe pendant les campagnes de 2017 et 2022."
(…)
https://www.liberation.fr/politique/le-jassume-bien-pratique-de-gabriel-attal-20240212_CAGK7FJMZ5E2PIQISVGQXCSGDM/
Le fascisme c’est la bourgeoisie qui pose son masque !...
🦏 VALEURS ACTUELLES : QUAND LA BOURGEOISIE S’ENSAUVAGE
BLAST, Le souffle de l'info
https://youtu.be/IjSdrg5Bq3w?si=U7W6iqzrk71HMWr_
Dans ce nouvel épisode de Rhinocéros, Usul et Lumi reviennent sur un des titres emblématiques de la presse d'extrême droite française : Valeurs actuelles. Eh oui, parce qu'il y a une actu en plus. Son propriétaire, Iskandar Safa, est mort le 29 janvier. Donc c'est l'occasion de refaire un peu le point sur ce journal. Voilà qui lit ça ? Qu'est ce qu'il y a dedans ? Comment ça se fait qu'on en a entendu parler ces dernières années ?
Journalistes : Lumi, Usul
Montage : Harkiadiel
Images : Hamza Benkirane
Production : Red Pop
Graphisme : Morgane Sabouret
Directeur des programmes : Mathias Enthoven
Rédaction en chef : Soumaya Benaïssa
Directeur de la rédaction : Denis Robert
LE RUISSELLEMENT C'EST MAINTENANT !!!
Amélie Oudéa-Castéra, 7 millions d’euros
"Dans les hautes sphères, on retrouve aussi celle qui a le plus fait parler ces dernières semaines, embourbée dans plusieurs polémiques à l’Éducation nationale avant d’être exfiltrée et de garder uniquement le portefeuille des Sports, de la Jeunesse et des JO : Amélie Oudéa-Castéra et ses 7 millions d’euros, tirés en bonne partie des actions gratuites qu’elle a pu accumuler chez Axa, puis Carrefour.
Suivent non loin, autour de 5 millions d’euros, Éric Dupond-Moretti à la Justice, Roland Lescure à l’Industrie et à l’Énergie, et Jean-Noël Barrot aux Affaires européennes. Le premier s’appuie notamment sur ses émoluments en tant qu’avocats ainsi que ses droits d’auteur et comme acteur de théâtre.
Stanislas Guerini, ministre de la Transformation et de la Fonction publiques, déclarerait lui un patrimoine juste au-dessous des 4 millions d’euros.
Le Premier ministre, Gabriel Attal, disposerait pour sa part d’une assurance-vie évaluée à près de 1,5 million d’euros.
L’Humanité mentionne plusieurs autres millionnaires au sein du gouvernement, sans toutefois préciser le montant de leur fortune : Agnès Pannier-Runacher, Rachida Dati, Dominique Faure, Olivia Grégoire, Fadila Khattabi, Sylvie Retailleau, Christophe Béchu et Marc Fesneau.
Les membres du gouvernement ont maintenant deux mois pour remettre à la HATVP leurs déclarations actualisées d’intérêts et de patrimoine."
https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/gouvernement-attal-la-moitie-des-ministres-sont-millionnaires-selon-l-humanite_229690.html
ATTAL, LE NÉRON DE MACRON
Obnubilé par l’objectif du plein-emploi, le gouvernement a dit réfléchir à limiter le recours à la rupture conventionnelle.
"Cette mesure, instaurée en 2008, permet à des salariés de se séparer de leur employeur de leur plein gré, et d'obtenir par la suite des indemnités chômage.
Voilà une mesure qui a été plébiscitée à la fois par les salariés et par les patrons. Depuis sa création, en 2008, par le gouvernement Fillon, la « rupture conventionnelle », donnant droit à une indemnité légale de licenciement, fait consensus."
(…)
https://www.marianne.net/societe/plein-emploi-en-ligne-de-mire-le-gouvernement-songe-a-supprimer-la-rupture-conventionnelle
À LA SAINT VALENTIN, PEAU DE CHAGRIN !
"La défiance des Français envers la politique demeure très élevée par rapport à d'autres pays européens, selon le baromètre annuel du Cevipof* (document PDF) publié mardi 13 février. D'après l'étude réalisée par l'institut de sondage OpinionWay pour le Centre d'étude de la vie politique française, 68% des Français jugent que "la démocratie ne fonctionne pas bien", soit une progression de 4 points en un an. La hausse de cette défiance est par ailleurs sensible en Italie (+5 points à 63%) et surtout en Allemagne (+8 points à 47%).
Seuls 18% (+1) des Français estiment que leur avis est "pris en compte" par les responsables politiques. Ils sont davantage (33%) en Allemagne, mais avec une chute de 12 points sur un an. Quand ils pensent à la politique, 37% des Français éprouvent d'abord de la "méfiance", un chiffre stable, contre 30% en Italie (+1 point) et 30% aussi en Allemagne (+4 point).
Seuls 30% (+1) des Français jugent leurs élus "plutôt honnêtes" contre 45% des Allemands (-8) et 26% des Italiens (-3). Si 60% (+1) des Français se disent mécontents du président de la République, Emmanuel Macron, les Allemands sont 68% à être insatisfaits de leur chancelier Olaf Scholz, un chiffre en hausse de… 23 points. En Italie, l'impopularité de la cheffe du gouvernement Georgia Meloni progresse aussi de 9 points, mais n'atteint que 44%."
* Enquête réalisée en janvier, selon la méthode des quotas, auprès d'un échantillon représentatif de 3 514 personnes en France, 1 632 en Allemagne et 1 706 en Italie.
https://www.francetvinfo.fr/politique/emmanuel-macron/la-defiance-des-francais-envers-la-politique-au-plus-haut-selon-un-sondage_6363412.html
L'INVERTI ET L'INVERSION DES MAUX...
"Aïe, ça tombe pendant les vacances scolaires, ce qui relève d’«une forme d’habitude» déplore Gabriel Attal. Naïveté feinte ou vraie ignorance d’un principe simple, celui du rapport de force ? Au cas où, rappelons au Premier ministre que pour être efficace, une grève doit précisément perturber la production au moment le plus opportun, sans quoi le patronat se permettra confortablement de l’ignorer. En réalité, Gabriel Attal le sait sans doute déjà, puisque le gouvernement dont il était membre en était presque, l’année dernière, à féliciter les syndicats pour la sagesse de leurs cortèges massifs contre la réforme des retraites. Tout en ignorant royalement leurs revendications."
(…)
https://www.liberation.fr/economie/social/gabriel-attal-ou-lopposition-perverse-du-travail-et-de-la-greve-20240214_Z733PM447RGD5LSJXLDMUKTCK4/
Tweet de raphael sous X ...
"ces abrutis ne savent pas que la rupture conventionnelle n’est pas demandée que par les « fainéants de salariés » que nous sommes mais aussi en grande partie par les employeurs qui souhaitent se séparer d’un salarié sans le foutre dans la merde et en évitant les prud’hommes"
(…)
« Réforme » plutôt que « suppression »
"Retour au 12 février 2024. Publié une première fois en évoquant l’idée d’une « suppression pure et simple » de la rupture conventionnelle, l’article de Marianne a été modifié le lendemain pour évoquer « une réforme » pour en limiter le recours.
Sur X, le journaliste de Libération Frantz Durupt avait été l’un des premiers à signaler cette « surinterprétation d’un off de Matignon paru dans La Tribune l’automne dernier qui évoquait une ’réforme’ de la rupture conventionnelle ». Mais il était déjà trop tard et l’information bien que modifiée par Marianne -qui précise d’ailleurs cette correction en fin d’article- avait déjà creusé son sillon sur les réseaux sociaux.
Notamment reprise par le compte X Brèves de presse, suivi par plus de 300 000 personnes, l’information s’est répandue comme une trainée de poudre, provoquant des réactions outrées en ligne."
Depuis, une « note » de précision a également été ajoutée sous la publication de Brèves de presse pour évoquer la modification de l’article de l’hebdomadaire.
Toutefois, force est de constater que cette idée ne vient pas de nulle part, puisque c’est Élisabeth Borne et son ministre du Travail de l’époque qui s’étaient penchés sur cette idée. L’utilisation de l’expression « fausse information », comme l’a fait Catherine Vautrin dans son tweet, semble donc véridique concernant l’idée d’une suppression.
Reste à savoir si l’idée d’une réforme est toujours à l’ordre du jour rue de Grenelle. La ministre ne s’étant malheureusement exprimée que sur la rumeur d’une suppression, pas sur son éventuelle réforme."
https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/suppression-de-la-rupture-conventionnelle-la-ministre-catherine-vautrin-evoque-une-fausse-information_229816.html
ATTAL ET KASBARIAN, LE COUTEAU ENTRE LES DENTS...
"Gabriel Attal a assuré, mercredi 14 février, vouloir "aller chercher tous les logements possibles avec les dents", avec l'objectif que le "choc d'offre" annoncé par l'exécutif produise "des résultats tangibles dans les trois ans qui viennent."
"J'ai décrété l'urgence pour le logement en France (…) On va se battre centimètre par centimètre, mètre carré par mètre carré, pour aller chercher du logement pour les Français. On va aller chercher tous les logements possibles avec les dents", a déclaré le Premier ministre lors d'une visite de chantier à Villejuif (Val-de-Marne).
"L'objectif, c'est de garantir des résultats concrets, tangibles dans les trois ans qui viennent", a poursuivi le chef du gouvernement, accompagné du ministre de la Transition écologique, Christophe Béchu, et du nouveau ministre délégué au Logement, Guillaume Kasbarian."
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https://www.francetvinfo.fr/politique/gabriel-attal/gabriel-attal-veut-aller-chercher-tous-les-logements-possibles-avec-les-dents_6365530.html
Sabrina et les tisanes de Cupidon
"Est-ce une victoire ou une défaite pour la majorité ? Ce 14 février, peu après 17 heures, l’Assemblée Nationale a adopté son projet de loi contre les dérives sectaires et son article 4, particulièrement controversé. Ce dernier vise à punir l’incitation à ne pas prendre ou arrêter un traitement. De fait, ce projet de loi contre les dérives sectaires est avant tout une réponse aux signalements de plus en plus nombreux de dérives dans le domaine de la santé, avec des pseudo-thérapeutes qui promettent guérison à leurs patients grâce à des jeunes ou autres tisanes, plutôt qu’avec les traitements recommandés. Sauf que, lundi 13 février en toute fin de soirée, coup de panique dans la majorité : une coalition LFI-LR-RN est parvenue à rayer le fameux article 4 du texte après des débats houleux, laissant des traces dans les rangs de Renaissance."
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https://www.marianne.net/politique/loi-contre-les-derives-sectaires-autopsie-du-fiasco-de-sabrina-agresti-roubache-et-du-gouvernement
L'EXÉCUTANT MONTE AU FRONT DU PRIVILÈGE !
Une formule qui s'essouffle
"Chaque semaine les députés de tous les groupes politiques interpellent, questionnent, réclament des comptes au gouvernement, sur des sujets d'actualité lors des "QAG" (questions au gouvernement). Elles donnent parfois lieu à des échanges très musclés. Jusqu’à cet hiver, cet échange durait deux heures, mais comme tout le monde finissait au fil des questions par déserter l'hémicycle, la présidence de l'assemblée a décidé de diviser la session en deux, avec une partie le mardi, une autre le mercredi. Dans l'entourage de la présidente de l'Assemblée nationale, on évoque l'idée de réserver la séance du mercredi à ces questions directes à Gabriel Attal, avec une durée de 45 minutes de questions-réponses avec le chef du gouvernement.
L'un des soutiens de Gabriel attal défend "une démarche plus respectueuse vis-à-vis des parlementaires" au moment où le malaise persiste d'après lui entre le gouvernement et le parlement, dans un contexte de majorité relative qui rend chaque loi explosive. Laisser le Premier ministre s'exposer de la sorte, c'est aussi lui permettre de s'imposer, lui que les oppositions qualifient depuis sa nomination de simple "exécutant" d'Emmanuel Macron.
La même idée avait déjà été proposée à Élisabeth Borne, qui avait refusé. Yaël Braun-Pivet doit en parler prochainement avec le chef du gouvernement pour mettre ce format en place. Son équipe souligne que c'est le Parlement qui propose, et non l'inverse. Dans un courrier, la présidente de l'Assemblée nationale explique avoir rappelé au Premier ministre que "sa présence ainsi que celle de l'ensemble des membres du gouvernement aux deux sessions étaient essentielles". Un comble pour Gabriel Attal qui envisage pourtant un moment privilégié avec les députés."
https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-brief-politique/info-franceinfo-gabriel-attal-envisage-un-nouveau-format-des-questions-au-gouvernement-ou-les-deputes-ne-s-adresseront-plus-qu-a-lui_6337957.html
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