mardi 16 février 2021

Gard : Une prison nommée désir

https://viaoccitanie.tv/gard-une-prison-nommee-desir/



3 commentaires:

Anonyme a dit…

Rivenq a toujours été partagé entre jouer de la flûte ou du pipeau. Là il opte pour un coup de traversière malgré sa proximité avec Castex, premier Ministre de son état.
Dont acte !

Anonyme a dit…

#Cévennes #Grève #Macron

LE PARC DES CÉVENNES FAIT LES FRAIS DES MENSONGES DE MACRON
Le Média



https://youtu.be/-CypxBLCBzY




Les agents du Parc national des Cévennes sont en colère. Ils font grève parce qu'une des leurs voit son poste supprimé alors qu'elle est toujours en fonction. Il s'agit d'une première dans les parcs nationaux de France. Alors que les réductions de postes s'effectuaient avec des mutations, des départs à la retraites non-remplacés ou des départs volontaires, un agent se voit désormais remercié malgré quinze années de service dans ces montagnes.

Pour le Syndicat National de l'Environnement - FSU, qui mobilise les salariés grévistes, c'est la goutte de trop. Et pour l'occasion, 70% des effectifs cévenols étaient en grève, un record.

Ces derniers dénoncent le double-discours d'Emmanuel Macron, le Président de la République, qui déclarait en début d'année, vouloir renforcer les aires protégées, et déployer une nouvelle stratégie nationale de protection de la biodiversité dans les territoires, avec pour objectif 30% d'espaces protégés, dont 10% sous protections fortes, comme les cœurs de parcs nationaux.
C'est pourtant à peine quelques semaines après ce discours au One Planet Summit, et la présentation de cette nouvelle stratégie, que de nouvelles réductions d'effectifs sont annoncées dans des parcs, et en particulier cette suppression de poste dans les Cévennes. Il y a là, selon le syndicat, une contradiction avec le discours du Président, et la réalité du terrain, car selon les agents, pour déployer une stratégie de protection et renforcer ces aires, il n'y a pas assez de personnel.

Le Parc des Cévennes, situé dans un environnement singulier avec une nature spécifique, en moyenne montagne, abrite une faune et une flore sensible, dont certaines espèces sont menacées. Des grands Causses au Mont Lozère, en passant par les vallées cévenoles et le Mont Aigoual, le patrimoine écologique du parc est caractérisé par une situation géographique et un climat exceptionnels, entre zone méditerranéenne et Massif Central, qui rendent d'autant plus urgent la protection de ce territoire riche et menacé.

Avec la suppression des effectifs du Parc, plusieurs missions de suivi écologiques sont menacées. Certaines espèces remarquables pourraient ne plus être suivies, ce qui pourrait entraîner leur disparition. C'est le cas par exemple de certains rapaces, comme le Circaète Jean-le-blanc ou de la chouette de Tengmalm. Et les programmes de réintroduction, comme celui du Gypaète barbu pourraient être interrompus.

Anonyme a dit…

Récupérer la valeur ajoutée au profit des agriculteurs

"Car dans un contexte économique difficile pour l'agriculture, c’est bien l’importance de l’investissement initial qui freine de nombreux projets, au bénéfice des grands groupes qui font ensuite peu de cas de l’activité agricole et du développement du territoire.

Pour éviter cette mainmise, les agriculteurs producteurs d’électricité photovoltaïque proposent de créer un fond d’investissement porté majoritairement par des agriculteurs mais également avec des collectivités et des particuliers riverains aux projets. « L’objectif est de détenir au minimum 34 % du capital du projet afin d’atteindre la minorité de blocage et exercer un réel pouvoir sur les projets », explique Pascal Chaussec.

« On vise 4,5 à 5 % de rentabilité. Ce fonds d'investissement permettra même de rentrer dans le capital de projets éoliens. La gouvernance serait aux mains des agriculteurs, mais ouverte aux EPCI (établissements publics de coopération intercommunale), développe-t-il. Les Régions seraient intéressées, car cela fixe la valeur ajoutée sur le territoire ».

La profession doit s’emparer du sujet

« Il faut que les agriculteurs jouent le jeu, si on loupe le train maintenant, face à l’offensive commerciale de grosses sociétés, on aura perdu la partie. Si on est très nombreux à produire, on pourra se regrouper pour vendre au plus offrant », prévient Pascal Chaussec.[...]"
(...)



https://www.terre-net.fr/actualite-agricole/politique-syndicalisme/article/energies-renouvelables-main-basse-sur-le-photovoltaique-agricole-205-176232.html