mardi 16 février 2021

Les noms des fraudeurs fiscaux bientôt publiés par Bercy ? - Capital.fr

https://www.capital.fr/votre-argent/les-noms-des-fraudeurs-fiscaux-bientot-publies-par-bercy-1394149



2 commentaires:

Anonyme a dit…

Si la "dissuasion" seule était efficace ça se saurait... Seuls les moins téméraires redeviennent scrupuleux et à minima vertueux. Les autres mieux conseillés s'engagent dans toutes les failles possibles !


"De surcroît, il ne faut pas oublier qu’actuellement toute décision de publication de l’administration pour les personnes morales est soumise à un avis conforme de la commission des infractions fiscales (CIF). Il en serait probablement de même pour les personnes physiques. Et les contribuables disposent d’un délai de 60 jours pour former un recours contre la décision. Dans ce cas, le nom du mis en cause est retiré du site internet de Bercy tant qu’une décision de justice définitive n’a pas été rendue. “L’arrêt de la CEDH fait réfléchir, commente la députée Cariou, car le faire savoir fait aussi partie de la dissuasion.” Mais il ne remplace pas le savoir-faire de l’administration, en matière de contrôle fiscal."

Anonyme a dit…

Les anniversaires qui se fêtent...
FRAUDE FISCALE ET RÉMUNÉRATIONS HORS SOL !


"Les patrons de la FNSEA sont-ils trop payés? Selon des révélations de Mediapart et alors que le Salon de l’Agriculture doit ouvrir ses portes le 22 février, les dirigeants du premier syndicat agricole de France sont au cœur de la polémique. En cause : leur rémunération. Selon le média en ligne, plusieurs sont en effet rémunérés 120.000 euros bruts par an. Ainsi le directeur général de la FNSEA, Clément Faurax, serait rémunéré 13.400 euros bruts par mois après une revalorisation de 22% décidée après son arrivée en avril 2019. C’est 3.300 euros de plus que le ministre de l’Agriculture actuel rémunéré 10.100 euros bruts par mois.

Plus généralement, lors de sa prise de poste, Clément Faurax a décidé une augmentation immédiate sur la plupart des postes de direction allant de 5 à 30%. Ainsi son remplaçant au poste de directeur général adjoint, Jean-Louis Chandelier, a quant à lui connu une hausse de 30% de son salaire touchant désormais 9.600 euros bruts alors que le directeur du département "économie et développement durable" touche 7.500 euros bruts chaque mois, après une augmentation de 11,5% de son salaire."


Lourds déficits

"Le cas le plus emblématique est celui de la directrice générale sortante, Catherine Lion. Restée conseillère à temps partiel jusqu’en septembre dernier, elle avait bénéficié d’un salaire de base de 8.900 euros et d’une prime mensuelle de 6.000 euros. À la retraite depuis octobre, elle cumule désormais sa pension avec un salaire à temps partiel pour un montant de 12.500 euros par mois. En trois jours de travail par semaine, l’ancienne responsable touche ainsi l’équivalent de la rémunération d’un exploitant agricole sur une année entière, précise Mediapart.

Des revenus qui ne feraient pas vraiment débat si la FNSEA n’enregistrait pas déjà un déficit important. Selon Mediapart, en novembre dernier, le syndicat enregistrait des pertes à hauteur de 1,5 million d’euros pour l’année 2019. Par ailleurs, l’organisme est en grande partie financé par les cotisations syndicales (6,3 millions d’euros) et les subventions publiques (4,2 millions d’euros)."
(...)


https://www.capital.fr/economie-politique/polemique-autour-de-folles-remunerations-de-dirigeants-de-la-fnsea-1362800




PROFITATION ET PLANTUREUX ÉMOLUMENTS

"L’enquête intitulée « À la FNSEA, le train de vie hors sol des dirigeants » a notamment révélé le salaire de son nouveau directeur général, Clément Faurax, s’élevant à «13 400 euros brut mensuels, soit 3 300 euros de plus que le ministre de l’Agriculture ». De manière générale, les postes de direction ont connu des augmentations de 5 à 30 %, selon les cas, depuis l’arrivée de la nouvelle direction en avril 2019.

Ainsi, le salaire du directeur adjoint a été rehaussé de 30 % pour atteindre 9 600 euros brut mensuels, tandis que le directeur du département « économie et développement durable » touche 7 500 euros brut (+11,5 %), et celui du département des affaires sociales gagne 7 400 euros brut (+14 %), affirme Mediapart.

Le média dénonce ainsi des niveaux de rémunération bien supérieurs à ce qui se pratique dans les autres syndicats. Pourtant, la FNSEA aurait fait état d’1,5 million d’euros de pertes pour l’année 2019.

Nos agriculteurs sans le sous apprécieront que leurs cotisations servent à verser de plantureux émoluments à quelques cadres dirigeants de ce syndicat."
(...)



https://insolentiae.com/la-profitation-sans-vergogne-de-nos-elites-qui-se-goinfrent/