samedi 26 décembre 2020

l'ex-ministre de la Santé, célèbre pour ses exploits pendant la canicule de 2003, a un plan


 Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Nous rentrons en dictature sanitaire." : 
Ça chauffe dans la cafetière...
Presque l'heure de la révolte

"Furax contre les antivax, Jean-François Mattei ! "On ne peut pas les laisser dicter des fausses vérités à tour de bras" enrage le président de l'Académie de médecine ("Le Parisien" 22/12). Qui siffle la fin de la récré. Face à cette vague complotiste qui menace la campagne de vaccination, l'ex-ministre de la Santé, célèbre pour ses exploits pendant la canicule de 2003, a un plan : "Dans quelques semaines, on va mettre en place un groupe de réflexion pour faire l'inventaire des ripostes possibles."
Et hop ! Un problème de réglé !"

Le Canard Enchaîné 23/12/2020

La polarisation du président de l'Académie de médecine alors ministre...
«Comment prévoir et imaginer des réponses face à ce que l'on n'avait pas envisagé», nous expliquait alors le professeur William Dab, chargé des questions de santé publique au cabinet de Jean-François Mattei, ministre de la Santé en 2003.
Les fortes températures avaient beau s'installer et cela pendant plusieurs semaines, nul ne s'en inquiétait d'un point de vue sanitaire. Oui il fait chaud, et alors? Le ministre était resté tranquillement en vacances dans sa maison du sud de la France. [...]"

(...)



 

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Avoir 'piscine' est un métier !
Mattei ou les tribulations d'un médecin-ministre-président...
Entre "égosillements" et "atermoiements" !



SRAS et canicule en 2003, légionellose en 2004… Avez-vous des satisfactions ou des regrets dans votre gestion des crises ?

"Je suis médecin, j'ai bien entendu des regrets sur la gestion de cette canicule qui a engendré tant de morts. À l’époque, on n'envisageait pas le climat, la température, comme un enjeu sanitaire et social. Quand la chaleur est arrivée, j'avais beau m'égosiller au téléphone pour obtenir des informations, les tutelles et administrations sanitaires ne me remontaient rien. La canicule était beaucoup plus sérieuse que le Covid-19 en termes de mortalité et pour autant, un seul hôpital avait déclenché son plan blanc. Me concernant, les commissions d'enquête parlementaire n'ont jamais relevé de faute de gestion médicale. Au final, on m'a surtout reproché un entretien télévisé.

J'ai aussi le souvenir d'avoir pris des mesures marquantes, je crois, contre le SRAS et la légionellose. Je pense aux hôpitaux de proximité, aux professions intermédiaires et à la délégation de compétences, au plan investissement 2007 pour l'hôpital. Après le SRAS, c'est grâce à ce plan qu'on a enfin fait porter l'effort sur la sécurisation des malades."



https://www.lequotidiendumedecin.fr/actus-medicales/politique-de-sante/jean-francois-mattei-tirer-les-lecons-pour-etre-armes-face-la-prochaine-epidemie

Anonyme a dit…

Vol au dessus d'un nid de COCUS...


https://www.lepoint.fr/politique/sortis-du-cadre-agnes-buzyn-paris-vaut-bien-une-demission-29-12-2020-2407363_20.php