Idem pour la "transition verte" à Montpellier... Un sacré budget pour des plantes en pot !
Des arbres trop petits ?
"Beaucoup de passants interrogés n'avaient toutefois pas remarqué ce changement. La petite taille des arbres à l'heure actuelle fait craindre à certains un manque d'ombre puisque, comme l'a souligné la municipalité lors de la première pose des arbres, il s'agit "d'une réponse intermédiaire au projet des arbres "de haut jet" qui sera examiné plus tard." Cette initiative, qui est une première action en ce qui concerne la végétalisation de la ville, passera sûrement moins inaperçu une fois que tous les arbres seront posés sur la place de la Comédie."
Le coût pose question
Le budget total de ce chantier est de 260 000€.
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https://www.midilibre.fr/2020/10/05/montpellier-les-arbres-de-la-comedie-font-reagir-les-habitants-9119110.php
3 commentaires:
Ça c'est la "transition flashy"...
Delafosse, après les plantes vertes va mettre des yeux au mobilier urbain !
"On n'arrête pas le progrès. Ni l'innovation pour réprimander les automobilistes qui ne respectent pas la Sécurité routière. Des mini urbains vont être testés à partir du mois de novembre dans les rues de Montpellier et sa métropole et de Montbéliard. Plusieurs dizaines de mini-radars tourelles seront installées."
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"Plus faciles à intégrer dans l'espace urbain, ces nouveaux radars seront installés sur des mâts ou seront accrochés à du mobilier urbain, explique Midi-Libre. Ces mouchards pourront contrôler la vitesse dans les deux de circulation et le franchissement interdit d'un feu rouge. Dans un second temps, ils seront aussi capables de relever les automobilistes en infraction pour le téléphone au volant, le non-port de la ceinture de sécurité et du casque ou le non-respect des sas de vélos."
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https://www.ladepeche.fr/2020/10/06/de-nouveaux-mini-radars-vont-bientot-etre-testes-en-occitanie-9120872.php
Ce barrage va alimenter 230 000 habitants. C'est la consommation de Grenoble et de Chambéry en énergie renouvelable.
"Daniel Perra, chef de chantier à franceinfo
Le barrage produit 40% d’électricité de plus que les vieilles installations, poursuit Yves Giraud, directeur d’EDF hydro. "Dans la transition énergétique, l'hydroélectricité est appelée à prendre une nouvelle place. Elle est pilotable, flexible et stockable. Vous pouvez avoir l'électricité quand vous en avez besoin. Au niveau d'EDF, ce sont 14 gigawatts qui sont mobilisables, cela représente l'équivalent de 14 réacteurs nucléaires."
Des projets au point mort
"Malgré ces qualités affichées, le développement de l’hydroélectricité en France est au point mort depuis 2015. Paris et Bruxelles s’opposent sur l’attribution des concessions hydroélectriques, presque toutes exploitées par EDF. L’Union européenne veut qu’elles soient ouvertes à la concurrence, en vertu d’une directive. "Cette situation a gelé tout développement de nouvelles capacités hydrauliques en France alors qu'il y a un potentiel inexploité important", regrette Jean-Bernard Lévy, le PDG d’EDF.
En attendant, les grands projets restent dans les cartons. D’autant que contrairement au solaire et à l’éolien, l’hydroélectricité ne bénéficie d’aucune aide ni dans le plan de relance, ni via des prix de vente garantis."
https://www.francetvinfo.fr/economie/energie/il-va-alimenter-230-000-habitants-edf-inaugure-le-plus-grand-barrage-hydroelectrique-de-france_4136219.html
#Police #LBD #LDH
MILITANTE DES DROITS DE L’HOMME HARCELÉE PAR LA POLICE
Le Média
https://youtu.be/p2m6GZGsxQ8
Observatrice des pratiques policières au sein de la Ligue des droits de l’homme à Montpellier, Camille Halut livre au Média un témoignage riche et révoltant sur la réalité des violences policières.
“L’un des premiers cas que j’ai observés, c’est celui d’Axel, c’est un manifestant, qui a 25 ans, et qui se trouve dans la rue de la Loge, parmi tous les autres manifestants, à Montpellier. Et en fait, il y a les policiers de la BAC de Montpellier qui tirent au LBD 40, qui font en fait, j’ai fait analyser la vidéo par un syndicaliste policier parisien, qui explique qu’en fait les policiers utilisent le LBD à ce moment là pour faire reculer la foule, ce qui n’est absolument pas le rôle du LBD 40”, raconte-t-elle.
Ces violences vont jusqu’à toucher les défenseuses et les défenseurs des droits de l’Homme, comme l’a douloureusement expérimenté Camille Halut : “J’étais en face de ce policier, qui m’a regardé dans les yeux, et qui m’a dit : madame, vous me donnez des coups, avec une voix très calme. Et j’ai compris qu’il était en train de construire une incrimination contre moi (...) Derrière il m’a accusée de dissimulation du visage, alors que j’avais mon masque là, et surtout de rébellion, il m’a accusée de lui avoir donné des coups avec mes mains, des coups avec mes pieds, que j’aurais essayé de m’enfuir, alors que c’était pas du tout le cas. Au moment de l’audience, ont été projetées les vidéos qui avaient été faites par des journalistes indépendantes autour de la scène, et en fait, ils ont montré que le policier s’était totalement mis en scène, et que, du coup j’ai été relaxée”, raconte-t-elle.
Tout comme elle raconte l’alliance entre des policiers et des magistrats, notamment lors des comparutions immédiates, qui aboutissent à des condamnations, à de la prison ferme, de citoyens dont le seul tort est d’avoir participé de manière tout à fait légitime à des manifestations publiques.
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