Bonjour,
le comité de défense de l'hopital public et de promotion de la santé dans le bassin alésien, basse Ardèche et basse Lozère poursuit sa mobilisation face au danger de l'évolution de la prise en charge de la santé et aux difficultés de fonctionement de l'hôpital préjudiciables pour la population du bassin, à une période où l'on célèbre les 75 ans de l'existence de la sécurité sociale ! De ce fait, nous rencontrerons les usagers ce samedi 10 octobre de 9h30 à 11h30 au marché de l'abbaye et de 10h à 12h le dimanche 11 octobre au marché des prés St jean pour échanger avec la population et les informer à l'aide d'un tract récapitulatif des differentes perspectives de changement. Nous vous invitons à être présents, sonder la population dans sa perception et réaction et être des rapporteurs fidèles de cet état de fait dans vos publications. Nous avons également informé les élus de la région et demandé une entrevue avec le directeur de l'ARS.
Comptant sur votre présence, merci de votre attention et de votre interêt à rendre compte de cette cause si capitale pour l'avenir de tous.
PS : A noter, débat sur la santé le 23/10 à 18h, à la salle polyvalente Nelson Mandéla à Cendras, à faire confirmer.
Pour le comité de défense
La secrétaire adjointe
Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
mardi 6 octobre 2020
info et sollicitation du comité de défense de l’ hôpital bassin d’Ales
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1 commentaire:
"Quoi qu'il en coûte" dixit Emmanuel Macron !
"CHANGER DE MÉTIER POUR VIVRE PLUS SEREINEMENT"
"Thomas Laurent, infirmier dans le service de post-urgences des Hospices Civils de Lyon, a pris la décision de rendre la blouse il y a peu. 16 ans qu'il bosse entre les murs de l'hôpital public, "par conviction", précise-t-il derrière l'écran de son ordinateur. Aux côtés d'une petite dizaine de soignants, il s'est exprimé lors d'une conférence de presse organisée par le CIH ce mardi 6 octobre, via l'outil de réunion en ligne Zoom. Dans quelques jours, le trentenaire quittera l'hôpital public. "Dégoût" et "épuisement", pourrait résumer les causes de son départ. "J’ai constaté la maltraitance institutionnelle envers les patients dont nous faisions preuve bien malgré nous. Le plus souvent dû au manque de tout", esquisse-t-il, lassé de répéter l’ensemble des besoins à l’hôpital.
"Néanmoins, l'infirmier dit avoir espéré des jours meilleurs pour l'institution après le Covid. "Lors de la première vague, les pouvoirs publics ont dit avoir pris conscience du problème et promis d’y répondre 'quoi qu’il en coûte'", dit-il, reprenant les mots d'Emmanuel Macron lors de son discours du 13 mars. Désillusion. A l'été, l'austérité avait fait son grand retour. "Le manque de lit et de personnel s'est fait encore plus criant qu'avant. Je me suis retrouvé à travailler un jour sur deux en sous effectifs, avec l’impossibilité de transférer les patients dans les services adaptés, faute de lits et de fait, de personnels", raconte le lyonnais. Et d'ajouter, presque laconique: "Tout cela couplé à l’absence de réponse forte du gouvernement à l’issue du Ségur de la santé, ça a été trop pour moi. Je n’ai pas pu me résoudre à travailler encore longtemps dans ces conditions et comme beaucoup de mes collègues avant moi, et sûrement bien d’autres qui viendront ensuite, j’ai choisi de changer de métier pour vivre plus sereinement"."
(...)
https://www.marianne.net/surmenes-peu-consideres-et-desabuses-de-nombreux-soignants-quittent-lhopital-public
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