Réunissons 4,4 millions de pétitionnaires pour mettre les parlementaires au pied du mur.
https://youtu.be/pseT_y4ok8o
Intervention d'Ugo BERNALICIS lors du colloque «Face à la crise démocratique : quelle révolution constitutionnelle?», organisée par le groupe communiste (CRCE) au Sénat et à l'Assemblée Nationale (GDR) le lundi 5 mars 2018. Ugo BERNALICIS revient sur le référendum d'initiative populaire. Il convient de renverser la logique: il ne faut pas attendre d'avoir 185 députés, mais réunir les 4,4 millions de pétitionnaires pour mettre les parlementaires au pied du mur.
Quel audacieux réformateur, quel talent de l'antipalementarisme a écrit ces lignes, propres à hérisser un Gérard Larcher, un Bruno Retailleau ou un Christian Jacob? «Je proposerais en même temps aux Français une réduction du nombre de leurs parlementaires. Le nombre des députés serait réduit de 577 à environ 400, et celui des sénateurs de 343 à environ 200. Je veux des parlementaires moins nombreux.» Et non, ce n'est pas Emmanuel Macron, comme ce «en même temps» pourrait le laisser penser, mais un certain François Fillon, dans son ouvrage programmatique «Faire» publié en 2015 par Albin Michel. À l'époque, Larcher et Retailleau, qui soutenaient le mari de Pénélope, depuis le début de la primaire, n'avaient pas protesté. Un moment de distraction, sans doute... Le Canard Enchaîné, 7/03.
Heureusement que la «sortie de route» du candidat s'est produite entretemps. Ce qui nous a évité beaucoup de drames dans les chaumières parlementaires!
3 commentaires:
Pourquoi 1/3, plutôt 2/3. Ils nous pondrons ainsi moins de lois scélérates.
Réunissons 4,4 millions de pétitionnaires pour mettre les parlementaires au pied du mur.
https://youtu.be/pseT_y4ok8o
Intervention d'Ugo BERNALICIS lors du colloque «Face à la crise démocratique : quelle révolution constitutionnelle?», organisée par le groupe communiste (CRCE) au Sénat et à l'Assemblée Nationale (GDR) le lundi 5 mars 2018.
Ugo BERNALICIS revient sur le référendum d'initiative populaire. Il convient de renverser la logique: il ne faut pas attendre d'avoir 185 députés, mais réunir les 4,4 millions de pétitionnaires pour mettre les parlementaires au pied du mur.
Les girouettes du Sénat.
Quel audacieux réformateur, quel talent de l'antipalementarisme a écrit ces lignes, propres à hérisser un Gérard Larcher, un Bruno Retailleau ou un Christian Jacob?
«Je proposerais en même temps aux Français une réduction du nombre de leurs parlementaires. Le nombre des députés serait réduit de 577 à environ 400, et celui des sénateurs de 343 à environ 200. Je veux des parlementaires moins nombreux.»
Et non, ce n'est pas Emmanuel Macron, comme ce «en même temps» pourrait le laisser penser, mais un certain François Fillon, dans son ouvrage programmatique «Faire» publié en 2015 par Albin Michel.
À l'époque, Larcher et Retailleau, qui soutenaient le mari de Pénélope, depuis le début de la primaire, n'avaient pas protesté.
Un moment de distraction, sans doute...
Le Canard Enchaîné, 7/03.
Heureusement que la «sortie de route» du candidat s'est produite entretemps. Ce qui nous a évité beaucoup de drames dans les chaumières parlementaires!
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