dimanche 25 octobre 2015

Non, les employés de l’abattoir d’Alès ne sont pas responsables de ces crimes | Végans de tous les pays, unissez-vous !

https://mouvementvegan.wordpress.com/2015/10/24/non-les-employes-de-labattoir-dales-ne-sont-pas-responsables-de-ces-crimes/

Note du reboussier
ENCORE UN AUTRE AYATOLLAH QUI SAIT COMMENT VOUS DEVEZ VIVRE !
Si on les écoutait tous , la vie ne serait que remplie d' interdits

12 commentaires:

Anonyme a dit…

Toute vie animale étant sacrée, j'ai pris aujourd'hui la décision irrévocable de conserver mon ténia, en lui procurant une vie confortable et douillette ...

Anonyme a dit…

Ho, Réb. , t'es en train de faire caca et ta femme t'as enfermé dans les toilettes, t'es en garde à vue à cause de ton blog subversif et irrespectueux, t'as trop picolé hier soir et tu trouves plus le clavier de ton ordi. , ou tu boudes parce qu'on dit pas assez qu'on se régale à lire tes sujets et les commentaires ?

Anonyme a dit…

Mais non bien sûr ! Un employé n'est pas responsable de ses actes, c'est son patron, pas vrai ? Et même encore ? C'est la société dans son ensemble ! Donc tous responsables...et pas de coupable ! D'où la nécessité de faire des lois répressives pour tous...l'interdiction pour tous... jusqu'à la prochaine.

Anonyme a dit…

Un employé qui maltraite cruellement un animal avant de le tuer, qui le fait souffrir inutilement car l'animal n'est a priori pas d'accord, ne serait pas responsable de "ses" actes ? Ah bon ?

Anonyme a dit…

Etre capable de commettre de tels actes barbares, même sous des "ordres", c'est être une épave de la société !!!

Anonyme a dit…

Et en plus ce n'est pas des ordres ! Tout au plus il-y-a laxisme et indifférence des dirigeants uniquement préoccupés de rentabilité ! Donc chacun petit ou grand, devrait être jugé sur ses actes, ce qui n'exclut pas de désigner et punir les responsables hiérarchiques également.

Anonyme a dit…

Selon l'Organisation Mondiale de la Santé, la consommation de viande rouge est « probablement cancérogène ».

Les produits carnés « transformés » le seraient eux à coup sûr.

Il s’agit du jambon, de la charcuterie, des saucisses ou des viandes en conserve.

L’étude du Centre international de recherche sur le cancer, agence de l’OMS , porte sur 800 études, examinées par 22 experts de 10 pays.

Elle confirme les recommandations de santé publique actuelles appelant à limiter la consommation de viande. Donc vive le jardinage!!


Anonyme a dit…
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Anonyme a dit…

Vois tu cher ami chez nous du côté d' ANDUZE
On nous dit sérieusement de ne pas manger les légumes de notre jardin car il sont pollue par les mines
Cadmium arsenic plomb etc...
On est mal on est mal

Anonyme a dit…

Le productivisme sans conscience a conduit à cet état de faits. Maintenant il faudrait réparer les errements du passé, mais pour cela il faut beaucoup d'argent et de volonté politique. On manque d'argent et surtout de la deuxième condition.

Anonyme a dit…
Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
Anonyme a dit…


AFP 16 h 2015/10/28
Des sénateurs ont demandé aujourd'hui la création d'une commission d'enquête sur les conditions d'abattage des animaux de boucherie, après la diffusion d'une vidéo montrant des mauvais traitements dans l'abattoir d'Alès (Gard).

Ces sénateurs - UDI-UC, Les Républicains (LR), mais aussi RDSE (à majorité PRG) et écologistes - ont déposé une proposition de résolution en vue de la création de cette commission, qui devra être examinée en séance. «Les vidéos tournées dans l'abattoir d'Alès, particulièrement insoutenables, mettent en lumière les pratiques d'abattage ayant cours dans certains abattoirs», a déclaré Sylvie Goy-Chavant (UDI-UC), à l'origine de cette initiative.

« Outre les questions liées au respect du bien-être animal et celles qui concernent la sécurité alimentaire, ces pratiques risquent de porter un coup fatal à toute une filière déjà durement touchée par la concurrence internationale et les scandales à répétition », a poursuivi l'élue de l'Ain.

Selon elle, une commission d'enquête parlementaire qui pourra aller voir ce qui se passe à l'intérieur des abattoirs permettra d'apporter éclaircissements et propositions pour garantir le respect des règles élémentaires en matière d'hygiène, de sécurité alimentaire et de bien-être animal.