Mesdames et messieurs les conseillers municipaux d’Anduze, vous vous êtes prononcés pour la mise à l’écart des vôtres , dont le seul tort, vous le savez bien, a été de rester fidèles à leurs engagements électoraux ; engagements que vous avez pour la plupart, partagés avec eux il n’y a pas si longtemps.
Vous vous êtes prononcés en votre âme et conscience pour que Bernard Vierne et Jean-Paul Mazen ne puissent plus continuer à œuvrer pour Anduze et pour la 2C2A. Si la Loi permet à un maire de bâillonner son opposition par simple retrait de délégation, c’est vous qui avaient été souverains pour le choix des délégués.
Si vous êtes sûrs de toujours être d’accord avec ceux qui nous gouvernent, quels qu’ils soient et quoiqu’ils fassent, ce message n’est pas pour vous :
«Quand ils sont venus chercher les communistes, Je n’ai rien dit, je n’étais pas communiste. Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, Je n’ai rien dit, je n’étais pas syndicaliste. Quand ils sont venus chercher les juifs, Je n’ai pas protesté, Je n’étais pas juif. Quand ils sont venus chercher les catholiques, Je n’ai pas protesté, Je n’étais pas catholique. Puis ils sont venus me chercher Et il ne restait personne pour protester.»
Texte de Martin Niemöller, pasteur protestant, arrêté en 1937 et envoyé au camp de concentration de Sachsenhausen puis transféré en 1941 au camp de concentration de Dachau
Le Réboussier contrelinjustice
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9 commentaires:
RÉSISTONS !
Pour tenter de comprendre le comportement (car on ne peut pas parler de stratégie politique) de notre Maire, j'ai décidé de relire la société de cour de Norbert ELIAS.
En résumé : Selon Norbert Elias, Aristocratie (quelques Anduziens) et domination du roi (notre Maire) sont des maillons d’une même chaîne.
Cour (équipe municipale) = Noyau du système de domination par l’intermédiaire duquel il règne sur tout le royaume (Anduze).
Monopole du pouvoir : « Le roi a pris la place de l’Etat, le roi est tout, l’Etat n’est plus rien. »
C'est tellement contemporain..
mais en 1789 ...
Texte superbe ! Merci de nous le rappeler. Même s'ils veulent nous faire taire, ils n'y parviendront pas ; même s'ils veulent nous écraser, ils ne nous soumettrons pas ! Jusqu'où iront-ils ?
Tout ça c'est très bien mais quelque peu grandiloquent ! Croyez-vous qu'ils méritent autant de gloriole ? Autant d'erreurs en si peu de temps, c'est bien pitoyable et risible ! Sortons du bocal anduzien, vous verrez que l'air y est plus frais. Je parlerais plutôt d'une bande de rigolos largement dépassés par la mission qu'on leur a confié. Il n'en reste que 7 ou 8 qui apparemment sont à l'écoute des électeurs mais malheureusement muselés par un ou deux sectaires incompétents meneurs de la "mouvance molle" qui fait trop souvent les majorités municipales.
Une fois de plus le maire et ses thuriféraires (tiens je l'ai placé ?) ébranlent la 2C2A. C'est pas possible, que cache cette frénésie d'aller à tout prix au Grand Alès pour le maire ? Il y a de quoi s'interroger ? C'est louche.
Quand ils nous disaient "Ouvrons la porte des Cévennes" on aurait dû se méfier (Bernard Vierne aussi), c'était pour faire entrer Roustan.
Tiens je n'ai toujours pas vu Roustan sur le Plan de Brie ?
Pas depuis la "réunion pleinière" de conseil municipal, à la fin de juin, mais son directeur de cabinet y est venu, lui.
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