Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
mercredi 1 avril 2009
Une rumeur grandissante à l’Office du Tourisme Intercommunal d’Anduze
On s’interroge sur le Plan de Brie ?
Depuis deux jours les portes de l’Office du Tourisme Intercommunal sont closes ?
les conversations vont bon train, il semblerait que quelques jours à peine après une AG qui s’est déroulée dans un calme et une sérénité inhabituelle pour l’OTI anduzien, le bureau en instance de renouvellement aurait programmé un voyage d’étude exceptionnel de 15 jours en Polynésie. C’est en tout cas ce qu’affirment deux anciens administrateurs bien informés.
Il est vrai que l’OTI qui s’est vu attribué une dotation supplémentaire de 40 000 € pour 2009 par la Communauté des Communes Autour d’Anduze, a aujourd’hui les moyens de ses ambitions.
Président, vice-présidents, trésorier et secrétaire, leurs adjoints et adjointes, auraient décollé de Montpellier vers Papeete sur le vol Air France AF2025.
Un voyage d’étude aussi dispendieux était-il bien nécessaire ?
C’est bien sûr, l’interrogation de Bernard Vierne le président de la communauté des communes et de la présidente de la commission Tourisme, Francine Rieu, avec qui les objectifs de promotion du territoire communautaire autour d'Anduze en Polynésie, ne semblent pas avoir été encore discutés.
Le Maire d’Anduze, Bonifaccio Iglesias, joint par téléphone a déclaré ne pas avoir été informé de ce voyage mais il serait question que cette démarche pour le moins originale, puisse faciliter la création d'une amicale polynésienne à Anduze, avec pourquoi pas le jumelage Anduze – Taapuna à quelques kilomètres au sud de Tahiti.
Le président Daniel Monin et son équipe sont attendus avec impatience par les élus de la Porte des Cévennes.
Aux terrasses du Plan de Brie, c’est l’incertitude pour certains ou l’indignation pour d’autres. L’indifférence n’étant pas dans la nature des cévenols, ça discute ferme dans les cafés.
Même si le soleil, le gardon et les montagnes cévenoles n’ont pas grand-chose à envier aux plages et aux palmiers de Tahiti, n’y avait-il pas mieux à faire après un renouvellement des administrateurs et un nouveau budget prometteur pour les actions à venir, que d’aller étudier si vite et à grand frais les us et coutumes polynésiennes ?
L.C.
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