Pour l'égalité, la justice sociale et la solidarité, appel à une marée populaire le samedi 26 mai
Un constat s'impose, Emmanuel Macron, son gouvernement et le Medef sont décidés à imposer coûte que coûte une restructuration en profondeur de la société française : politique d'austérité, destruction des droits des salarié.es, introduction de la sélection à l'entrée de l'université, casse des services publics, aggravation du sort des sans emplois, réorganisation aggravant les inégalités en matière d'accès à la justice, réforme fiscale favorable aux plus riches, loi répressive contre les migrant.es, priorité donnée au secret des affaires contre le droit à l'information, introduction de l'état d'urgence dans le droit commun, répression des mouvements sociaux et des jeunes des quartiers populaires, utilisation de l'égalité femmes-hommes comme simple outil de communication, sans moyens financiers, alors que les femmes sont les premières concernées par les régressions sociales… sans oublier une politique militariste au niveau international. La multiplication des mesures prises avec brutalité sur tous les fronts a un objectif, celui de créer un effet de sidération et espérer ainsi empêcher toute riposte. Le patronat profite de la situation pour multiplier les restructurations et rester sourd aux revendications du monde du travail. En s'en prenant aux personnels à statut, en particulier aux cheminot.es, Emmanuel Macron espère, s'il l'emporte, casser tout esprit de résistance.
Ce coup de force peut échouer, car les mobilisations se multiplient dans le pays, chacune avec sa spécificité : journée nationale d'action, grèves, occupation d'universités, manifestations… Il appartient évidemment aux organisations syndicales de décider, avec les personnels concernés, de leurs formes d'action. Chacune d'entre elles a, a priori, des ressorts différents, mais au-delà de tel ou tel aspect, ce dont il est question concerne la nature même de la société dans laquelle nous voulons vivre. Voulons-nous vivre dans une société où les droits sociaux seraient réduits à néant, où les services publics et la sécurité sociale auraient disparu, où l'inégalité de traitement des territoires serait la règle, où l'accès à l'université serait de plus en plus réduit, où les lanceuses et lanceurs d'alerte et journalistes seraient bâillonnés, où les défis écologiques seraient soumis aux intérêts de la finance, où le logement, les HLM et les locataires seraient marchandises, où la lutte contre les discriminations se réduit à des discours ? Ou, au contraire, voulons-nous une société plus juste, plus solidaire, plus démocratique, plus égalitaire avec un meilleur partage des richesses ? Tel est l'enjeu.
Le gouvernement espère que ces mobilisations sectorielles restent isolées et qu'il pourra les défaire les unes après les autres en tenant bon, en les laissant s'épuiser ou en les réprimant. Affichant sa détermination, il espère ainsi nous décourager. Il se trompe, comme le montre la multiplication des collectifs citoyens en lien avec les salarié.es, les retraité.es et les étudiant.es ainsi que le succès de la solidarité aux grévistes, notamment à ceux de la SNCF. Il s'agit maintenant d'aller plus loin et, toutes et tous ensemble, d'affirmer dans la rue que des alternatives existent, que nous ne nous résignons pas au sort que nous promet ce gouvernement. Il fait la sourde oreille, il faut le forcer à nous entendre et à retirer ses projets.
Dans le respect de nos champs d'interventions respectifs, nous voulons aller au-delà de toutes les mobilisations positives qui existent déjà et rassembler toutes les forces sociales, syndicales, associatives, politiques pour construire et réussir ensemble un grand rendez-vous citoyen. Partout en France organisons le samedi 26 mai une marée populaire pour l'égalité, la justice sociale et la solidarité.
En pj, déclaration du Comité exécutif national PCF : Le PCF s'engage pour réussir, le 26 mai, partout en France, face à Macron, une marée populaire pour l'égalité, la justice sociale et la solidarité
Les signataires de l'appel commun :
Alternative et autogestion
Alternative Libertaire
APEIS
ATTAC
Climat social
Collectif des Associations Citoyennes
Collectif National pour les Droits des Femmes
Collectif La Fête à Macron
Confédération Générale du Travail
Coordination nationale de défense des hôpitaux et maternités de proximité
Convergence nationale de défense des services publics
DIDF
DIEM25
Droit au Logement
Ecologie sociale
Europe Ecologie Les Verts
Les Effronté.es
Ensemble !
Femmes Egalité
Fondation Copernic
France Insoumise
Gauche Démocratique et Sociale
Génération.s
MJCF
Mouvement Ecolo
Mouvement National des Chômeurs et Précaires
Nouvelle Donne
Nouveau Parti Anticapitaliste
Parti Communiste Français
Parti de Gauche
Parti Ouvrier Indépendant Démocratique
PCOF
PCRF
République et Socialisme
Résistance Sociale
Snesup-FSU
Solidaires
Syndicat des Avocats de France
Syndicat de la Magistrature
UEC
UNEF
Union Nationale Lycéenne
Parti Communiste FrançaisSection d'Alès
Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
jeudi 17 mai 2018
Fwd: Pour l’égalité, la justice sociale et la solidarité, appel à une marée populaire le samedi 26 mai
Reconnaissance du caractère de calamité agricole aux dommages subis par les agriculteurs du Gard - Tornac - Site officiel de la commune - Version Mobile
Carrière André
Carrière André
Rapport BRGM / Conclusions
Au cours du contrôle de terrain, des minéralisations ferrifères liées à des plans de faille ont été
mises en évidence sur la bordure ouest de la carrière, à proximité du point de prélèvement
géochimique ayant montré des valeurs élevées en As. Celles-ci sont clairement liées à des
circulations de fluide le long des failles et pourraient constituer la source de l'arsenic révélée en
analyse ponctuelle de sol. Le caractère très ponctuel de ces minéralisations peut expliquer
l'absence de teneur significative dans les échantillons de roches analysées issues de carottage à 1
m.
5. Recommandations
Afin de valider l'hypothèse de la présence d'arsenic dans les minéralisations ferrifères de l'ouest
de la carrière, des analyses géochimiques de celles-ci doivent être réalisées.
Une cartographie précise de la zone concernée doit aussi être mise en oeuvre.
Une campagne de mesures in situ (fluorescence X portable avec analyses de calibration au
laboratoire) permettrait de répondre rapidement à ces deux points.
http://www.gard.gouv.fr/Politiques-publiques/Environnement/Installations-Classees-pour-la-Protection-de-l-Environnement-ICPE/Classement-des-ICPE-par-communes-regimes-autorisation-et-enregistrement/Tornac/Andre-TP
Association Causses-Cévennes d'action citoyenne
Avenue du Devois, Le Devois, Saint Sauveur Camprieu, 30750, tel 0467826111.
Site internet : http://www.adhca.com, Email: adhca@live.fr
Notre dossier sur ce sujet
http://www.accac.eu/L_environnement/Carrieres/La-carriere-Andre.htm
Les voitures radar privées pourraient être illégales
Notre-Dame-des-Landes : les zadistes les plus radicaux concernés par une expulsion en cours
mercredi 16 mai 2018
Taxe d’habitation : département par département, la proportion de foyers exonérés en 2020
Taxe d'habitation : département par département, la proportion de foyers exonérés en 2020
Fiscalité locale 15/05/2018 par Aurélien Hélias © Flickr-CC-ImagesMoneySi 80 % des foyers bénéficiaires de la suppression de la taxe d'habitation ne la paieront plus en 2020, les disparités entre départements sont importantes : de 56 % seulement de foyers de contribuables non redevables à Paris à 88 % dans la Creuse, selon les calculs effectués par la Banque postale Collectivités locales dans sa note de conjoncture sur les finances locales dévoilée le 15 mai.
On le sait depuis plusieurs mois maintenant et l'adoption définitive de la loi de finances pour 2018 adoptée fin décembre: 80 % des foyers seront exemptés de taxe d'habitation d'ici 2020. Un engagement encore repris le 9 mai dernier par Matignon à la réception du rapport Richard-Bur sur la refonte de la fiscalité locale, Edouard Philippe précisant même avoir en ligne de mire 2021 pour la suppression totale de la TH.
Dici là, c'est une suppression partielle et progressive qui doit s'appliquer sur les trois années à venir : les foyers concernés s'acquitteront de 70 % de la TH en 2018, 35 % en 2019, avant de ne plus rien payer en 2020. Or, les foyers concernés « sont ceux dont le revenu fiscal de référence est inférieur ou égal à 27 000 euros pour une personne célibataire, 43 000 euro pour un couple, auxquels s'ajoutent 6 000 euros par demi-part supplémentaire », rappelle La banque Postale collectivités locales dans une note de conjoncture présentée le 15 mai.
Plus de 80 % de foyers bénéficiaires dans 18 départements
Ce qui implique de facto de fortes disparités territoriales liées aux disparités géographiques de revenus. Ainsi, on compte pas moins de 18 départements où le pourcentage de foyers exemptés de TH culmine entre 86 et 89 %. Pour l'essentiel, il s'agit de départements ruraux, situés dans ce que l'on appelle encore parfois la « Diagonale du vide » : Ardennes, Vosges, Haute-Marne, Haute-Saône, Nièvre, Allier, Creuse Indre, Cantal, Haute-Loire, Dordogne, Lot-et-Garonne, Tarn-et-Garonne, Ariège et Aude. Une liste à laquelle il faut ajouter le Pas-de-Calais, l'Orne, et la Mayenne.
A l'autre bout de la chaine, une douzaine de départements où « seulement » 56 % à 75% des foyers seront exonérés de la TH :
- Paris et les départements de la région Ile-de-France (à l'exception notable de la Seine-Saint-Denis),
- trois départements rhônalpins (Rhône, Ain et Haute-Savoie),
- le Haut-Rhin,
- et la Haute-Garonne.
© La Banque Postale Collectivités locales Pourcentage de foyers non redevables de la Taxe d'habitation à partir de 2020 par département
Au total, ce sont 29 départements qui voient la proportion de leurs foyers bientôt non redevables à la TH inférieure à la moyenne nationale des 80%, soit près d'un tiers des départements.
Des foyers hier déjà exonérés
« Ce poids comprend les contribuables qui étaient déjà exonérés de TH avant la réforme en vertu d'autres dispositifs. Ainsi, les départements affichant les pourcentages les plus importants sont souvent ceux qui avaient déjà avant la réforme un nombre important de foyers exonérés », souligne La Banque Postale. Et l'établissement bancaire de préciser qu au titre de « ce nouveau dégrèvement, ce sont entre 35 % et 70% de foyers qui sont exonérés, avec une moyenne à 60% ».
AÉROPORT Les comptes insincères du syndicat mixte ? - Objectif Gard
AÉROPORT Les comptes insincères du syndicat mixte ?
Nîmes métropole a publié une synthèse de l'audit « pas très réjouissant », selon son président, des comptes du syndicat mixte de l'aéroport Nîmes-Garons.
Lundi, en amont du conseil communautaire, le président de Nîmes métropole, Yvan Lachaud, a délivré « la synthèse de l'audit (*) » sur la gestion du syndicat de l'aéroport. Il y a quelques semaines, le Centriste a tardivement trouvé le moyen juridique de prendre la main sur la gestion de l'équipement aéroportuaire, jusqu'alors présidé par son ex-allié politique, le maire de Nîmes, Jean-Paul Fournier.
« On a bien fait d'en récupérer la gestion, sinon nous serions dans la panade complète ! », commente Yvan Lachaud. D'après son analyse, confortée, dit-il, par celle du receveur public (**), les comptes ne sont « pas très florissants. »
Un passif de 6,4 M€
« Le syndicat est en cessation de paiement », avance Laurent Cotteret, directeur général des services de l'Agglo. Et d'illustrer : « fin mars il ne restait que 15 000€ dans les caisses. Ce qui ne permet de payer ni les dettes, ni le délégataire Edeis chargé de gérer l'aéroport. »
Concernant les dettes, le passif du syndicat s'élève à 6,4 M€. Ces créances sont constituées pour 3,8 M€ d'emprunts bancaires, d'1 M€ d'un prêt consenti à Nîmes métropole en 2011 ou encore de 822 000€ de retard de paiement au délégataire. Concernant ce dossier, Yvan Lachaud va plus loin. Le chef de l'exécutif départemental parle « d'insincérité budgétaire » en pointant l'absence d'écritures d'amortissement au cours des exercices 2016 et 2017 ; soit 250 000€. Éclipsée aussi d'autres comptes concernant cette fois « la charge correspondant à la mise à disposition de personnel par Nîmes métropole pour 2017 ; soit 90 000€. »
La Chambre régionale des comptes saisie
Lundi soir les élus communautaires ont créé un budget (Service public industriel et commercial) mis à disposition de la gestion de l'aéroport. Mise de départ : 1,4 M€. « La priorité sera de payer notre délégataire », indique Nîmes métropole. L'Agglo espère aussi récupérer « 295 000 € de subventions accordées et toujours pas encaissées. »
Pour le reste, « j'ai demandé à la Chambre régionale des comptes de nous conseiller pour savoir comment liquider le syndicat », expose le patron de l'Agglo nîmoise. Une entreprise pour le moins délicate... Après avoir rencontré le président du Département, Denis Bouad, membre du syndicat, Yvan Lachaud doit s'entretenir avec celui d'Alès Agglomération, Max Roustan, maire d'Alès et ex- membre de la structure.
Pour repartir sur de nouvelles bases, les partenaires devront solder le passif et faire table rase du passé. Reste à savoir combien chaque partenaire sera prêt à mettre sur la table pour sortir de cette impasse.
Coralie Mollaret
coralie.mollaret@objectifgard.com
*L'audit a été réalisé en interne par les services de Nîmes métropole.
**Fonctionnaire d'État, le receveur public est chargé de vérifier les comptes des collectivités.
La CGT participera à la mobilisation du 26 mai aux côtés de la France insoumise
La CGT participera à la mobilisation du 26 mai aux côtés de la France insoumise
La CGT souligne, dans un communiqué mercredi, qu'il participera à la la journée d'action prévue par FI le 26 mai prochain.
La CGT "appelle à une large mobilisation, le samedi 26 mai", dans le cadre de la journée d'action organisée notamment par plusieurs organisations syndicales, associatives et politiques, dont la France insoumise, a annoncé mercredi la centrale syndicale dans un communiqué.
"Urgence sociale". La CGT, qui avait jusqu'à présent refusé de se joindre à des journées organisées par La France insoumise, explique son ralliement à cette "marée populaire" par "l'urgence sociale" et assure rester "fidèle à ses principes d'indépendance". "Il s'agit de rassembler la jeunesse, les retraités, les salariés en emploi et hors de l'emploi, les précaires ainsi que toutes celles et ceux qui, solidaires des luttes en cours, ne sont pas encore engagés dans l'action", explique le syndicat dans son communiqué. "Compte tenu de l'urgence sociale, la CGT a pris la décision de construire cet appel avec d'autres organisations syndicales, associatives et politiques dans le respect des périmètres d'intervention et des prérogatives de chacune des organisations. La CGT reste ainsi fidèle à ses principes d'indépendance tout en favorisant l'expression du plus grand nombre de citoyens", ajoute-t-elle.
D'autres syndicats. Réunies le 3 mai à la Bourse du travail à Paris à l'initiative de l'association Attac, plusieurs organisations syndicales, politiques et associatives s'étaient mises d'accord sur le principe d'une manifestation le 26 mai pour l'égalité, la justice sociale et la solidarité. Parmi elles, La France Insoumise, Solidaires, le Snesup FSU, le Syndicat de la magistrature, la Fondation Copernic, Femmes Égalité ou le NPA. Mardi, une source interne à la CGT, confirmant une information du Parisien, avait indiqué à l'AFP qu'une majorité d'organisations CGT avait approuvé la participation du syndicat à cette mobilisation, dans le cadre d'une consultation interne lancée début mai. Selon cette source, "78 organisations CGT ont donné leur aval, six se sont abstenues et six ont voté contre"
Nicolas Hulot annonce qu'il décidera cet été s'il reste au gouvernement
Nicolas Hulot annonce qu'il décidera cet été s'il reste au gouvernement
Invité de BFMTV, le ministre de la Transition écologique et solidaire annonce qu'il "aura un moment de vérité" cet été avec le Premier ministre.
Marlène Schiappa indignée par la "misogynie crasse" du député LR Fabien di Filippo
Marlène Schiappa indignée par la "misogynie crasse" du député LR Fabien di Filippo
La ministre a vu rouge après des allusions à sa vie sexuelle proférées par un député de l'opposition.
POLITIQUE - Le ton est singulièrement monté dans la nuit de mardi à mercredi à l'Assemblée nationale où les députés ont veillé jusque tard pour achever l'examen du projet de loi contre les violences sexuelles et sexistes porté par la ministre Marlène Schiappa. Comme cela était attendu, l'adoption de l'article 2, très décrié par certains députés de l'opposition et des associations, a concentré l'essentiel des attaques visant le gouvernement, accusé d'avoir renié sa parole en proposant une version allégée du texte.
Cet article précise dans le code pénal que, dans le cas d'un viol, "lorsque les faits sont commis sur un mineur de 15 ans", la contrainte ou la surprise pourront également être caractérisées par "l'abus de vulnérabilité de la victime ne disposant pas du discernement nécessaire pour consentir à ses actes". Une formulation qui entend "faciliter" les condamnations pour viols sur mineurs mais qui est loin de l'intention initiale d'instaurer une "présomption de non-consentement", qui impliquait que toute pénétration sur un mineur de moins de 15 ans était considérée comme un viol.
"Conception libertaire des rapports sexuels"
Dans une atmosphère déjà pesante, les discussions sur ce volet du texte ont conduit le député Les Républicains Fabien di Filippo à s'en prendre directement la ministre en charge de l'Egalité entre les hommes et les femmes. "Madame la ministre, ce qui est irresponsable et incompréhensible pour les Français, c'est que vous puissiez manquer à votre parole et faire passer votre conception libertaire des rapports sexuels, y compris entre mineurs et majeurs, avant la protection de nos enfants!", a déclaré au micro le parlementaire, dans ce qui ressemblait à une allusion au passé d'écrivaine de romans érotiques de la ministre.
Accueillis par une rumeur de désapprobation, ces propos ont fait bondir Marlène Schiappa qui s'est indignée que de telles allusions puissent être proférées. "Je demande une suspension de séance. M. le député Filippo n'a pas à m'insulter de la sorte ni à faire de suppositions qui sont totalement déplacées dans le cadre des débats qui démontrent une fois encore sa misogynie crasse et son ignorance profonde de ce qu'est la liberté des femmes", a-t-elle riposté, visiblement furieuse. Avant d'en rajouter une couche sur son compte Twitter.
Propos inqualifiables et hallucinants de M. Di Filippo à mon encontre qui fait référence à ma « vie sexuelle » pour justifier son argumentaire !
— MarleneSchiappa (@MarleneSchiappa)
Je demande une suspension de séance.
Merci @DimitriHoub17 et @RixainMP pour leur rappel au règlement. #directAN #sexisme
"Ces réactions n'ont pas lieu parce que vous êtes une femme et c'est une femme qui vous parle. Elles ont lieu parce que vous fustigez nos propositions; Et je crois que vous desservez la cause des femmes lorsque vous vous mettez dans un rôle de femme au lieu de vous mettre dans un rôle de ministre", lui a répondu la députée LR de Savoie Emilie Bonnivard, sous les encouragements de l'opposition de droite.
De son côté, le député de la France insoumise Alexis Corbière a tenté de radoucir l'ambiance des débats en relevant des propos "pas adaptés" de part et d'autre. "Qu'est-ce qu'une sexualité dite libertaire? Est-ce de porter des sous-vêtements rouges et noirs, peut-être?", a-t-il plaisanté avant de s'adresser à Marlène Schiappa. "Mme la ministre vous utilisez souvent dans la réplique la misogynie en toute occasion, en l'occurrence ce n'était pas adapté. Réactionnaire, conservateur, une sexualité triste sans aucune doute, mais certainement pas misogyne", a-t-il conclu sous les rires de l'Assemblée.
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mardi 15 mai 2018
EXCEPTIONNEL L'Aigoual sous la neige ! - Objectif Gard
EXCEPTIONNEL L'Aigoual sous la neige !
Le Mont-Aigoual est sous la neige depuis ce week-end. Selon les services de Météo France, ce sont 40 cm qui sont tombés dans le secteur. Une situation que l'on pourrait croire anormale et pourtant, le même phénomène s'était déjà produit en 2010.
Comme nous l'explique Stéphane Roos, délégué territorial de Météo France Gard-Lozère : "Nous sommes dans une phase de transition dans le changement climatique. C'est une situation assez curieuse car à cette période, on devrait avoir exactement le temps inverse. Mais une goutte froide venue par l'Allemagne, l'Autriche et la Suisse entraîne un temps très humide et des températures de 15 degrés inférieur au normal de saison."
Thomas Vidal, maire de Valleraugue est inquiet de son côté "pour la végétation dont malheureusement, nous prévoyons de gros dégats."
A suivre... Stéphane Roos est l'invité du 7h50 demain matin. Il nous en dira plus sur les prévisions météo des prochains jours dans le Gard et même quelques tendances pour cet été.
Pétition : Pour la défense du bois des Lens
Pour la défense du bois des Lens
Monsieur le Préfet du Gard
Le bois des Lens est un espace naturel encore très bien conservé de 8400 ha situé au nord de Sommières (Gard) et partagé par 19 communes limitrophes.
Actuellement, la mairie de Moulézan projette sur ce massif un parc éolien comprenant six machines. Or deux projets similaires, dont l'un déjà sur Moulézan, ont fait l'objet d'un refus de permis de construire par la préfecture du Gard en 2009, en raison du caractère très élevé du risque incendie sur cette zone. Les opérateurs éoliens ont fait appel de la décision préfectorale, mais ils ont dû renoncer à leur projet en raison d'une décision du Conseil d'État de décembre 2016 statuant que ces projets éoliens étaient de nature à augmenter le risque incendie dans un espace déjà très exposé au feu, et à mettre ainsi en péril la sécurité publique.
D'un point de vue environnemental, le bois des Lens est entièrement classé en ZNIEFF 2, est défini comme un important couloir écologique entre le Gardon et le Vidourle dans le dispositif de la Trame Verte et Bleue et il constitue un poumon vert entre les agglomérations de Nîmes et d'Alès.
Mais, malgré cela, ce nouveau projet éolien à Moulézan est mis à l'étude, ce qui est inacceptable, car :
— comme pour les projets précédents, écartés par la justice, le risque incendie sera fortement augmenté en raison de la création d'une zone d'exclusion aérienne d'un rayon de 600 m autour des éoliennes de très grande hauteur, ce qui rendra aléatoire l'intervention des avions ;
— le bois des Lens est un espace naturel d'un seul tenant et riche d'une grande biodiversité. Les éoliennes projetées vont introduire une rupture dans ce couloir écologique et constituer un risque de mortalité accru pour de nombreuses espèces d'oiseaux, particulièrement les rapaces, pour qui le bois des Lens est un territoire de nidification, de chasse ou de migration, mais aussi pour les chauves-souris, dont on a décompté 18 espèces sur ce massif, des animaux particulièrement mis en danger par les éoliennes. Il n'est pas justifiable de sacrifier le bois des Lens, sa biodiversité et ses qualités environnementales exceptionnelles pour un projet éolien.
— plusieurs villages, soit au total environ 15 000 personnes, sont devenus ces dernières années dépendants de forages faits sur ce massif karstique pour leur ressource en eau potable. La nappe phréatique est uniquement alimentée par les eaux d'infiltration qui dépendent de la couverture végétale. La présence des éoliennes introduirait un risque de pollution de la nappe, en conséquence d'éventuelles fuites d'huile ou de l'utilisation de détergents.
En m'associant au Collectif d'association pour la défense du bois des Lens, initiateur de cette pétition, et qui a agi en soutien de l'État pour l'annulation des deux permis éoliens évoqués plus haut, je vous demande, Monsieur le Préfet du Gard, que l'avis du Conseil d'État soit respecté afin d'assurer la sécurité des populations riveraines et que tout soit mis en œuvre pour maintenir le bon état environnemental du massif des Lens, qui doit rester exempt de tout projet industriel.
À la Une: Macron réagit après les violences sanglantes à Gaza, la première année de Philippe à Matignon et l'insoutenable film de Lars von Trier à Cannes
Le président de la République a "condamné les violences des forces armées israéliennes contre les manifestants" palestiniens à Gaza lors d'entretiens téléphoniques ce lundi 14 mai avec son homologue palestinien Mahmoud Abbas et le roi de Jordanie Abdallah II, selon un communiqué de l'Elysée.
La Maison Blanche a imputé lundi 14 mai au Hamas la "responsabilité" de la mort des 55 Palestiniens tués par l'armée israélienne dans la bande de Gaza lors de manifestations contre le transfert à Jérusalem de l'ambassade américaine en Israël.
Le soir du second tour de la primaire de la droite les avait laissés abasourdis. "En 20 ans de militantisme, c'est la seule réunion politique à laquelle j'ai assistée où tout le monde pleurait", se souvient une des cadres de l'équipe de campagne d'Alain Juppé en évoquant la soirée du 29 novembre 2016 où l'ancien premier ministre, battu, avait dit au-revoir à ses fidèles. Dix-huit mois plus tard, plus de larmes ni de regrets chez les ex-juppéistes.
L'opératrice qui avait pris à la légère l'appel de Naomi Musenga, morte quelques heures plus tard, a dénoncé "des conditions de travail pénibles" dans l'émission 66 minutes, mise en ligne ce lundi 14 mai sur le site de la chaîne M6.
Il est reparti libre. La garde à vue du candidat de l'émission Koh-Lanta, soupçonné d'avoir agressé sexuellement une autre participante sur le tournage du jeu phare de TF1, a été levée ce lundi 14 mai, a indiqué le parquet de Bobigny.
Sept ans après avoir provoqué l'un des plus gros scandales du Festival de Cannes, Lars von Trier a fait son retour ce lundi 14 mai sur la Croisette avec "The House that Jack Built", un film ultra-violent aux scènes parfois insoutenables.