vendredi 26 avril 2024

on ne peut plus rien dire !

Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Sale temps pour les droits de l'homme en France" :

Débat politique : on ne peut plus rien dire !
Pure Politique

https://youtu.be/yzSmuHhTTPo?si=KUC5SmV6zzl_N0pH

Mathilde Panot bientôt entendue dans le cadre d'une enquête pour apologie du terrorisme et les réactions politiques après cette annonce. C'est le sommaire de ce numéro 77 de Pol'Express.

Journaliste : Serge Faubert
Images : Serge Faubert
Édition : Maxime Hector

 

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Fermez vos gueules les mouettes !...
Voici venu le temps des "mougeons", ce croisement entre les pigeons et les moutons. Ceux qui picorent les miettes et ceux qui suivent un chemin linéaire dicté par la doxa libérale.

Anonyme a dit…

FESNEAU A LA PAYSANNERIE LABORIEUSE...

À travers un communiqué, la Confédération paysanne de Haute-Loire et Haute-Loire Biologique dénoncent de concert les incohérences du 3ᵉ fonds d'urgence à l'agriculture biologique.

"Les deux entités critiquent vertement le 3e fonds d’urgence à l’Agriculture Biologique dont le guichet de dépôt des demandes est ouvert depuis le 25 mars, et ce, jusqu’au 3 mai.

"En effet, loin de répondre aux besoins de l’ensemble des paysans et des filières bio, cette aide est calibrée comme les deux premières avec des critères comptables complexes et excluants. Nous dénonçons les critères d’éligibilités qui ne prennent pas en compte l’ensemble des difficultés rencontrées sur les fermes".

"Ces critères sont loin de la simplification administrative attendue"

"Ces critères ignorent les efforts de gestion des producteurs : report des investissements, stockage ou déclassification suite à un manque de débouchés, décapitalisation... Ils excluent de fait un grand nombre de fermes du dispositif. D’autre part, ces critères sont loin de la simplification administrative attendue, puisqu’ils obligent à une attestation comptable pénalisant les petites fermes comptablement autonomes".

"Cette aide enverrait un signal fort pour l’avenir de l’agriculture biologique en reconnaissant les effets positifs de ses pratiques, en favorisant le maintien des fermes certifiées, et aussi les installations et les transmissions. Elle permettrait enfin une réelle simplification administrative"

"Nous pensons qu’une aide à l’Agriculture Biologique (AB) sur le long terme est nécessaire, telle l’aide au maintien à l’AB autrefois subventionnée en AuRA (arrêt en 2018) et qui permettait aux fermes biologiques de sécuriser leurs systèmes bio. La Confédération Paysanne demande la mise en place d’une aide forfaitaire à l’actif de 15 000 € qui aurait pour rôle de soutenir durablement les fermes, quelles que soient leur taille et leurs productions"."


https://www.zoomdici.fr/actualite/la-conf-paysanne-et-hte-loire-bio-consternees-par-les-directives-ministerielles

Anonyme a dit…

CES ÉLUS LEPÉNISTES SI PEU RESPECTUEUX DU DROIT DU TRAVAIL
Le Rassemblement national a beau revendiquer son virage social, ses représentants, eux, multiplient les accrocs à la législation.

[...]
Les élus RN n'ont pas de chance avec le petit personnel. En septembre 2023, Yoann Gillet, député du Gard, est condamné en appel pour le licenciement de son ancienne ferme de ménage, Nicole C., 62 ans a bossé pour lui de 2014 à 2018, parfois sans parvenir à se faire payer en temps et en heures. À de nombreuses reprises, Gillet l'a rémunérée en retard, ou avec des chèques sans provision.

"Négro", c'est trop

À l'époque, il cumulait 6.200 euros de revenus mensuels comme directeur de cabinet du maire de Beaucaire et conseiller municipal, communautaire et régional. Lassée de devoir relancer son employeur pour toucher son dû, Nicole a pris un jour l'initiative de "cesser ses prestations" tant que son salaire ne lui aurait pas été versé. Gillet l'a aussitôt licenciée par SMS : "Vous allez recevoir mon recommandé actant la fin du contrat."
Aux Prud'hommes, en 2021, le courageux député, qui ne s'est pas présenté, s'est vu condamné à verser à Nicole une somme rondelette : 13.000 euros de rappels de salaire, 2.900 euros pour travail dissimulé, et autant en dommages et intérêts pour licenciement sans cause réelle et sérieuse.
Mais en appel en septembre 2023, les juges se sont montrés beaucoup moins sévères. Gillet n'a plus eu à payer que 2.000 euros à sa femme de ménage en dommage et intérêts. Le député a bénéficié de quelques témoignages amicaux, dont celui d'un proche, Miguel Bruno, directeur du commerce, des festivités et des sports à la mairie de Beaucaire, qui a accusé Nicole C. d'avoir "demandé à être payée en espèces".
[...]

Extrait de l'article du Canard Enchaîné du mardi 30 avril 2024, p.3 signé Jérôme Canard.