vendredi 26 avril 2024

Des interventions qui ne font pas exception à la règle
Si les règles ne sont pas respectées par le haut …
Que peut faire le bas ?


Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Pratique interdite : l'Élysée retire une vidéo sur X promouvant la campagne européenne de Valérie Hayer" :

Des interventions qui ne font pas exception à la règle

"Contactée par Le HuffPost, l'autorité publique ne confirme pas avoir pris une décision en ce sens mais rappelle cette recommandation datée de 2011 émise par le CSA, ancêtre de l'Arcom : « Les interventions éventuelles du Président de la République qui, en raison de leur contenu et de leur contexte, relèvent du débat politique lié aux élections, notamment celles qui

comportent l'expression d'un soutien envers un candidat ou une liste de candidats, un parti ou groupement politique, font l'objet d'un relevé distinct, peut-on lire. Les éditeurs en tiennent compte en veillant à ce que les autres candidats, listes, partis ou groupements politiques bénéficient, en contrepartie, d'un accès équitable à l'antenne. »

Depuis le 15 avril, et comme avant chaque élection, les télés et radios sont tenues de respecter un principe d'équité dans le traitement des forces politiques avant le scrutin du 9 juin, comme l'avait rappelé l'Arcom à la presse le 7 mars dernier. Dans ce cadre, les temps de parole pris en compte sont ceux des candidats et de leurs soutiens, toutes émissions confondues. Légère différence par rapport aux élections précédentes, la période de contrôle renforcé a été allongée de deux semaines. Le président de l'Arcom Roch-Olivier de Maistre avait en effet estimé dès le mois de mars que la campagne avait déjà « largement commencé. »

https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/elections-europeennes-apres-le-discours-de-macron-a-la-sorbonne-l-arcom-saisi-sur-son-temps-de-parole_233181.html

3 commentaires:

Anonyme a dit…

THÉVENOT ET LA HAUTE INTENSITÉ !

«Elle n’est pas correcte»

"D’autres sources décrivent plutôt une équipe Thevenot en pleine crise, mettant en cause le comportement d’une porte-parole du gouvernement fragilisée par des couacs de communication. Le 3 avril, elle affirmait au cours de son compte rendu du Conseil des ministres qu’un «passage à l’acte» terroriste avait été déjoué le week-end précédent, avant de rétropédaler quelques minutes plus tard. «Je ne sais pas si elle gère mal son stress mais elle n’est pas correcte», soupire un ancien conseiller, décrivant des coups de colère et des propos déplacés. Un conseiller resté au service de Thevenot nie tout problème de comportement. «Dans les cabinets, peu de gens le savent, mais il y a beaucoup d’humain. On travaille à haute intensité. Il faut aussi tenir le rythme et que ça matche sur tous les plans, personnel et professionnel.» Contacté également par Libération, l’entourage de Gabriel Attal, ministre de tutelle de Thévenot, n’a pas répondu à nos sollicitations."


https://www.liberation.fr/politique/de-nouveaux-departs-au-cabinet-de-la-porte-parole-du-gouvernement-prisca-thevenot-20240426_QEJNNRTQUBCJTC2TJGRNZGWRZE/

Anonyme a dit…

L’entrée en campagne annoncée du chef de l’Etat est-elle vraiment de nature à sauver la campagne de Renaissance ? Vu l’état du débat public et du camp présidentiel, on peut en douter.

"Roulements de tambours, le président de la République va entrer en campagne. Et par son seul engagement, voler miraculeusement au secours de la liste Renew conduite par Valérie Hayer qui, en l’état, est loin de faire jeu égal avec celle du RN de Jordan Bardella et se retrouve même talonnée par celle de Raphaël Glucksmann (PS-Place publique). Ce divin sursaut est en tout cas l’espoir officiel du camp présidentiel. Mais cela repose sur l’hypothèse largement contestable selon laquelle Emmanuel Macron est toujours un atout électoral. On aurait plutôt tendance à dire qu’il est surtout devenu un puissant repoussoir. Et que la politique qu’il mène est un carburant très concret pour le vote RN."
(…)


https://www.liberation.fr/politique/elections-europeennes-emmanuel-macron-fut-un-atout-pour-son-camp-il-est-devenu-un-repoussoir-20240422_JFVLVF3FBNHJ5DQ5TKGAH4LZEM/

Anonyme a dit…

L’entrée en campagne annoncée du chef de l’Etat est-elle vraiment de nature à sauver la campagne de Renaissance ? Vu l’état du débat public et du camp présidentiel, on peut en douter.

"Roulements de tambours, le président de la République va entrer en campagne. Et par son seul engagement, voler miraculeusement au secours de la liste Renew conduite par Valérie Hayer qui, en l’état, est loin de faire jeu égal avec celle du RN de Jordan Bardella et se retrouve même talonnée par celle de Raphaël Glucksmann (PS-Place publique). Ce divin sursaut est en tout cas l’espoir officiel du camp présidentiel. Mais cela repose sur l’hypothèse largement contestable selon laquelle Emmanuel Macron est toujours un atout électoral. On aurait plutôt tendance à dire qu’il est surtout devenu un puissant repoussoir. Et que la politique qu’il mène est un carburant très concret pour le vote RN."
(…)


https://www.liberation.fr/politique/elections-europeennes-emmanuel-macron-fut-un-atout-pour-son-camp-il-est-devenu-un-repoussoir-20240422_JFVLVF3FBNHJ5DQ5TKGAH4LZEM/