vendredi 19 avril 2024

Pratique interdite : l'Élysée retire une vidéo sur X promouvant la campagne européenne de Valérie Hayer

https://www.lejdd.fr/politique/pratique-interdite-lelysee-retire-en-vitesse-une-video-sur-x-promouvant-la-campagne-europeenne-de-valerie-hayer-144245



8 commentaires:

Anonyme a dit…

L'ÂNE PREND LE BÂT QUI BLESSE

"Le monstre se présente face à eux"

"L'humoriste Dieudonné s'est pour sa part présenté comme "le caillou dans cette grande mécanique d'enfumage, de cynisme et de mensonge [du Parlement européen]". "Je pense que c'est ma place : tant qu'à voter pour un humoriste, autant voter pour un professionnel", a-t-il ironisé. Celui qui a été condamné à 31 reprises, notamment pour injures raciales et incitation à la haine, a par ailleurs affirmé s'être "apaisé", prônant "le respect de chacun, de l'amour et le pardon", et voyant dans son "rôle" d'eurodéputé une manière de "démasquer les imposteurs". "Ils ont fait de moi un monstre, le monstre se présente face à eux", a-t-il résumé.

Parmi les autres personnalités annoncées sur la liste, Christian Cotten s'est présenté comme un "psychosociologue infréquentable et psychothérapeute fou". Cette figure anti-vaccins, comme Francis Lalanne, et de la sphère complotiste, a été mis en cause dans le passé pour sa proximité et sa défense de mouvements sectaires."



https://www.francetvinfo.fr/elections/europeennes/elections-europeennes-francis-lalanne-et-dieudonne-font-liste-commune_6494735.html

Anonyme a dit…

CARTON ROUGE ET CARTON PLEIN

"Cette nouvelle affaire intervient à un moment crucial de la campagne européenne, alors que la candidate du chef de l'État, Valérie Hayer, peine à rivaliser avec Jordan Bardella, que les sondages placent en tête avec 29 % contre environ 19 % pour Hayer. Par ailleurs, ce n'est pas la première fois que l'Élysée fait l'objet d'une telle controverse. En 2022, la CNCCFP avait déjà sanctionné Emmanuel Macron pour la publication d'une lettre de campagne sur les comptes officiels du palais présidentiel, entraînant une pénalisation financière importante."

Anonyme a dit…

https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/sondages-europeennes-2024-a-50-jours-des-elections-valerie-hayer-toujours-engluee-dans-une-spirale-negative_232857.html

Anonyme a dit…

Quand le "conseiller spécial" en révolution traficote avec les armes...

Entre 2009 et 2012, l’essayiste fut l’indispensable « conseiller spécial » du président pro-Occident Mikhaïl Saakachvili, au point d’être au cœur de discussions sur l’importation d’armes… Révélations.

"Leur première rencontre date de 2004, à Kiev. En pleine révolution orange ukrainienne, Raphaël Glucksmann tourne un documentaire sur les mobilisations contre Moscou. De son côté, Mikhaïl Saakachvili, alias « Micha », a été élu président de Géorgie quelques mois plus tôt. Entre les deux hommes, c’est un coup de foudre. Et un même vœu : que les anciennes républiques soviétiques se rapprochent de l’Occident.

Les années suivantes, le jeune Glucksmann multiplie les voyages à Tbilissi, la capitale géorgienne, séjournant souvent à l’hôtel Ambassadori, à deux pas de la présidence. L’ambiance du tout nouveau régime le happe.

En août 2008, alors que les troupes russes envahissent la Géorgie après que Saakachvili a décidé de récupérer l’Ossétie du Sud par la force, Raphaël Glucksmann soutient le pays dans Libération : « Certes Saakachvili n’est pas Gandhi, mais sous son impulsion, la Géorgie a changé de visage. La corruption a été presque réduite à néant, les journalistes étrangers y jouissent d’une liberté totale, les élections s’y déroulent sous le contrôle des organisations internationales, l’économie décolle sans rente pétrolière, le gouvernement est formé de jeunes gens dont la double nationalité américaine, anglaise ou israélienne fait ressembler Tbilissi à une Babel occidentale plantée au cœur du Caucase. »
(…)


https://www.marianne.net/politique/gauche/conseiller-de-saakachvili-et-negos-sur-les-armes-georgie-ukraine-glucksmann-epoque-consultant-en-revolution

Anonyme a dit…

LE DRIAN EN SAUVEUR DE L'HISTOIRE !

"Savoir si l'Europe va sortir ou pas de l'histoire"

"L'enjeu du vote du 9 juin "est de savoir si l'Europe va sortir ou pas de l'histoire", juge l'ex-président de la Région Bretagne. "Si l'Europe du XXIe siècle ne s'affirme pas, elle se disloquera", estime-t-il. Il met ainsi en garde contre le "Rassemblement national qui, lui, propose une Europe à la carte, avec pour seul programme le détricotage de l'Union européenne et, en réalité, un démantèlement des traités. Il en résulterait une Europe sans force collective, ni souveraineté, avec des Etats livrés au jeu de puissances hostiles".

Dans ce même entretien, Jean-Yves Le Drian confirme avoir été démarché par Emmanuel Macron, dont il est l'envoyé spécial pour la crise libanaise, pour prendre la tête de la liste aux européennes, ce qu'il a décliné. A 76 ans, "il y a un âge pour tout", fait-il valoir."


https://www.francetvinfo.fr/elections/elections-europeennes-l-ancien-ministre-jean-yves-le-drian-va-prendre-la-tete-d-un-comite-de-soutien-de-la-liste-macroniste_6500063.html

Anonyme a dit…

L'ÉCLAIRAGE FINANCIER DE HAYER...

« Quand notre épargne ne dort pas, elle sert nos concurrents. L’union des marchés de capitaux doit faire circuler cette épargne, pour nos ménages et nos entreprises. Proposons des placements rémunérateurs, qui soutiennent la transition verte et numérique… et le projet européen » Il est de plus en plus clair à ce jour que le gouvernement cherche…"
(…)


https://putsch.media/20240419/actualites/societe/video-la-declaration-tres-alambiquee-de-valerie-hayer-tete-de-liste-renaissance-aux-europeennes-sur-lepargne-des-francais/

Anonyme a dit…

Jordan Bardella, c'est fuir les débats et...

Se mettre dans les pas de Macron

"L’exemple le plus récent est manifeste. Jeudi, Jordan Bardella a fait le choix d’avancer la présentation de son programme pour répondre directement au grand discours d’Emmanuel Macron le matin même à la Sorbonne. Au contraire des écologistes qui ont eux opté pour le report de leur conférence de presse, afin de préserver un minimum de visibilité à leurs propositions.

Le but affiché par Jordan Bardella ? Ancrer encore davantage un duel entre sa formation et le président de la République, dont la candidate est la peine dans les sondages. Résultat : une séquence qui aura surtout illustré la différence de niveau, sur le fond, entre Emmanuel Macron et la nouvelle star de l’extrême droite.

Le chef de l’Était a effectivement tenu un discours touffu de près de deux heures vantant son bilan et jetant les bases d’un programme électoral dense et divers, du numérique à l’écologie en passant par la finance ou la défense. En réponse, l’eurodéputé RN a pris la parole moins de vingt minutes, les yeux rivés sur un texte qu’il semblait découvrir. Pire, son programme - qui aurait pu jouir d’une bonne exposition médiatique dans un autre timing - est passé complètement inaperçu."
(…)


https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/jordan-bardella-multiplie-les-coups-de-communication-au-risque-qu-il-se-retourne-contre-lui_233180.html

Anonyme a dit…

Des interventions qui ne font pas exception à la règle

"Contactée par Le HuffPost, l’autorité publique ne confirme pas avoir pris une décision en ce sens mais rappelle cette recommandation datée de 2011 émise par le CSA, ancêtre de l’Arcom : « Les interventions éventuelles du Président de la République qui, en raison de leur contenu et de leur contexte, relèvent du débat politique lié aux élections, notamment celles qui comportent l’expression d’un soutien envers un candidat ou une liste de candidats, un parti ou groupement politique, font l’objet d’un relevé distinct, peut-on lire. Les éditeurs en tiennent compte en veillant à ce que les autres candidats, listes, partis ou groupements politiques bénéficient, en contrepartie, d’un accès équitable à l’antenne. »

Depuis le 15 avril, et comme avant chaque élection, les télés et radios sont tenues de respecter un principe d’équité dans le traitement des forces politiques avant le scrutin du 9 juin, comme l’avait rappelé l’Arcom à la presse le 7 mars dernier. Dans ce cadre, les temps de parole pris en compte sont ceux des candidats et de leurs soutiens, toutes émissions confondues. Légère différence par rapport aux élections précédentes, la période de contrôle renforcé a été allongée de deux semaines. Le président de l’Arcom Roch-Olivier de Maistre avait en effet estimé dès le mois de mars que la campagne avait déjà « largement commencé. »


https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/elections-europeennes-apres-le-discours-de-macron-a-la-sorbonne-l-arcom-saisi-sur-son-temps-de-parole_233181.html